Les manifestations en Géorgie contre la loi sur les « agents de l'étranger » reflètent une préoccupation croissante quant à la restriction des libertés civiques et à l'orientation politique du pays. Cette législation, inspirée par des modèles russes controversés, suscite des inquiétudes quant à la liberté d'expression et d'association en Géorgie.
Plusieurs villes et capitales à travers le monde ont été le théâtre samedi de manifestations massives de soutien au peuple palestinien et pour dénoncer l'agression sioniste contre la bande de Ghaza, a indiqué l'agence de presse Wafa.
La grogne, qui a également gagné l’Espagne et l’Italie, est particulièrement forte en France où, depuis lundi, des agriculteurs bloquent avec leurs tracteurs plusieurs axes autoroutiers menant vers Paris, provoquant une nouvelle crise sociale un an après la très contestée réforme des retraites.
Des milliers de personnes ont marché à Bruxelles pour exiger des actes concrets pour obtenir un cessez-le-feu à Ghaza et assurer la justice pour le peuple palestinien.
Mercredi 27 décembre, plusieurs milliers de manifestants ont convergé dans les rues de Buenos Aires pour le troisième rassemblement en une semaine, marquant leur opposition au décret de dérégulation économique massif du nouveau président ultralibéral, Javier Milei.
Les événements connus dans l’histoire contemporaine sous le nom des «manifestations du 11 décembre 1960» sont en fait un faisceau de faits historiques extrêmement importants, dont la lecture demeure, jusqu’à aujourd’hui, ouverte.
Sous le cri de ralliement «vous n'êtes pas seuls», environ un millier de manifestants se sont réunis jeudi 23 novembre à Utrecht, dans l'ouest des Pays-Bas, pour exprimer leur opposition à la victoire inattendue du candidat d'extrême droite Geert Wilders lors des élections législatives la veille. Une autre manifestation contre le parti d'extrême droite a également eu lieu en soirée à Amsterdam.
Le 23 novembre, l'Iran a procédé à l'exécution d'un individu condamné pour le meurtre d'un membre des forces de l'ordre pendant les manifestations de masse qui ont secoué le pays l'année dernière, selon des organisations de défense des droits humains.
Des dizaines de milliers de manifestants se sont rassemblés samedi à Madrid sous la bannière «Pour l'État de droit, SOS l'UE», exprimant leur opposition à la future loi d'amnistie des dirigeants et militants séparatistes catalans, qui a conduit à la reconduction du gouvernement de gauche.
La mobilisation à Paris en faveur d'un "cessez-le-feu immédiat à Ghaza" a débuté samedi après-midi, initiée par le collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens. Ce collectif a également appelé à des manifestations à travers toute la France.
Des milliers de personnes ont à nouveau manifesté hier au Royaume-Uni pour soutenir les Palestiniens et demander un cessez-le-feu à Ghaza. A Londres, plutôt qu'un grand cortège comme les cinq samedis précédents, de nombreux rassemblements et défilés ont été organisés.
Au moins 5000 personnes ont manifesté, hier, à Amman pour réclamer l’annulation du traité de paix entre la Jordanie et l’entité sioniste et dénoncé les bombardements menés par les forces d’occupation contre la bande de Ghaza.
Le chef de l’opposition kényane Raila Odinga a affirmé hier qu’il ne dialoguerait avec le président William Ruto qu’en présence d’un «médiateur», pour mettre fin à plusieurs mois de manifestations meurtrières contre le gouvernement et la hausse du coût de la vie.
Un collectif de gauche a appelé hier à des rassemblements citoyens, dressant un tableau désastreux des fractures de la société française. Il propose des remèdes, car «l’escalade des violences est une impasse et doit cesser».
Plusieurs centaines de partisans du Front de salut national (FSN), le principal bloc d’opposants au président tunisien, Kaïs Saïed, ont manifesté hier pour réclamer la libération d’une vingtaine de personnalités arrêtées depuis février pour «complot contre la sécurité de l’Etat», rapporte l’AFP.
Plusieurs centaines de militants syndicaux ont manifesté lundi à Rabat, à l’occasion de la Fête du travail, pour protester contre la «détérioration du pouvoir d’achat» et la poussée inflationniste au Maroc, marquée par l’envolée des prix des denrées alimentaires.
Le 1er mai 1945, des citoyens de Cherchell, des militants du PPA, manifestent en bravant les interdits et en défiant les autorités coloniales, afin de revendiquer l’Indépendance de l’Algérie et la libération du leader du PPA, Messali Hadj.
Des fonctionnaires de la direction des services agricoles (DSA) de la wilaya de Bouira ont organisé ce jeudi un rassemblement de protestation devant le site de la direction, exigeant le départ « pur et simple » de la directrice.
Jair Bolsonaro devra témoigner sous dix jours dans l'affaire des émeutes du 8 janvier, a ordonné un juge de la Cour suprême fédérale, resserrant l'étau sur l'ancien président brésilien d'extrême droite, sous le coup de cinq enquêtes des hauts magistrats.
La colère sociale va grandissante au Maroc. Des milliers de personnes ont manifesté durant la soirée du samedi 8 avril dans les rues de plusieurs villes du pays contre la cherté de la vie, ont rapporté nombre de médias étrangers.