Le lancement officiel de la campagne nationale pour la pisciculture dans les barrages a eu lieu la semaine dernière depuis le barrage de Beni Haroun, dans la wilaya de Mila par Farid Harouadi, Inspecteur général au ministère de la Pêche et des Productions halieutiques.
La reconstitution des réserves hydriques n’est pas un fait anodin dans un contexte de réchauffement climatique qui tourmente le monde depuis plusieurs années. Ce n’est pas une période de rémission que la nature offre aux humains, mais cela y ressemble lorsqu’on se remémore les épisodes caniculaires passés et ceux qui ne manqueront pas de survenir à brève ou moyenne échéance.
Selon l’hydrologue Malek Abdesselam, les précipitations sont certes d’un apport important, mais elles n’impliquent pas une réduction significative des déficits. La bonne nouvelle est que les cumuls hydrologiques enregistrés jusqu’à aujourd’hui sont relativement excédentaires à Bouira, Médéa et Constantine.
Le directeur général de l’Agence nationale des barrages et des transferts (ANPT) a annoncé, lors de sa réunion avec le wali de Mascara, Farid Mohammedi, le 2 novembre, que l’Ordre de service (ODS) a été remis à l’entreprise chargée des travaux de dévasement du barrage Fergoug, dans la région de Mohammadia, à 43 km de Mascara.
Le procureur général de Libye, Seddik Essour, n’y est pas allé de mainmorte dans l’examen du dossier de négligence dans la maintenance des deux barrages de Derna, surtout que des fonds ont été mobilisés et débloqués. Il a suffi que l’enquête préliminaire soit finalisée et que le procureur ait entendu les prévenus soupçonnés de négligence qu’il a systématiquement ordonné l’arrestation préventive de huit prévenus parmi les seize personnalités interrogées.
Le taux de remplissage de 29 barrages a augmenté dans 17 wilayas, suite aux dernières précipitations, selon un exposé présenté dimanche lors du Conseil des ministres présidé par le président Tebboune.
Une crise mondiale de l’eau est imminente.» C’est l’auguste ONU qui en fait l’alerte. «Une surconsommation et un surdéveloppement vampiriques, une exploitation non durable des ressources en eau, la pollution et le réchauffement climatique incontrôlé sont en train d’épuiser, goutte après goutte, cette source de vie de l’humanité», avertit le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, dans l’avant-propos d’un rapport publié à la veille de la Conférence des Nations unies sur l’eau, qui s’est ouvert hier à New York.
Universitaire présent sur le terrain, Malek Abdesselam, maître de conférences à l’Université de Tizi Ouzou et directeur du laboratoire de recherche sur l’eau au niveau de la même institution, estime qu’avant de parler de «sécheresse», il y a lieu de relever que le manque d’initiatives pour optimiser l’exploitation des ressources disponibles nous fait subir «un assèchement» du potentiel. Il préconise des solutions techniques et peu coûteuses pour faire face à la crise.
Profond soulagement de la population locale, suite aux dernières précipitations intervenues après un long déficit pluviométrique. En effet, à la faveur des chutes de pluie enregistrées ces derniers temps sur la wilaya de Chlef, le niveau des deux barrages que compte la région a augmenté sensiblement, au grand soulagement des habitants en général et des agriculteurs en particulier.
Les dernières pluies qui sont tombées ces derniers jours sur plusieurs wilayas du centre du pays ont renforcé les réserves des barrages en exploitation.
C ’est le retour de la pluie dans plusieurs wilayas du pays. Avec des précipitations qui dépassent les 50 mm, l’espoir d’une augmentation du taux de remplissage des barrages renaît. En effet, ce sont plusieurs wilayas, notamment du nord du pays, qui sont touchées par les fortes pluies de cette fin de semaine.
L’Algérie dispose de 200 systèmes épuratoires constitués de stations d’épuration (Step), dont la gestion de 159 relève de l’Office national de l’assainissement (ONA) avec une capacité globale installée près de 1,6 million de m3/j. 31 stations sont gérées par les Assemblées populaires et 10 autres font partie de la gestion délégataire des services publics de l’eau d’Alger (SEAAL), Oran (SEOR) et Constantine (SEACO).
Le sélectionneur national, Djamel Belmadi, a estimé dimanche 27 février que les deux rencontres face au Cameroun, prévues les 25 (aller) et 29 mars (retour), pour le compte des barrages de la Coupe du monde 2022 au Qatar, sont "les plus importants" de sa carrière et même de celles des joueurs.
Le taux national de remplissage des barrages a légèrement augmenté à 37,66 %, a appris lundi 7 février l'APS auprès du ministère des Ressources en eau et de la Sécurité hydrique.
Le président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), Samuel Eto’o, a incité ses joueurs à être prêts pour la première manche des barrages de la Coupe du monde 2022 face à l’Algérie, jeudi 24 mars à domicile, lors d’un discours tenu dans le vestiaire à l’issue du match de classement pour la 3e place, remporté par les «Lions Indomptables», samedi soir face au Burkina Faso à Yaoundé (3-3 ; 5-3 aux tab).
L’eau arrive un jour sur dix dans plusieurs localités de la wilaya de Bouira qui compte, pourtant, trois barrages hydrauliques.