l Les forces d’occupation sionistes poursuivaient le bombardement de l’hôpital Kamal Adwan dans la ville de Beit Lahia, au nord de la bande de Ghaza, au milieu d’appels à sauver les patients et le personnel médical, a rapporté l’agence palestinienne de presse Wafa, citant des sources médicales.
Peu à peu s’estompe l’émotion suscitée par la chute de Bachar Al Assad et se mettent en place de nouveaux jeux géopolitiques dans lesquels est intégrée la nouvelle Syrie libérée par le mouvement Hayat Tarhir Al Sham, conduit par Mohammad Al Joulani.
Depuis la chute du président syrien, Bachar Al Assad, les autorités israéliennes ont pris des mesures pour renforcer leur présence militaire et civile dans le Golan syrien occupé.
Israël s’acharne comme jamais sur la Syrie. On aurait pu penser qu’il accorderait un peu de répit à ce peuple qui sort d’une dictature sanglante qui lui a été imposée depuis 53 ans par le clan Al Assad.
Après avoir pris le contrôle de la zone tampon à la lisière de la partie du plateau du Golan occupé, en «violation» de l’accord de désengagement de 1974, selon l’ONU, Israël a mené des attaques massives contre les installations militaires syriennes.
Voilà près d’un mois que la colère de la société civile marocaine, et même du peuple marocain dans son ensemble, ne s’est pas déridée. La raison ? L’accostage, la première semaine de novembre dernier, d’un navire de guerre israélien au port de Tanger en vue de son ravitaillement.
Dans son dernier rapport, Amnesty International a affirmé sur la base d’une enquête documenté qu’Israël «a commis et continue de commettre un génocide contre la population de Ghaza». Le rapport a été précédé par la publication par des médias américain et britannique, de nombreux aveux glaçants de soldats israéliens sur les crimes de guerre commis à Ghaza.
L’armée d’occupation israélienne continue de semer la mort dans la bande de Ghaza, alors que l’Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a annoncé suspendre la livraison d’aide, depuis un point de passage clé avec Israël.
Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah est entré en vigueur au Liban, hier à 4h, après des mois de tentatives diplomatiques menées par les Etats-Unis et la France.
Deux mille vingt cinq (2025) s’annonce comme une année chaotique pour un monde qui a déjà souffert de 2024 qui tire a sa fin. Deux chaudrons risquent l’ébullition, le Moyen-Orient et l’Ukraine dans la perspective de la prise de fonction de Donald Trump.
Les débats autour de la situation humanitaire à Ghaza se sont poursuivis très tard dans la soirée d’hier, au sein du Conseil de sécurité de l’Onu, et devront se terminer par le vote d’un projet de résolution présenté et rédigé par le Guyana et les 10 membres non permanents du Conseil de sécurité, exigeant un cessez-le-feu «immédiat, inconditionnel et permanent» à Ghaza.
Jamais l’administration américaine ne s’est autant couchée que celle de Joe Biden. Celui-ci a fait preuve d’une horrible faiblesse devant Benyamin Netanyahu, qui n’a raté aucune occasion de l’humilier publiquement ainsi que son secrétaire d’Etat Antony Blinken.
Tout ce que compte la France, principalement Paris, en sionistes militants et sympathisants se mobilise pour voler au secours d’Israël et de son gouvernent englués dans une guerre interminable et dévastatrice sur divers fronts, dénoncée par le monde entier pour son impact génocidaire sur les populations de Ghaza et du Liban.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a ouvert, hier, à la demande de l’Algérie, du Guyana, de la Slovénie et de la Suisse, un débat sur la famine au nord de Ghaza. La réunion se tient alors que le délai d’un mois imposé par les Etats-Unis à Israël, pour autoriser l’accès de l’aide humanitaire à l’enclave sous peine de blocus sur les armes, tire à sa fin sans que l’Etat hébreu n’apporte les réponses exigées.
C’est un témoignage édifiant venu du XXe siècle. L’actualité immédiate du génocide en cours à Ghaza fait écho aux humiliations anciennes subies par le peuple palestinien sur sa terre.
L'Iran a récemment demandé l'instauration d'un embargo sur les armes à destination d'Israël et a exigé son exclusion des Nations Unies, en réaction à une frappe israélienne survenue près de Damas, en Syrie.
En pleine escalade des tensions au Moyen-Orient, un groupe de huit journalistes marocains du secteur public et privé a effectué une visite en Israël du 4 au 9 novembre. Cette invitation, émise par le gouvernement israélien et organisée par le bureau de liaison israélien à Rabat, a suscité de vives réactions au sein de l’opinion publique marocaine et arabe, en raison du contexte actuel de violences intensifiées à Ghaza et des attaques qui se sont étendues jusqu’au Liban.
Très mauvaise nouvelle pour le peuple palestinien, son ennemi mortel vient d’entrer à la Maison-Blanche. Le psychopathe Benyamin Netanyahu a tout fait pour prolonger la guerre, engageant l’armée israélienne dans la pire campagne de massacres et de destructions depuis la création d’Israël.
Pour Israël, les Etats-Unis n’hésitent pas à se transformer en pyromanes, à se transformer en ennemis de la paix et de la justice, en violation de leurs obligations internationales en tant que membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
La Fédération palestinienne de football (FPF) a demandé et obtenu l’inscription à l’ordre du jour du 74e congrès de la FIFA tenu à Hong Kong, la situation en Palestine. Les crimes de guerre commis par l’armée israélienne ne laissent plus personne indifférent sur le drame que vit le peuple palestinien.