Mardi 9 janvier, le bilan humain du séisme survenu dans le centre du Japon le 1er janvier a été porté à 202 morts. Cependant, le nombre de personnes portées disparues a été nettement réduit à 102, après que les autorités du département d'Ishikawa eurent ajusté les listes des résidents enregistrés dans les zones touchées. La veille, elles avaient initialement augmenté le nombre de personnes portées disparues à 323.
Lundi soir (heure française métropolitaine), un séisme d'une magnitude de 6,7 a eu lieu dans l'océan Pacifique au large des côtes des Philippines, selon l'annonce de l'Institut américain de géophysique (USGS).
Le séisme dévastateur qui a secoué le centre du Japon le 1er janvier a engendré au moins 161 décès et 323 personnes portées disparues, avec plus de 2000 individus toujours isolés lundi.
Un véritable miracle s'est produit au Japon, où une femme nonagénaire a été retrouvée vivante dans les décombres de sa maison cinq jours après le séisme qui a frappé le centre du pays le 1er janvier, causant au moins 126 décès.
À ce stade, aucune anomalie n'a été signalée dans les centrales nucléaires japonaises suite à une série de séismes puissants survenus dans le département d'Ishikawa, situé dans le centre du pays, lundi après 16h00 (07h00 GMT) et ayant déclenché un tsunami, selon le porte-parole du gouvernement.
La secousse, qui a été suivie samedi de quatre répliques puissantes, a fait au moins deux morts et quatre blessés.
Pour tester l’opérationnalité du plan Orsec sur le terrain, la Protection civile de Chlef a organisé, mardi dernier, une simulation d’un séisme de magnitude de 6,4 sur l’échelle de Richter dans la zone de l’ancienne minoterie publique longeant la RN4, à l’entrée est du chef-lieu de wilaya.
Le 17 novembre, un séisme d'une magnitude de 6,7 a frappé le sud des Philippines, selon l'Institut américain d'études géologiques (USGS), sans déclencher d'alerte au tsunami.
Un tremblement de terre d'une magnitude de 5,6 a frappé une région reculée du Népal, causant la mort d'au moins 132 personnes, selon les autorités népalaises.
Un nouveau séisme, de magnitude 6,3, a frappé hier la ville d’Hérat, au nord-ouest de l’Afghanistan, après plusieurs secousses depuis le début du mois dans cette région dont un tremblement de terre dévastateur qui a fait plus d’un millier de morts.
Le 15 octobre, un nouveau séisme d'une magnitude de 6,3 a secoué la ville d'Hérat, située dans le nord-ouest de l'Afghanistan, d'après les informations fournies par l'Institut de géophysique américain (USGS).
Il y a 43 ans, le 10 octobre 1980, le centre de Chlef (ex-El Asnam) était frappé par un séisme dévastateur de magnitude 7,2 degrés sur l’échelle de Richter, le plus violent de l’histoire du pays, ayant causé plus de 2500 morts, de nombreux blessés et des milliers de sans-abri, selon les chiffres officiels.
Mardi 10 octobre, les opérations de recherche se poursuivent sans relâche dans les décombres des habitations ravagées par le puissant séisme qui a causé la mort d'au moins 2000 personnes dans l'ouest de l'Afghanistan. Cependant, l'espoir de retrouver des survivants s'amenuise à chaque heure qui passe. Des volontaires armés de pelles et de pioches s'emploient sans répit depuis que ce séisme de magnitude 6,3 s'est produit samedi dernier, suivi de huit répliques, dans la province d'Hérat.
Des villageois et des volontaires étaient mobilisés, hier, pour aider à retrouver des survivants du puissant séisme qui a tué plus de 2000 personnes dans l’ouest de l’Afghanistan où l’aide commence lentement à arriver sur place. Des camions pleins de nourriture, d’eau et de couvertures ont atteint les villages isolés, à environ 30 km au nord-ouest de la ville de Hérat, les plus sévèrement touchés par le séisme de magnitude 6,3 et les huit fortes répliques qui ont frappé, samedi, la région.
Plus de 2 000 personnes ont péri dans un violent séisme qui a frappé, avant-hier samedi, l’ouest de l’Afghanistan, provoquant d’énormes dégâts, selon un nouveau bilan officiel communiqué hier. Le séisme de magnitude 6,3, qui a frappé les régions situées à 30 kilomètres au nord-ouest de la ville de Hérat, a été suivi de 8 fortes répliques. «2 053 martyrs sont morts dans 13 villages.
L’engin transporte trois cartons de sandwichs. Un groupe d’Israéliens identifiables à leurs t-shirts estampillés «Tous avec le Maroc» en hébreu.
Les images qui nous proviennent du Maroc, après le séisme dévastateur de 7 degrés sur l’échelle ouverte de Richter, ne peuvent pas nous laisser indifférents au drame que vivent les populations les plus vulnérables de ce pays.
Dans son entretien à El Watan, le sismotectonicien précise que le Maroc est un pays sismique et subit les mêmes contraintes tectoniques que le nord de l’Algérie. «Les contraintes tectoniques s’appliquent sur l’ensemble de cette région dite atlasique qui vont réagir selon le contexte morphologique et géologique», relève-t-il.
Depuis que la nouvelle du terrible séisme qui a frappé le Maroc voisin est tombée, les Algériens n’ont cessé d’exprimer, de manière spontanée, massive et unanime, leurs sentiments de compassion, de soutien et de solidarité envers leurs frères marocains.
Le Centre marocain pour la recherche scientifique et technique (CNRST) a mesuré la magnitude du séisme à 7 et a localisé son épicentre dans la province d’Al Haouz, au sud-ouest de Marrakech, dans le Haut-Atlas.