Des entreprises de travaux titulaires de projets de réalisation socioéconomiques sont confrontées de plus en plus à la pénurie de la main-d’œuvre qualifiée locale au sud ouest. Une situation qui, selon les experts, risque de retarder l’avancement des travaux et par conséquent susceptible de compromettre les délais de réception de projets.
Le président de la République a ordonné d’adopter un plan d’alerte pour anticiper toute perturbation du marché national des médicaments. A propos de l’exposé sur les dégâts provoqués par les dernières inondations, il a ordonné le versement au profit des agriculteurs sinistrés d’une aide financière de 50 000 DA.
La tension sur la semoule dans la wilaya de Constantine remonte à la surface depuis plus de 20 jours, provoquant un manque significatif dans plusieurs magasins.
La tension sur certains produits de large consommation refait surface, ces derniers jours, dans la wilaya de Bouira. Alors que les prix des viandes et des œufs enregistrent une envolée sans précédent, la semoule est devenue une denrée rare dans les commerces.
Même si l’on réfute de façon récurrente l’existence d’une pénurie de médicaments, la réalité du terrain montre une toute autre réalité. Aujourd’hui, les pharmaciens impuissants, voire agacés par les perturbations récurrentes dans l’approvisionnement de centaines de traitements nécessaires pour les malades, appellent à une véritable étude sur le terrain. Cette dernière permettra de cerner le problème et diminuer l’aggravation de cette rupture, dont les causes sont parfois provoquées volontairement.
La wilaya de Mascara est confrontée à une situation où les pilules contraceptives sont introuvables. Cela suscite des inquiétudes chez de nombreuses familles, en particulier les femmes.
Les habitants du village Akerrou, dans la commune d’Aït Khellili, à une trentaine de kilomètres à l’est de Tizi Ouzou, se plaignent d’un manque flagrant d’approvisionnement en eau potable. L’eau ne coule des robinets qu’une fois tous les vingt jours en moyenne.
Dans son rapport mensuel, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a averti que le 4e trimestre de 2023 connaîtra une "importante pénurie d'approvisionnement" en pétrole.
Le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, a, lors d’un déplacement hier à Bouira, assuré qu’il n’y a pas de pénurie de médicaments en Algérie.
Le ministre qatari estime que les Européens devront faire face à une «réalité qui s'imposera» si rien ne change.
Le directeur de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), Samir Ferhat, s’est exprimé, hier, lors d’une intervention médiatique à la Radio Chaîne 3, dans laquelle il s’est voulu optimiste, faisant part du règlement des problèmes financiers de son établissement ainsi que de «la fin des pénuries».
Le lait en sachet est encore une fois sous forte pression dans la wilaya de Bouira. La pénurie touche pratiquement toutes les communes. S’approvisionner en ce produit de large consommation relève parfois de l’impossible.
Nous disposons d’un important stock de produits de première nécessité. Nous avons réuni tous les moyens pour un approvisionnement régulier de tous les marchés de proximité appelés communément marchés de la «Rahma» ouverts pour la circonstance dans différents coins de la wilaya», a souligné le wali, Lakehal Ayat Abdessalam, alors qu’il veillait sur l’inauguration d’un espace aménagé pour l’occasion au niveau de cité Dallas au chef-lieu de wilaya.
Le secrétaire général de l’UNPA, Abdellatif Dilmi, affirme que plusieurs wilayas ont perdu en récolte entre 35 et 45%. «Les prix devraient connaître une accalmie», espère M. Dilmi, qui souhaite voir une abondance des récoltes de la wilaya de Aïn Defla, wilaya leader dans la production de la pomme de terre.
L’assemblée populaire de wilaya de Tiaret, la première à dominance FLN/RND, s’est tenue récemment en présence de la majorité de ses membres pour discuter des deux importants projets qui retiennent l’attention des élus, de l’administration et de ses services déconcentrés ainsi que de la population.
Encore une fois, la pénurie de lait en sachet, au prix subventionné estimé à 25 DA l’unité, fait encore une fois parler de lui dans la wilaya de Mostaganem. Le problème perdure depuis des semaines.