La Société de distribution d’électricité et de gaz (Sadeg) de Boumerdès a révélé que depuis 2021, «32 actes de vol sur le réseau électrique ont été enregistrés dont 14 pour la seule année courante».
Des zones d’ombre pas comme les autres. Les villages d’Aït Sidi Ali et Ihissithen, dans la commune d’Aït Yahia Moussa, vivent dans des conditions d’un autre âge. «Hormis le calme et les paysages paradisiaques, rien n’encourage à rester ici.
Samedi vers 7h, un train a percuté une personne dans la localité de Tassoust, commune de l’Émir Abdelkader, à 8 km à l’est de Jijel, où se trouve le 2e campus universitaire de la ville.
Une dangereuse bande, constituée de trois voleurs de téléphone portables qui attaquaient des automobilistes, soupçonnés d’avoir commis neuf délits, a été neutralisée à Mostaganem et présentés devant le parquet, a-t-on appris de source policière.
Ramadhan, le mois de piété qui a débuté samedi 2 avril dernier a été très bien accueilli par la population Saidie.
Les deux marchés de solidarité organisés à l’occasion du mois de Ramadhan au chef-lieu de wilaya de Bouira enregistrent une grande affluence des citoyens qui s’y rendent pour acquérir différents produits alimentaires à des prix un peu raisonnables, a-t-on constaté sur place.
Plus d’une vingtaine de postulants au logement social ayant figuré sur les deux listes affichées tout dernièrement à Oued Djemaa
Quatre cent quarante-sept médicaments sur 552 produits enregistrés, toutes aires thérapeutiques confondues, et soumis à l’appel d’offres national et international n° 07/2021 du 1er septembre 2021, clôturé en octobre et attribué le 7 avril, sont déclarés infructueux par la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), soit plus de 80% d’infructuosité.
Le terrible drame qui a secoué la ville de Bordj Bou Arréridj, au sixième jour du mois de Ramadhan, continue d’alimenter les débats et de provoquer des réactions, mais surtout susciter un énorme élan de solidarité manifestée par une population qui s’est sentie vraiment touché par cette dure épreuve vécue par la famille Hammouche, ayant perdu dix de ses membres, et toutes les victimes parmi les voisins.
En tout, six troupes théâtrales d’associations culturelles des trois wilayas de Bouira, Tizi Ouzou et de Béjaïa ont animé ces soirées ramadanesques et pris part au concours de ce festival dont les résultats seront connus le 28 du mois courant.
En ce mois allant du 18 avril au 18 mai, consacré à la célébration du Mois du patrimoine, nous avons saisi l’opportunité d’une escale de notre compatriote, le Pr Bouchenaki Mounir, haut cadre au sein de l’Unesco, afin de nous informer sur ce qui se prépare et les actions menées par l’Unesco, pour mieux protéger les sites et monuments culturels à travers le monde, sans pour autant éviter de lui poser la question relative à la situation du patrimoine culturel dans notre pays. Des informations enrichissantes. Pr Mounir Bouchenaki : «2022, nous célébrons le cinquantenaire de la convention de 1972».
Le directeur de l’école s’est dit surpris par l’éventuel rejet de son dossier de renouvellement d’agrément et a souhaité être avisé afin de se conformer au nouveau règlement.
La décision de mettre fin au débrayage dépend de la concrétisation des promesses du ministère.
Les familles bougiotes ont dû patienter une semaine avant de voir leurs soirées ramadanesques tirer de leur torpeur. Contrairement aux années précédentes, le gros de l’animation au niveau de la ville de Béjaïa est proposé par un promoteur de spectacles privé qui a concocté un programme riche et plein de surprises.
Sous le thème évocateur «Ciné Ftourkoum, célébrons les grands classiques du cinéma algérien», l’Institut français et la cinémathèque Chanderli (ex-Colisée) programme, en ce mois sacré à 22h, en partenariat avec le Centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel (CNCA), quatre longs métrages des années fastes de la production nationale.
En dépit des maintes requêtes adressées aux autorités locales, les habitants de Haï Bouguelal, à la périphérie est de la ville de Chlef, attendent toujours la réfection ou le remplacement du réseau d’assainissement défectueux à la lisière de leur cité depuis des années.
Le lait et la semoule, deux denrées de base subventionnées par l’Etat, ont disparu des étals des boutiques et des rayons des grandes surfaces de la ville de Sidi Aïch, à l’instar de l’ensemble des localités de la région, a-t-on pu constater ces derniers jours.
Le nombre d’abonnés aux réseaux de téléphonie fixe et mobile dans la wilaya de Jijel a atteint 822 723 clients à fin 2021, soit pratiquement l’équivalent de la population.
Depuis plusieurs années, Mohamed Fawzi Lefrada, père d’Akram Badredine, ne cesse de faire le tour de médecins et cliniques à Constantine dans l’espoir de revoir son fils recouvrer ses capacités motrices.
A 10 ans, il accompagnait son père à l’association El Badr d’aide aux cancéreux pour des actions caritatives. Agé aujourd’hui de 27 ans, Mohamed Chawki Boudjellal continue à emprunter le chemin tracé par son principal maître : la solidarité et l’humanisme !