Le groupe Sonatrach a signé deux mémorandums d’entente (MoU) avec l’américain Occidental Petroleum Corporation (Oxy), en vue de consolider et étendre leur coopération à travers de nouvelles opportunités de partenariat dans le domaine de l’exploration et la production des hydrocarbures en Algérie.
Le PDG du groupe Sonatrach, Rachid Hachichi, accompagné d’une délégation de haut niveau, a pris part aux travaux du forum algéro-américain de l’Energie 2025, tenu à Houston (Etats-Unis), durant lequel il a réaffirmé l’engagement constant de Sonatrach à explorer de nouvelles perspectives d’investissement, a indiqué hier un communiqué du groupe.
Le renforcement de la coopération bilatérale, dans les domaines de la production, du transport, de la distribution et de la transformation de l’électricité, le développement de projets d’énergies renouvelables ainsi que les opportunités de renforcement de la coopération commerciale et de la formation, ont été les principaux points abordés par le ministre de l’Energie avec ses homologues éthiopiens lors de la visite qu’il effectue actuellement en Ethiopie.
l «L’Algérie est un partenaire clé pour la sécurité énergétique italienne et européenne dans une situation historique particulièrement délicate au niveau international», a indiqué une note publiée par le du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, à la veille de la visite du chef de la diplomatie italienne en Algérie, et la tenue du forum d’affaires bilatéral.
L’Algérie a pris part au Sommet international de l’énergie du Nigeria (NIES 2025) en vue de mettre en l’avant l’importance du renforcement de la coopération énergétique africaine et l’engagement de l’Algérie à développer des projets communs d’infrastructures, notamment le projet de gazoduc transsaharien (TSGP), qui permettra l’intégration des ressources gazières de l’Afrique dans le marché mondial et renforcera la sécurité énergétique du continent.
La seule filière qui offre des prix fixes sur 25 ans reste, selon l’expert en énergie Tewfik Hasni, le mix 80% chaleur avec stockage et 20% photovoltaïque. Dans ce cas, il estime que le seul pays qui peut offrir cette ressource reste l’Algérie, et ce, d’autant, relève-t-il, que cette filière peut décarboner toutes les industries. Ce qui offre, de l’avis de notre expert, la possibilité à l’Algérie de renégocier ses relations avec l’UE, en affichant l’ambition de devenir l’atelier de l’Europe.
La nécessité de rationaliser la consommation d'énergie tout en augmentant les investissements énergétiques, et en investissant dans les énergies nouvelles, telles que l'hydrogène vert et l'énergie solaire, ont été les principales directives données au gouvernement par le président de la République, lors du dernier Conseil des ministres.
L’Allemagne et le groupe de la Banque africaine de développement (BAD) ont annoncé des initiatives conjointes visant à accélérer l’accès à l’énergie et la croissance du secteur privé en Afrique.
Le Sommet des chefs d’Etat africains sur l’énergie, Mission 300, qui s’est tenu pendant deux jours à Dar Essalam en Tanzanie, s’est clôturé hier avec l’adoption d’une déclaration d’engagement visant à «mener des réformes et des actions concrètes pour élargir l’accès à une électricité fiable, abordable, durable stimulant la croissance économique, améliorant la qualité de vie et encourageant la création d’emplois sur tout le continent».
La capitale tanzanienne Dar Essalem abritera les 27 et 28 janvier le Sommet africain de l’énergie. Cette rencontre réunira des chefs d’Etat et de gouvernement africains, des dirigeants du secteur privé, des partenaires au développement et des donateurs, des experts, des organisations de la société civile et des acteurs du monde universitaire.
Le secteur agricole ne cesse d’exprimer ses besoins d’une grande capacité énergétique, avec la création de vastes périmètres agricoles dans la wilaya de Touggourt. Lors de la visite du ministre de tutelle en avril dernier, des instructions ont été données pour fournir de l’électricité à tous les périmètres agricoles établi.
En cette nouvelle année 2025, l’Algérie fait face à de nombreux défis climatiques et de développement durable. Le pays fait d’abord face à une diminution des précipitations, attestée par les hydrologues, aggravant la désertification et le stress hydrique.
Face à la hausse de la consommation interne d’énergie, les pouvoirs publics ont pris la décision de mettre fin aux subventions généralisées des prix du gaz naturel pour les gros consommateurs industriels.
L'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) et l'Organisation mondiale du commerce (OMC) prévoient que l'hydrogène renouvelable et ses dérivés, comme l'ammoniac, le méthanol et le kérosène électronique, joueront un rôle crucial dans la transition énergétique mondiale.
Accompagné du président-directeur général du groupe Sonelgaz et du Commissaire à l’énergie nucléaire Comena, le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, prendra part, aujourd’hui à Rome, à la réunion ministérielle du Groupe mondial pour l’énergie de fusion (WFEG), relevant de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
Cet entretien croisé associe deux universitaires de la diaspora, Abdeljalil Belarbi, professeur éminent de l’université de Houston, Texas, et Abdelhafid Khelidj, professeur à l’IUT Saint Nazaire, université de Nantes, responsable de la licence professionnelle et en conduite de projets de travaux publics, selon leurs qualifications académiques respectives.
L’ambassadeur de la République de Corée en Algérie, You Ki-Jun, a souligné, hier à Oran, l’importance du renforcement de la coopération bilatérale entre son pays et l’Algérie dans de nombreux secteurs, notamment l’énergie, la technologie, la pêche et l’enseignement supérieur.
«L’Algérie ambitionne d’augmenter la production de gaz à 110 milliards de mètres cubes par an», a affirmé le ministre, qui intervenait lors de l’ouverture de la Conférence ministérielle du G7 sur le climat.
Le secteur des mines a connu une augmentation de production, notamment pour le fer (+5,6%), le phosphate (+3%), le sel (+21%), le marbre (+23%) et l’or (+6,3%), a affirmé le ministre de l’Enérgie et des Mines, Mohamed Arkab, lundi lors d’une séance d’audition devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée populaire nationale (APN), où il a présenté les principales réalisations du secteur en 2023.
L’OPEP+ pourrait envisager de poursuivre ses réductions actuelles de l’approvisionnement en pétrole au cours du second trimestre 2024, dans le but d’éviter une offre excédentaire et soutenir les prix, indiquent des analystes de l’industrie pétrolière.