La filière de l’oléiculture dans la wilaya de Tipasa n’aurait jamais fait l’objet d’une préoccupation exhaustive, en dépit des soutiens des hautes de l’Etat.
Quincy Jones, une légende de la musique et un véritable pionnier dans l’industrie, est décédé à l’âge de 91 ans. Originaire de Chicago, trompettiste de formation, Jones a été une figure centrale dans les évolutions musicales du XXe siècle, s’imposant dans des genres aussi divers que le jazz, la pop, le funk, la soul, et même le hip-hop.
La production d’huile d’olive est en baisse, cette année, nous a-t-on affirmé, hier, à Ait Zaim, commune de Maâtkas, à une trentaine de kilomètres au sud de Tizi Ouzou. C’est là où s’est tenue la 10e édition de la Fête de l’olivier organisée par l’association culturelle Tigejdit N’Ath Zaim, en collaboration avec l’APC, la chambre d’agriculture et l’APW de Tizi Ouzou, du 6 au 9 mars en cours.
Un fort apport est attendu de ce laboratoire désormais opérationnel dans la station de l’Institut technique de l’arboriculture fruitière et de la vigne (ITAFV).
Le représentant du ministère de l’Agriculture, Mohamed El Hadi Sakhri, a évoqué la poursuite du Programme d’appui au secteur de l’agriculture (PASA) en Algérie, dans le but de mettre à niveau le secteur de l’oléiculture et de permettre au produit algérien de se positionner «confortablement» à l’international.
Le patrimoine oléicole algérien a subi les néfastes effets du stress hydrique, qui se prolonge depuis des mois. Un début d’assèchement a même été observé dans de nombreuses oliveraies, notamment celles du centre du pays, où se concentre la majorité dudit patrimoine.
Des professeurs spécialisés et des chercheurs universitaires ont insisté, hier à Constantine, sur la «nécessité d’exploiter les résultats de la recherche scientifique en matière de caractérisation moléculaire des oliviers, pour obtenir des rendements élevés dans la production nationale».
Dans le cadre du Programme d’appui au secteur de l’agriculture en Algérie (PASA), financé par l’Union européenne (UE) en partenariat avec le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR) et en collaboration avec l’Institut national de la recherche agronomique d’Algérie (INRAA), Expertise France, l’agence française de coopération technique internationale, et Price Waterhouse Cooper-Algérie (PwC) restitueront aujourd’hui la synthèse des études sur le conditionnement et le marketing dans la filière oléicole à l’INRAA.
L’un des acquis phares de ce projet, financé par l’Union européenne (UE) à hauteur de 5,8 millions de d’euros et piloté par Expertise France, est le lancement à Sidi Aich d’un laboratoire d’analyses de référence nationale accrédité par Algerac.
Plus de 5 millions de litres d’huile d’olive ont été produits à Tizi Ouzou au titre de la campagne oléicole 2022/2023 qui vient d’être clôturée, selon la direction locale des services agricoles (DSA).
Seize porteurs de projets innovants dans la filière oléicole ont été sélectionnés parmi les 36 déposés au niveau de l’Inraa (Institut national d’agronomie d’Alger), suite à l’appel à projets lancé par le PASA pôle Soummam, le 25 septembre 2022 dans les trois wilayas de Béjaïa, de Bouira et de Tizi Ouzou, pour le financement de leurs initiatives économiques innovantes.
Seize projets innovants dans le domaine de l’oléiculture ont été sélectionnés par le Programme d’appui au secteur de l’agriculture en Algérie (PASA Algérie), pour bénéficier d’un soutien financier, a-t-on appris, hier, auprès de la Direction des services agricoles (DSA) de la wilaya de Tizi Ouzou.
Le rapport final présenté par l’expert Olivier Rives, de Expertise France et coordinateur de PASA Pôle Soummam pour la clôture des travaux de la conférence porte sur comment anticiper les mutations à venir sur la filière oléicole.
Avec ses 400 huileries, son parc oléicole de plus 5 millions d’oliviers et une production annuelle moyenne de 20 millions de litres d’huile d’olive, Béjaïa reste la principale place forte de l’oléiculture en Algérie. Cependant, elle risque d’être détrônée par les zones steppiques des Hauts-Plateaux, comme Djelfa où la culture de l’olivier connaît de très beaux succès. Pourtant, malgré son immense potentiel, l’oléiculture algérienne peine à tenir toutes ses promesses. L’absence d’accompagnement de la part de l’Etat des principaux acteurs de la filière et le poids de traditions dans ce secteur retardent le décollage.