Les unités de l’Armée populaire de libération sahraouie (APLS) ont mené de nouvelles attaques contre les positions des forces d’occupation marocaines dans le secteur de Haouza, leur causant de lourdes pertes humaines et matérielles, a indiqué vendredi le communiqué n° 761 du ministère sahraoui de la Défense.
Avec le renforcement du dispositif sécuritaire sur les axes routiers durant la pandémie Covid-19 et tout le long de la région frontalière avec le Maroc, premier producteur mondial de cannabis, en raison de la crise diplomatique qui a suscité la rupture des relations avec ce voisin, les quantités saisies de kif traité ont connu un recul substantiel.
Des tentatives d’introduction de plus de 18 quintaux de kif traité via les frontières avec le Maroc ont été mises en échec et 65 narcotrafiquants arrêtés dans des opérations menées à travers les Régions militaires, durant la période du 22 au 28 mars, selon un bilan opérationnel publié hier par le ministère de la Défense nationale (MDN).
L’ex-journaliste et présentateur licencié de BFMTV, Rachid M’Barki, a été interrogé mercredi par une commission d’enquête parlementaire, sur les ingérences étrangères dans son travail au profit du Maroc.
Le président de la République, Abdelmadjid, Tebboune s’est exprimé, dans une interview accordée à la chaîne Al Jazeera, sur plusieurs sujets et dossiers de l’heure, comme la crise entre l’Algérie et le Maroc, les relations algéro-françaises, la cause palestinienne et le conflit en Ukraine.
Le Parlement européen organisera aujourd’hui une table ronde sous le thème «Les relations maroco-européennes à la lumière des droits de l’homme et de la liberté de la presse», au cours de laquelle sera abordée la situation des journalistes détenus Omar Radi et Soulaiman Raissouni.
Des tentatives d’introduction de plus de 16 quintaux de kif traité via les frontières avec le Maroc ont été mises en échec et 65 narcotrafiquants arrêtés dans des opérations menées à travers les Régions militaires, durant la période du 8 au 14 mars en cours, selon un bilan opérationnel publié hier par le ministère de la Défense nationale (MDN).
L’Association pour la protection des défenseurs sahraouis des droits humains «Soleil de la liberté» a exprimé sa «profonde préoccupation» face aux mesures répressives que l’administration pénitentiaire marocaine a prises à leur encontre, a rapporté hier l’APS citant un communiqué de ladite association.
L’ex-journaliste de la chaîne d’information française BFM TV, Rachid M’Barki, licencié récemment pour avoir diffusé des informations erronées et orientées pour servir les intérêts du régime du makhzen, sera bientôt entendu par une commission d’enquête parlementaire française, ont rapporté des médias locaux
La femme sahraouie célèbre, aujourd’hui, la Journée internationale des femmes avec toutefois un goût d’inachevé, tant son pays demeure encore sous occupation par le Maroc qui bafoue ses droits et la prive de sa liberté, des conditions indispensables pour poursuivre sa lutte et espérer un jour porter très haut l’étendard de la liberté de sa chère patrie.
Les bombardements de l’armée marocaine contre des camionneurs civils, empruntant ce qui est devenu un couloir de la mort, à savoir le tronçon routier, à l’état de piste, situé à la frontière entre le Sahara occidental et la Mauritanie, se poursuivent dans l’impunité totale.
Le roi Mohammed VI vient d’inviter le président Abdelmadjid Tebboune pour venir «dialoguer» avec le Maroc dans des formes qui font dire qu il s’agit là bel et bien d’une grosse manœuvre politicienne.
Le Front Polisario a fait état hier de l’interdiction par l’occupant marocain à l’envoyé personnel du secrétaire général de l’Onu pour le Sahara occidental, Staffan de Mistura, d’effectuer sa première visite dans les territoires sahraouis occupés.
Pour étouffer le scandale qui a coûté la vie à 27 migrants subsahariens aux portes de Melilla, les autorités marocaines se sont empressées d’enterrer 21 corps en catimini.
Même en période de pandémie, les migrations internationales sont restées omniprésentes.
Douze associations et mouvements de défense des droits humains, marocains et européens, ont publié un communiqué commun pour dénoncer l’accord entre l’Espagne et le Maroc sur l’immigration et réclament une enquête approfondie et indépendante pour identifier les responsables de la mort tragique de 27 migrants subsahariens et deux gendarmes marocains aux portes de Melilla.
Plusieurs voix ont exprimé leur indignation face au drame survenu vendredi, quand 23 migrants d’origine africaine sont morts en tentant d’entrer dans l’enclave espagnole de Melilla, dénoncé l’usage «disproportionné» de la force par la police marocaine et réclamé une enquête sur cette tragédie migratoire.
La principale organisation marocaine de défense des droits humains a réclamé une enquête hier, au lendemain de la tentative d’entrée de près de 2000 migrants subsahariens dans l’enclave espagnole de Melilla, au cours de laquelle 18 personnes ont péri, une «tragédie» sans précédent au Maroc. «Nous appelons à l’ouverture d’une enquête rapide et transparente», a déclaré à la presse Mohamed Amine Abidar, le président de la section de l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) à Nador, dans le nord du Maroc. Une association espagnole a évoqué le chiffre de 60 morts parmi les migrants, 4 décès chez les gendarmes marocains et plus de 700 blessés jugés dans un état grave.
L’Algérie a dénoncé le détournement par le Maroc de l’objet de la Conférence internationale pour la lutte contre le groupe terroriste Daech, qui vient de se tenir à Marrakech, pour en faire un événement consacré à la question du Sahara occidental.
Les participants à la 26e Conférence interparlementaire «Paix et liberté pour le peuple sahraoui» qui s’est tenue à La Rioja, en Espagne, ont appelé à élargir le mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental et exigé la fin de l’occupation marocaine.