Pas moins de 837 nouveaux cas de cancer ont été enregistrés, en 2022, chez les enfants et adolescents âgés de 0 à 19 ans.» C’est ce qu’indique le registre national des cancers publié récemment.
L’Etat algérien accorde une attention particulière au cancer», c’est ce qu’a affirmé le ministre de la Santé, Abdelhak Saïhi, lors de l’ouverture des assises nationales dédiées à la lutte contre le cancer.
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Faycal Bentaleb, a réaffirmé l’engagement du secteur à contribuer efficacement à la lutte contre le cancer, et cela à travers un partenariat complémentaire en matière de prévention, de prise en charge et de traitement.
En vue de l’ouverture partielle du centre anticancer (CAC) de Tiaret prévue le 5 juillet 2025, une feuille de route devra être élaborée pour cerner avec précision les aspects procéduraux, tant administratifs que techniques, en tenant compte des avis des principaux acteurs du secteur sanitaire.» ’est ce qu’a déclaré la wilaya via un communiqué paru sur sa page Facebook.
La stratégie de la prise en charge du cancer en Algérie, adoptée jusqu’à présent, s’est appuyée sur de nombreuses mesures. Et aujourd’hui, nous allons évaluer ses résultats et nous demander s’il est nécessaire de la développer davantage.»
Les malades atteints de cancer sont pris en charge principalement dans les services d’oncologie de Béjaïa, notamment, au Centre hospitalier Khellil Amrane et à l’EPH de la ville d’Amizour. Il n’est un secret pour personne que ces deux structures ploient déjà sous le poids des patients qui affluent de la région, mais des wilayas limitrophes.
Le nombre de séances de chimiothérapie réalisées, l’année dernière, à Draâ Ben Khedda a été de 47 998 séances, selon Dr, Djadjoua, médecin chef au service chirurgie du Centre anti-cancer (CAC).
Chaque année, l’Algérie enregistre entre 55 000 et 65 000 nouveaux cas de cancer avec une prévision à la hausse de 50% d’ici 2040. Cette progression rapide de cette pathologie inquiète et interpelle les pouvoirs publics, qui estiment que «la lutte contre ce fléau est l’affaire de tous».
Le projet portant production de matières premières destinées à la fabrication de médicaments d'oncologie, réalisé par le groupe Saidal dans la wilaya de Sétif, sera bientôt lancé», c’est ce qu’a affirmé, jeudi, le ministre de l'Industrie pharmaceutique, Wassim Kouidri, lors d’un point de presse tenu à l’occasion de la 19e édition du Salon international de la pharmacie (Siphal) 2025.
Abdelhak Saïhi a rappelé que l’Etat a alloué 45% du budget de la Pharmacie centrale aux hôpitaux, soit l’équivalent de 80 milliards de dinars afin de couvrir les frais de médicaments utilisés dans le traitement du cancer.
La journée du 4 février est devenue, depuis les années 2000, un moment de mobilisation internationale contre le cancer. Elle est consacrée à la prévention et la lutte contre ce dernier. De nombreux cancers peuvent être prévenus en évitant les principaux facteurs de risque, comme le tabagisme. Explications !
Le Centre hospitalo-universitaire (CHU) d’Annaba franchit une nouvelle étape dans la lutte contre le cancer grâce à des équipements de dernière génération, récemment acquis pour le Centre de lutte contre le cancer.
C’est officiel ! La 3e édition du Salon Healthcare Expo et conférences 2024 ainsi que la 1re édition de l’Algerian dental expo (Adex) se tiendront du 5 au 7 décembre au Palais des expositions (Safex) à Alger. «Il faut savoir que le Healthcare Expo est un salon de référence qui vise à réunir les acteurs majeurs du secteur de la santé, à savoir les professionnels de la santé, les entreprises du secteur ainsi que les institutions publiques et privées», explique Mohammed Ziane, fondateur des salons.
L’établissement hospitalier spécialisé (EHS) de lutte contre le cancer de Blida a lancé une campagne de sensibilisation pour le dépistage du cancer de la prostate, au titre de «Novembre bleu» dédié à la sensibilisation sur ce type de cancer, a-t-on appris auprès de cet établissement.
Le registre des tumeurs d’Alger de l’INSP, publié ces derniers jours, a relevé que le profil épidémiologique des cancers en 2021 dans la population algéroise n’a pas subi de grands changements.
Quelle est la stratégie du secteur de la santé pour réduire les cas d’atteinte du cancer ? A cette interrogation d’un député, formulée lors d’une séance plénière consacrée, jeudi dernier, aux questions orales, le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a soutenu que son secteur œuvrait à «créer de nouveaux pôles de santé pour épargner aux patients la peine de se déplacer, notamment pour les régions du Sud», ajoutant que «l’Etat déploie de grands efforts pour assurer une meilleure prise en charge sanitaire aux citoyens et veille à assurer une répartition équitable des structures de santé sur l’ensemble du territoire national».
Une journée scientifique sur le thème s’est tenue au niveau de l’EPH Fares Yahia de Miliana organisée en collaboration avec l’association El Fedjr d’aide aux personnes atteintes du cancer de Aïn Defla.
Le taux d’incidence du cancer ne fléchit pas dans la wilaya de Boumerdès. Malgré les campagnes de dépistage et de prévention menées notamment par l’association Errahma, les chiffres liés à cette pathologie donnent encore froid dans le dos.
La 7e édition du «Sican 2024», le Salon national de l’information sur le cancer, s’est ouverte samedi à Alger, et cela, en présence du ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, le professeur Mokhtar Hazbalawi, mais aussi Hamida Kettab, présidente de l’association El Amel de lutte contre le cancer ou encore le représentant de l’Organisation mondiale de la santé en Algérie.
L’Algérie a franchi des étapes importantes en matière de prise en charge des malades atteints du cancer. Ce ne sont pas les politiques qui le disent mais des médecins spécialistes.