Les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France ont déposé une résolution condamnant le manque de coopération de l'Iran dans le dossier nucléaire, malgré une mise en garde de Téhéran, au premier jour hier d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) à Vienne, rappelle l’AFP.
L'Iran a dénoncé mardi comme «injustifiables» les nouvelles sanctions annoncées par l'Union européenne et le Royaume-Uni en raison de son soutien présumé à la Russie dans l'invasion de l'Ukraine.
Le New York Times a affirmé que l’homme d’affaires avait rencontré l’ambassadeur du régime des Mollahs auprès de l’ONU.
Si la rencontre était confirmée, elle pourrait être le signe que le président élu a décidé d’opter pour une approche diplomatique avec Téhéran.
L'Iran a récemment demandé l'instauration d'un embargo sur les armes à destination d'Israël et a exigé son exclusion des Nations Unies, en réaction à une frappe israélienne survenue près de Damas, en Syrie.
Le ministre des Sciences, de la Recherche et des Technologie a affirmé que l'étudiante n'a pas été exclue de son université.
L e président iranien Ebrahim Raïssi et son ministre des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian sont morts dans un accident d’hélicoptère dans le nord-ouest de l’Iran, a annoncé, hier, le gouvernement de ce pays, poids lourd du Moyen-Orient.
Le 17 avril 2024, 01h Gmt, le Brent a été coté à 90,07 dollars (84,82 euros) et le Wit 85,28 dollars (80,30 euros) malgré l’attaque de l’Iran contre Israël, le marché tablant sur une désescalade plus probable qu’un embrasement de la région surtout après la décision américaine, principal allié d’Israël, et les recommandations de la communauté internationale d’éviter toute escalade qui risque de plonger l’économie mondiale vers une turbulence généralisée. Comme les tensions en Iran et Israël ne doivent pas faire oublier, pour la stabilité de la région, l’urgence d’un Etat palestinien.
Que retenir d’essentiel de cette fièvre qui a secoué ces derniers jours le Proche-Orient ? Que l’Occident quasi unanimement a volé au secours d’Israël, alors que ce pays a été l'agresseur, tuant deux généraux des Gardiens de la révolution, le 1er avril, lors d’une frappe contre le consulat iranien à Damas, et qu’il a bafoué l’immunité diplomatique iranienne et violé l’espace aérien syrien.
Dans la nuit de samedi à hier, l’Iran a mené une attaque massive avec drones et missiles à partir son territoire contre Israël. Une première, sachant qu’un conflit plus ou moins larvé de plusieurs décennies oppose les deux pays du Moyen-Orient. Hier, Téhéran a appelé Tel-Aviv à ne pas réagir militairement à son opération, qu’il a présentée comme une riposte justifiée à la frappe ayant détruit son consulat à Damas le 1er avril.
L’Iran a juré hier de riposter au raid meurtrier contre son consulat à Damas imputé à Israël, une attaque inédite condamnée par plusieurs pays et qui accroît les tensions au Moyen-Orient en pleine guerre à Ghaza.
Le gouvernement iranien a annoncé hier une série de contrats d’une valeur de 13 milliards de dollars pour accroître sa production de pétrole en dépit des sanctions imposées par les Etats-Unis depuis 2018.
Un individu de 30 ans, animé par un différend familial, a tragiquement ôté la vie à 12 membres de sa famille, incluant son père et son frère, en utilisant une arme de type kalachnikov, à proximité de la ville de Faryab, dans la province de Kerman.
La femme la plus âgée d'Iran est décédée à l'âge de 125 ans, selon les documents officiels, a annoncé mardi la télévision d'État, bien que son statut de doyenne de l'humanité n'ait pas été reconnu par le Guinness World Records.
Le 2 février, le gouvernement américain a imposé de nouvelles sanctions économiques et judiciaires contre l'Iran, simultanément aux frappes menées par ses forces armées en Iran et en Syrie, ciblant les Gardiens de la Révolution de Téhéran et des groupes pro-iraniens.
L’Iran a appelé hier les Etats-Unis à «cesser d’utiliser le langage de la menace», alors que Washington a promis des représailles après la mort de trois militaires dans une attaque imputée à un groupe pro-iranien.
Tous les ingrédients théoriques semblent réunis pour que les tensions au Moyen-Orient dégénèrent en conflit régional majeur. La mécanique des événements et son coefficient d’imprévisibilité, qui a augmenté au fur et à mesure que se prolongeait la guerre contre Ghaza, font que le scénario tant redouté par Washington risque de devenir une réalité.
Le Pakistan se voit entraîné dans un avatar inattendu du conflit au Moyen-Orient par un Iran qui cherche à sauvegarder son statut dissuasif de puissance militaire régionale et à anticiper des attaques contre sa sécurité, à l’image du double attentat meurtrier, début janvier, qui a ciblé le pays.
Le Pakistan a accusé l’Iran d’une frappe aérienne ayant tué deux enfants sur son territoire, après des raids similaires conduits en Irak et en Syrie par Téhéran contre ce que l’Iran a qualifié de «groupes terroristes anti-iraniens».
Dès minuit, les images de tirs, d’explosion, de la fumée qui s’élève, non loin du consulat américain et le retentissement des sirènes dans la région d’Erbil, située au Kurdistan irakien, ont fait le buzz sur les plateformes numériques, suscitant les plus folles interprétations, et se sont accentuées avec l’arrêt des activités de l’aéroport.