Le Japon était sous le choc samedi, au lendemain de l’assassinat par balles de son ancien Premier ministre, Shinzo Abe, pendant un meeting électoral à Nara, dans l’ouest du pays, où la police a reconnu des failles «indéniables» dans la sécurité.
La police israélienne a attaqué, hier matin, le cortège funèbre de la journaliste de la chaîne Al Jazeera, Shireen Abu Akleh, tombée en martyre mercredi à la suite de tirs des forces de l'occupation à Jénine, en Cisjordanie occupée, a rapporté l'agence de presse palestinienne Wafa.
L’assassinat de la journaliste Shireen Abou Akleh, par un tir de l’armée d’occupation israélienne alors qu’elle couvrait des affrontements dans le camp de Jénine en Cisjordanie occupée, suscite de vives condamnations palestiniennes et de la communauté internationale. Shireen Abu Akleh portait un gilet pare-balles siglé «Presse» lorsqu’elle a été tuée. Elle a été atteinte d’une balle dans la tête. Sa mort intervient dans un climat tendu, un an après la dernière guerre de Ghaza entre l’Etat hébreu et le Hamas islamiste, qui contrôle l’enclave palestinienne sous blocus israélien, et dans le sillage d’une série de violences faisant craindre une nouvelle escalade militaire.
L’assassinat de trois civils commis par l’armée marocaine est, selon les termes choisis par le ministère des Affaires étrangères, un «terrorisme d’Etat». L’acte d’agression constitue un risque sérieux d’escalade dans la crise profonde qui oppose Alger à Rabat.
L'Algérie a condamné "énergiquement les assassinats ciblés commis au moyen d'armes de guerre sophistiquées" par le Maroc, en dehors de ses frontières contre des civils de trois pays de la région, indique mardi 12 avril un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger.
L’avocat de la famille Sankara, Guy Hervé Kam, a fait part de son «sentiment de satisfaction». «Aujourd’hui, je peux dire que je suis fier d’être Burkinabè et avocat. Je suis fier de voir l’aboutissement d’un combat judiciaire de près de 30 ans», a-t-il ajouté.
L'ancien président du Burkina Faso Blaise Compaoré, a été condamné mercredi 6 avril par contumace à la prison à perpétuité pour sa participation à l'assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d'un coup d'Etat en 1987.
Exerçant depuis quelques années au Burkina Faso, la documentariste franco-algérienne Ouassila Kharoune, âgée de 33 ans, a été assassinée, hier, par un voleur qui voulait lui subtiliser son sac dans son bureau à Ouagadougou.
Rofaïda Hanane Bououd, une fillette de 9 ans, résidant au douar Laâbana, distant de 5 km du chef-lieu de la commune de Aïn Frass (à 41 km de Mascara), portée disparue vers 10h de ce mardi 1er mars, a été retrouvée par les gendarmes morte, ligotée et partiellement enterrée dans un ravin, vers 18h45 de la même journée, à quelques encablures de son domicile familial.
Les ratonnades d’Alger, 1956 est le nouvel ouvrage de Sylvie Thénault (Seuil, Paris 2022). L’historienne a enquêté sur un moment mal connu de la guerre d’indépendance : l’assassinat d’Amédée Froger, figure de proue et inspirateur des thuriféraires de l’Algérie française et de la haine anti-algérienne qui s’en est suivie.
Trente ans de prison ferme ont été requis mardi 8 février contre l'ancien président du Burkina Faso Blaise Compaoré, accusé d'être le principal commanditaire de l'assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d'un coup d'Etat en 1987.