Connue pour sa propreté et le degré de civisme de ses habitants, la cité des 408 logements de Boumerdès a été sacrée meilleur quartier de la wilaya à deux reprises. Ce fut en 2018 puis en 2019 à la faveur de concours visant à faire participer les citoyens dans l’effort de protection de l’environnement.
Une virée dans les marchés locaux des fruits et légumes dans la commune de Béchar renseigne amplement sur l’absence quasi-totale des normes d’hygiène et de salubrité censées être de rigueur toute l’année et pas seulement en période de jeûne.
A la cité AADL 1 de Bab Ezzouar, les habitants se plaignent d’une multitude de problèmes, qui altèrent leur cadre de vie, «au fil des ans les agents de l’AADL se sont complètement désengagés.
On ne sait pas trop si Errahba, une concentration urbaine située non loin du marché de gros des fruits et légumes de la ville de Souk Ahras, est un quartier résidentiel, une assiette proposée aux constructeurs illicites, un espace pour le commerce informel ou encore on no man’s land qui fait fonction de décharge sauvage.
La RN 75 reliant la wilaya de Béjaïa à celle de Sétif, en passant par les communes de Béni Maouche et Seddouk, est lestée d’ordures de toute nature sur toute sa longueur.
Le problème du ramassage et de la gestion des déchets ménagers se pose avec acuité dans la wilaya de Bouira.