l De l’eau, de la verdure, des rivières qui coulent et des arbres qui poussent mais des navets, pas relatifs au cinéma mais à ce légume blanc, qui vaut aujourd’hui 300 DA le kilo. Le printemps est beau et exceptionnel cette année, mais sera-t-il productif ? Les projets cinéma sont nombreux et ce n’est peut-être pas que du cinéma.
Ce n’est pas la première fois qu’un cinéaste tente d’adapter l’œuvre phare du romancier Frank Herbert en 5 tomes, parue en 1965 et vendue à 20 millions d’exemplaires, soit le livre de science-fiction le plus vendu de tous les temps.
Le mois du jeûne, qui coïncide avec le mois des recettes records pour les régies publicitaires et les chaînes TV, tire à sa fin l L’occasion d’un bilan avant de revenir au cinéma.
Grande tristesse nationale en ce mois de mars 2024, Numidia Lezzoul est morte, après un passage en mandat de dépôt pour «escroquerie» en 2022. Sauf qu'elle avait été acquittée en appel et est morte, mais dans une fiction TV, Dmou3 louliya, la série phare de Samira TV, par ailleurs chaîne culinaire.
Le mois du jeûne n’est pas de tout repos, déjà une cinquantaine de morts pour 1000 accidents de voiture, cherté de la vie avec viande locale à 2800 DA le kilo. Et des polémiques sur les chaînes TV pour leurs séries qui amassent beaucoup d’argent.
Réalisateur prodige, il a réalisé un film, Yed Fatma, plusieurs séries TV qui touchent à chaque fois, Timoucha par exemple et surtout Eddama l’année dernière, qui a ravi les téléspectateurs et créé une polémique chez les regardants. Cette année, il est aux commandes de El Barrani sur Echourouk TV. Réalisateur prodige, il a réalisé un film, Yed Fatma, plusieurs séries TV qui touchent à chaque fois, Timoucha par exemple et surtout Eddama l’année dernière, qui a ravi les téléspectateurs et créé une polémique chez les regardants. Cette année, il est aux commandes de El Barrani sur Echourouk TV.
Depuis le début du mois de Ramadhan, les chaînes TV rivalisent entre séries et feuilletons, avec du bon et du moins bon. Du cinéma ? Pour certaines séries, on s’en approche, pour d’autres, c’est encore de la télévision, mais devant le vide pédagogique, le Ramadhan restera l’école de formation pour tous les métiers du cinéma.
Ex-directeur du Théâtre national, enseignant et organisateur d’événements culturels, il a eu le Prix de la mise en scène pour la célèbre pièce Galou laarab galou en 1983 au Festival de Carthage puis le Grand prix sur deux éditions successives en 1987 et 1989 de la même manifestation pour Les Martyrs reviennent cette semaine et El Ayta.
Au cinéma, on connait surtout les comédiens, un peu moins les réalisateurs, encore moins les scénaristes et pas du tout les techniciens, ces minutieux artisans sans nom sans qui un film n’existerait pas.
Combien d’adhérents à l’association ? 500 abonnés à travers 17 wilayas, et parmi eux, 90 ont déjà obtenu leur carte professionnelle.
Ce qu’il se passe dans la réalité se voit au cinéma. Est-ce vrai ? Oui, dans une certaine mesure, les films surfant sur les tendances, on y retrouve souvent dedans ce qu’on pense dehors. L’Autre, cet être étrange, est l’objet du fantasme aussi bien du réalisateur que du spectateur, et, à ce titre, on a longtemps cru à travers le cinéma américain que les Indiens étaient les méchants, et les Blancs, Européens, les gentils.
Avec la vengeance et la légitime défense, ressorts souvent utilisés dans les films de guerre, retour sur Munich de Spielberg, une fiction basée sur des faits réels autour des assassinats du Mossad après la prise d’otages des JO de Munich en 1972 avec, dans la foulée, celui de Mohamed Boudia, et un parallèle troublant avec la situation d’aujourd’hui.