Pourtant confrontés aux activités humaines de plus en plus intenses, à la pratique de la chasse et aux présences de prédateurs, les coyotes (Canis latrans) font preuve d’une résilience inattendue.
Dans le langage commun on la nomme «la mer souterraine du Sahara», une gigantesque nappe d’eau enfouie sous les sables du Sahara, région la plus sèche de la planète où il ne pleut quasiment jamais (2 mm/an).
L’exutoire de la station de lagunage des eaux usées (STEP), sise à Kef Doukhan dans la commune d’El Ateuf (wilaya de Ghardaïa), est devenu un véritable réservoir de la biodiversité et un écosystème aquatique, refuge pour une population avifaune migratrice, ont constaté hier des responsables locaux du secteur des forêts.
Indépendamment des préjugés qui ont toujours été inculqués sur les chauves-souris, cette espèce de mammifères se veut comme un élément primordial dans l’équilibre de l’écosystème.
Pas de doute. La planète se réchauffe. En cause, les activités humaines. Canicules, incendies, sécheresse et inondations, ces phénomènes et catastrophes inquiètent de plus en plus les scientifiques. Les initiatives à travers des contributions émanant des universitaires et chercheurs tirant la sonnette d’alarme quant aux effets irréversibles non seulement du réchauffement climatique mais aussi de la dégradation des bioressources s’intensifient à travers le monde. La valorisation des bioressources est une urgence.
La biodiversité fait face à mille périls dans la vallée de la Soummam. La richesse faunistique et floristique s’appauvrit à vue d’œil. Les atteintes sont multiples et multiformes.
Un couple de guépards de Namibie a été relâché dans la nature en Inde, dans le cadre d'un projet visant à réintroduire ces félins disparus du pays il y a plus de 70 ans, a annoncé dimanche le ministre de l'Environnement, Bhupender Yadav.
Le concept générique de la sécurité alimentaire est en train de subir des évolutions et prendre de nouveaux contours selon la complexification des enjeux géostratégiques, économiques et environnementaux liés à cette problématique.
Il y a quelques jours, des photos montrant le massacre d’un loup doré font le tour des réseaux sociaux. S’il est difficile de déterminer la date exacte ainsi que le lieu du drame, les chercheurs assurent tout de même que les faits sont réels et les massacres récurrents.
La sécheresse est plus prononcée depuis le début des années 2010 et elle n’a pas manqué d’affecter profondément les zones humides de la région déjà très altérées.
Le Dénombrement international des oiseaux d’eau (DIOE) est une opération qui se répète chaque année durant des périodes bien précises. Les dates varient légèrement d’une région à l’autre. En Algérie, cette période se déroule en janvier. Le DIOE a commencé dans de nombreuses zones humides du pays. Zoom sur la région de Bouira.