Le président chinois Xi Jinping a promis mercredi 24 mai au premier ministre russe Mikhaïl Michoustine en visite à Pékin le «ferme soutien» chinois sur les affaires relevant des «intérêts fondamentaux».
Le long métrage Kyoko, la saison des vendanges des rêves, produit et réalisé par le cinéaste algérien Hamid Benamra, est au programme du 45e Festival international du film de Moscou (MIFF), prévu dans la capitale russe du 20 au 27 avril prochain, a-t-on appris auprès de l’équipe du film.
La présidente du Conseil de la Fédération de Russie, Mme Valentina Matvienko, a indiqué, jeudi à Alger, avoir remis au président de la République, Abdelmadjid Tebboune, un message de son homologue russe, Vladimir Poutine, l’invitant officiellement à effectuer une visite en Fédération de Russie, ainsi qu’une autre invitation pour participer au deuxième Sommet Russie-Afrique.
La Chine et la Russie ont fustigé hier le programme de coopération concernant les sous-marins nucléaires lancé la veille par les Etats-Unis, l’Australie et la Grande-Bretagne, dans le cadre de leur alliance baptisée Aukus.
La Chine et la Russie ont fustigé mardi le spectaculaire programme de coopération dans les sous-marins nucléaires lancé la veille par les Etats-Unis, l'Australie et la Grande-Bretagne.
La visite du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, à Moscou – dans le cadre du groupe de contact arabe pour le règlement de la crise ukrainienne – a permis aux deux parties de discuter autour des «relations stratégiques» qui lient les deux pays.
Selon Kiev, le nouveau round des pourparlers débutera demain en Turquie. Moscou a annoncé aussi la tenue d’une nouvelle session de discussions, mais en disant qu’elles se dérouleraient demain et mercredi, sans préciser le lieu.
Une neutralité de l'Ukraine sur le modèle de la Suède et de l'Autriche est le compromis que les négociateurs russes et ukrainiens discutent actuellement, a indiqué mercredi 16 mars le Kremlin.
La Russie a été accusée de vouloir faire dérailler les négociations sur le nucléaire iranien après avoir réclamé, le 5 mars, des garanties américaines que sa coopération future avec l’Iran dans le domaine du nucléaire civil ne serait pas affectée par les sanctions adoptées à cause de l’offensive russe contre l’Ukraine.
La Russie propose à ses 14 partenaires du Conseil de sécurité de l'ONU de voter mercredi 16 mars sur une résolution "humanitaire" liée à "l'opération militaire spéciale" russe en Ukraine, ont annoncé mardi des diplomates russes.
Le chef de l’Etat ukrainien, Volodymyr Zelensky, a déclaré ne pas vouloir être le président d’un «pays qui implore à genoux» pour une adhésion à l’Otan. Au sujet des deux «républiques» séparatistes prorusses de l’est de l’Ukraine, en guerre depuis 2014 avec les forces de Kiev, il s’est dit ouvert au dialogue. Pour «ces territoires temporairement occupés (…)», «nous pouvons discuter et trouver un compromis sur l’avenir de ces territoires», a-t-il indiqué.
La Russie a mis en garde contre des "conséquences catastrophiques" pour le marché mondial de la mise en place d'un embargo occidental sur le pétrole russe, discuté par Washington et l'Union européenne comme mesure de riposte au conflit militaire en Ukraine.
La Russie a annoncé lundi soir la mise en place de cessez-le-feu locaux dans plusieurs villes ukrainiennes à partir de 07H00 GMT mardi 8 mars pour permettre l'évacuation de civils via des couloirs humanitaires, après de nouvelles négociations avec les Ukrainiens.
Les autorités russes ont établi une liste de pays "hostiles" à la Russie, auxquels les particuliers et les entreprises russes pourront rembourser leurs dettes en roubles, monnaie dont la valeur a perdu 45% depuis janvier, a indiqué lundi 7 mars le gouvernement.
Kiev refuse les couloirs humanitaires vers le Bélarus et la Russie proposés par Moscou pour l'évacuation des civils de villes bombardées, a annoncé lundi 7 mars la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk.
Mise en garde de Moscou et soutien de Washington aux Européens touchés par l’offensive russe en Ukraine, entrée hier dans son dixième jour. Une situation qui laisse inerte jusque-là la diplomatie quant à trouver une issue à un conflit qui fait de l’ex-République soviétique un terrain d’affrontement entre la Russie et l’Occident.
Alors que l’armée russe poursuit son offensive sur l’Ukraine, les délégations des deux pays sont attendues aujourd’hui au Bélarus pour discuter d’une possibilité de cessez-le-feu.
Depuis le début de l’offensive russe en Ukraine jeudi, les pays occidentaux ont pris plusieurs salves de sanctions financières à l’égard de Moscou. D’autres mesures suivront.
En avril 2008, l’Alliance promet que l’Ukraine et la Géorgie «deviendront membres», mais sans offrir de plan d’adhésion. En août de la même année, Moscou inflige une défaite militaire à la Géorgie. En parallèle, Moscou et Kiev se livrent plusieurs guerres commerciales, dont celles du gaz en 2006 et 2009.
La présidence de l’Ukraine a indiqué hier avoir accepté des pourparlers avec la Russie et qu’ils se dérouleront à la frontière avec le Bélarus, près de Tchernobyl, une décision après une médiation du président bélarusse, Alexandre Loukachenko. «La délégation ukrainienne rencontrera la (délégation) russe sans fixer de conditions préalables sur la frontière ukraino-bélarusse, dans la région de la rivière Pripiat», a déclaré la Présidence sur les réseaux sociaux.