L’Algérie prépare activement la Foire commerciale intra-africaine 2025 (IATF-2025), prévue à Alger du 4 au 10 septembre 2025. Regroupant plus de 2000 exposants, l’IATF-2025 devrait déboucher sur «des accords commerciaux et d’investissement d’une valeur de plus de 44 milliards de dollars, mettant en lumière l’impact croissant de la foire en tant que premier marché d’Afrique», indiquent les organisateurs.
Réagissant à un appel de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), en faveur de l’investissement dans l’amont pétrolier et gazier, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) se réjouit de voir l’AIE partager à nouveau ses analyses sur l’avenir du marché, tout en appelant l’Agence à éviter les analyses contradictoires et les messages incohérents et à revenir à une analyse basée sur les «réalités» et à se concentrer sur son mandat de sécurité énergétique.
Les membres de la commission des affaires économiques, du développement, de l’industrie, du commerce et de la planification au niveau de l’Assemblée populaire nationale (APN), ont reçu hier le ministre d’Etat, ministre de l’Energie, des Mines et des Energies renouvelables qui leur a présenté le projet de loi régissant les activités minières.
Le continent africain est appelé à multiplier les investissements transcontinentaux afin de faire évoluer la frontière énergétique de l’Afrique.
Après l'acier et l'aluminium, Donald Trump agite la menace de droits de douane de 25% sur les semi-conducteurs, l'automobile et les médicaments. Le président américain a signé un mémo visant à freiner les investissements chinois dans des secteurs stratégiques américains, dont la technologie et les infrastructures critiques, une initiative fermement dénoncée, selon l’AFP, samedi par Pékin, qui la juge «discriminatoire».
L’Algérie prévoit le lancement de cinq zones économiques spéciales (ZES), dont celle de Debdeb ( Tindouf) en phase de réalisation. Et ce, en attendant l’approfondissement de la réflexion sur les ZES et l’élaboration d’une réglementation dédiée à cet effet, comme c’est le cas dans les économies développées.
Un fort élan de coopération marque les relations économiques entre l’Algérie et la Turquie depuis quelques années.
Le ministre d’Etat, ministre de l’Energie, des Mines et des Energies renouvelables, Mohamed Arkab, a reçu hier le PDG de la société saoudienne Midad Energy North Africa (MenA), Sheikh Abdulelah Bin Mohammed Bin Abdullah Al Aiban.
L’assurance des investissements nationaux à l’étranger viendra renforcer et diversifier la gamme de produits de la Cagex. Jusqu’ici, cet organisme offrait l’assurance-crédit à l’exportation, qui couvre les exportateurs contre les risques d’insolvabilité des acheteurs.
Des initiatives ont été lancées pour moderniser et diversifier les infrastructures hydrauliques du pays.
Quatre sites représentant une superficie totale de plus de 46 480 m² ont été identifiés dans la wilaya de Timimoun pour accueillir des projets d’investissement variés. Ces initiatives, détaillées par les responsables du guichet unique local de l’investissement, rattaché à l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI), visent à encourager le développement économique de cette région en plein essor.
L’octroi répété d’incitations fiscales et douanières (IFD) affaiblit le recouvrement des recettes budgétaires en Algérie, sans pour autant générer les bénéfices macroéconomiques attendus en termes de croissance, de diversification des exportations et de création d’emplois. Entre 2014 et 2024, la part des recettes fiscales par rapport au PIB diminuait, passant de 12,2% à 11,2%, bien en deçà du potentiel estimé à 15% (40% pour un pays avancé). Ce niveau de 11,2% reste faible, même comparé à des pays ayant une structure économique similaire.
Les récentes visites de travail et d’inspection effectuées à l’intérieur du pays par le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique ont pour entre autres effets de révéler à l’opinion publique un potentiel économique en pleine expansion.
Sous l’impulsion de la présidence de la République via le ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI), (ex-ANDI) a accordé, hier, à l’EPE Sider El Hadjar, une ultime prorogation de délai d’une année.
La Banque africaine de l’énergie, fruit d’un partenariat entre Afreximbank et l’Organisation des producteurs de pétrole africains (APPO), devrait lancer son activité «plus tard cette année avec un capital initial autorisé de 5 milliards de dollars», rapporte l’agence Reuters.
L’investissement dans la production du gaz naturel est crucial ; car d’ici 2050, la demande va connaître un accroissement important, surtout dans les pays asiatiques.
Encourager l’investissement national se place parmi les priorités des pouvoirs publics. Le chef de l’Etat n’a eu de cesse d’affirmer, pour sa part, l’impérieuse relance économique basée sur le potentiel local et renforcé par les IDE dans la perspective de la diversification des produits et pourquoi pas de se frayer un chemin vers le marché international.
L’opérateur de téléphonie mobile, Djezzy, a réalisé des investissements de plus de 24,9 milliards de dinars en 2023, en hausse de 38,5% sur un an, selon un communiqué publié hier par cette entreprise publique.
Annoncée en grande pompe après sa validation du temps de la «issaba», cette joint-venture allait, entre autres, créer de l’emploi, fabriquer du rail et éliminer même l’importation des pipelines qui servaient l’industrie pétrolière et hydraulique. Janvier 2024 : rien n’a été fait.
Depuis la première découverte d’un champ gazier en 1956 à Hassi R’mel, entré en production le 1er avril 1961, et le recouvrement de la souveraineté nationale en 1962, l’Algérie n’a cessé d’augmenter ses investissements dans ce secteur névralgique.