La science, la technologie et l’innovation représentent des enjeux majeurs pour le progrès technologique et le développement économique et social.
Les nervis de l’extrême droite n’ont pas encore digéré la défaite subie par la France suite à la Guerre de libération. Les Bernard Lugan, Eric Moshe Zemmour et autres propagandistes ont été missionnés par le lobby sioniste et les magnats de la presse française que sont les Vincent Bolloré et Cie pour semer les graines de la discorde et de la haine entre les peuples frères algérien et marocain, à travers le conflit du Sahara occidental, par une falsification éhontée de l’histoire de l’Algérie et du Maroc, pour accentuer leur dépendance envers les grandes puissances.
Le changement climatique, ou réchauffement de la terre causé par les gaz à effet de serre produits principalement par l’activité humaine, est aujourd’hui ressenti partout dans le monde. L’agriculture étant considérée comme secteur économique le plus sensible aux effets négatifs de ce phénomène.
Les BRICS peuvent-ils vraiment émerger comme un collectif qui rejettera l’ordre néolibéral actuel ? Le projet politique des BRICS peut-il réellement s’inscrire dans le sillage de la conférence de Bandung qui, en 1955, avait marqué l’émergence du Mouvement des non-alignés qui va revendiquer un nouvel ordre économique international ?
Le monde est entré dans une période mouvementée de transition globale, une évolution de fond, à très long terme, qui signale le crépuscule d’une époque où, en paraphrasant Marx, une partie du monde en tant que telle est traitée par l’autre comme une simple condition organique et matérielle de sa propre reproduction.
Les nouvelles politiques économiques que l’administration républicaine devrait mettre en œuvre à partir du 21 janvier 2025 auront un impact majeur sur les économies américaine et des autres pays dans le monde. Les Etats-Unis disposent de la plus grande économie du monde, émettent la monnaie de réserve internationale et abritent les plus grandes banques et entreprises de la planète.
L’arrestation de Boualem Sansal par les autorités algériennes a déclenché une vive réaction en France, où de nombreuses voix, parmi surtout les courants politiques et intellectuels de la droite et l’extrême-droite, dénoncent une atteinte à la liberté d’expression.
Cela fait 20 ans que je lis systématiquement le roman que vous récompensez, par curiosité et par passion de la littérature. Souvent, j’ai été bousculée, admirative, sceptique devant le choix de l’Académie.
Quand on regarde ces images d’enfants désespérés, on se demande où est l’humanité? Où est le droit internatonal? «Oui mais le Hamas utilise cet enfant et ses parents comme bouclier» disent Biden et Macron. Est-ce une raison pour tirer sur le bouclier?
Au début de son premier mandat, dans une de ses interventions télévisées, le président Abdelmadjid Tebboune donnait un cap stratégique à l’Ecole algérienne.
Les communes disposent de larges prérogatives en matière de promotion des activités physiques et sportives tel que prévu par la loi 13/05 qui dispose en la matière dans ses articles 7, 43, 51 et 55 que l’Etat et les collectivités locales agissent dans ce domaine en relation avec les fédérations sportives, les ligues et les clubs et associations sportifs et toute personne de droit public ou privé.
Si les performances de l’économie algérienne en 2024 sont globalement satisfaisantes, malgré des chocs externes et internes successifs depuis 2020, des réformes globales s’avèrent nécessaires pour renforcer les perspectives de croissance à moyen terme.
Dans son commentaire sur le projet d’articles sur la responsabilité des Etats, la CDI a souligné que «[l]’existence d’une obligation de non-reconnaissance face à des violations graves d’obligations découlant de normes impératives est étayée par la pratique internationale et la jurisprudence de la Cour internationale de justice».
Dans une émission radiophonique captée sur une des radios de la ville de Memphis Tennessee, l’histoire de l’Afrique du Nord, particulièrement de l’Algérie, a été évoquée en relation avec celle de l’Egypte antique.
En général, lorsqu’un écrivain ou un universitaire du Tiers-Monde obtient une distinction en Occident, qu’elle soit littéraire ou scientifique, les citoyens de son pays d’origine expriment de la fierté et portent le lauréat dans leur cœur. Ce n’est pas le cas de Kamel Daoud, qui a reçu le prix Goncourt 2024. Comment expliquer le rejet dont il fait l’objet ?
Au moment où la Cour internationale de justice (CIJ) vient de réaffirmer, dans son avis consultatif historique sur la Palestine, le caractère impératif «du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes» et l’opposabilité erga omnes de l’obligation de non-reconnaissance d’une situation née de violations graves de normes impératives du droit international, le président français a décidé de reconnaître le fait colonial imposé par le Maroc au Sahara occidental, en déclarant, dans une lettre adressée au roi Mohammed VI, à l’occasion du 25e anniversaire de son accession au trône, que «le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine» et que le plan d’autonomie proposé par le Maroc en 2007 constitue désormais «la seule base» pour aboutir à une solution politique du conflit du Sahara occidental.
Quand on parle d’évaluation, on pense à celle du travail des élèves. Rarement de l’évaluation du système scolaire, de ses innovations et de leur impact. Une fois n’est pas coutume, cette modeste contribution ne concernera pas l’évaluation des élèves.
Les droits culturels sont partie intégrante des droits de l’homme, qui sont universels, indissociables et interdépendants» (déclaration universelle de l’Unesco sur la diversité culturelle).
Ces projets ont été officiellement annoncés dans le passé et ont fait l’objet de mémorandums d’entente. Ils concernent l’interconnexion électrique sous-marine en courant continu haute tension que l’Algérie envisage de tirer vers l’Italie pour exporter des surplus d’électricité. Tout comme elle concerne la production d’hydrogène vert qu’elle ambitionne de développer et d’en exporter l’essentiel.
L’octroi répété d’incitations fiscales et douanières (IFD) affaiblit le recouvrement des recettes budgétaires en Algérie, sans pour autant générer les bénéfices macroéconomiques attendus en termes de croissance, de diversification des exportations et de création d’emplois. Entre 2014 et 2024, la part des recettes fiscales par rapport au PIB diminuait, passant de 12,2% à 11,2%, bien en deçà du potentiel estimé à 15% (40% pour un pays avancé). Ce niveau de 11,2% reste faible, même comparé à des pays ayant une structure économique similaire.