Elle figure dans la liste des décisions prises à l’issue de la visite, dimanche à Alger, du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot.
La commission parlementaire chargée de l'élaboration d'une proposition de loi criminalisant le colonialisme français en Algérie a finalisé hier sa feuille de route et entamera officiellement son travail consistant en l'audition de personnes concernées dès demain.
La commission de la défense nationale à l'Assemblée populaire nationale (APN) organisera, aujourd’hui à Alger, une journée parlementaire sur le thème «ANP : gagner le pari de la modernisation et de la professionnalisation pour relever les défis», a indiqué hier un communiqué de la Chambre basse du Parlement.
Le ministère de la Justice organise, à partir d’hier à Alger, en collaboration avec l'ambassade du Royaume-Uni en Algérie, un atelier de formation sur le thème «Partageons les meilleures pratiques en matière de commissions rogatoires internationales et de coopération internationale», a indiqué un communiqué du ministère.
L’Algérie a vivement réagi, hier, aux déclarations du gouvernement de transition du Mali, ainsi qu'à celles du collège des chefs d’Etat de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), suite à la destruction, le 1er avril, par l’Armée nationale populaire (ANP), d’un drone malien ayant violé l’espace aérien national, à proximité de Tin Zaouatine, localité située à plus de 2000 kilomètres au sud d’Alger.
Une délégation de l'organe directeur du programme d'Economie Sociale et Solidaire (ESS) des Nations unies a été reçue, hier, à Bouira, par les autorités de la wilaya.
Le président Abdelmadjid Tebboune a fixé, dimanche 6 avril, l’échéance de décembre 2025 pour la finalisation du recensement de l’ensemble du patrimoine foncier de l’Etat.
Lors de l’ouverture, hier à Alger, de la rencontre Connected Algeria 2025, le ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, a présenté une vision claire et ambitieuse du futur numérique de l’Algérie. Il a souligné que cet événement dépasse le simple cadre technique pour s’imposer comme une véritable plateforme stratégique dans le processus de transformation numérique nationale.
Les entreprises italiennes sont présentes en force cette année à l’édition 2025 du Salon professionnel de l’agroalimentaire Djazagro, et ce, avec un total de 104 entreprises, et représentent la plus grande délégation étrangère, devançant celles de la Chine, de la France et de la Turquie, a indiqué un communiqué de l’Agence italienne pour le commerce extérieur (ICE), section pour la promotion des échanges au sein de l’ambassade d’Italie à Alger.
Les prix du pétrole ont ouvert hier la semaine de cotation en nette baisse, prolongeant les pertes enregistrées la semaine dernière dans le sillage des nouveaux tarifs douaniers américains et la sortie inattendue de l’Opep+, qui a accéléré, sans préavis, le rythme de la mise sur le marché des quotas de huit de ses membres. Hier, l’escalade des tensions commerciales a accentué les pertes du pétrole au vu des craintes d’une récession qui réduirait la demande de brut, tandis que l’OPEP+ prépare une augmentation de l’offre. Les prix de l’or noir ont encore baissé reculant de plus de 2%, et enregistrant des valeurs très basses, jamais égalées depuis avril 2021.
Un véritable séisme a frappé hier les places boursières mondiales face au choc commercial provoqué par les nouvelles taxes américaines appliquées à plus de 180 Etats. Les Bourses à travers le monde ont fait hier un plongeon historique, alors que Trump fait montre d’inflexibilité et d’opiniâtreté en prenant le risque de bouleverser les règles de l’économie mondiale.
La corruption, qui peut aller des pots-de-vin à la «captation de l’Etat» en passant par le népotisme, n’est désormais plus une simple question de gaspillage des ressources publiques. Elle est synonyme de dégradation des infrastructures, de destruction de l’environnement, d’abus de pouvoir et d’exclusion et d’érosion de la confiance. D’où la mobilisation accrue et la multiplication d’initiatives et de processus de coopération au niveau mondial aux fins de venir à bout de ce fléau qui ronge les systèmes économiques.
Face aux défis qui menacent le marché pétrolier, confronté d’une part à la nouvelle politique économique très agressive de l’administration américaine et, d’autre part, à l’appétit plutôt vorace de certains producteurs en dehors de l’Opep+ mais aussi au sein même de l’Alliance, la cohésion de l’Opep est-elle aujourd’hui en jeu ?
L’annonce officielle du conflit économique entre les Etats-Unis et le Canada a marqué le début d’une confrontation inédite dans l’histoire des relations nord-américaines. Alors que l’administration de Donald Trump imposait de nouvelles mesures tarifaires destinées à protéger le marché intérieur et à contrer des flux illégaux, le Canada entamait une riposte déterminée pour préserver ses intérêts économiques et sa souveraineté.
Une vague de contestation d’une ampleur inédite secoue les Etats-Unis et s’étend au-delà de leurs frontières. Samedi dernier, plus de 1200 manifestations ont été organisées à travers les 50 Etats américains, mais aussi au Canada, Mexique, Royaume-Uni, France, Allemagne et Portugal, pour dénoncer les réformes radicales mises en œuvre depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Sous le mot d’ordre «Hands Off !» (bas les pattes !), des dizaines de milliers de manifestants ont répondu à l’appel de plus de 150 groupes militants, notamment celui d’Indivisible, cofondé par Ezra Levin.
Les médias américains sont quasi unanimes : derrière la méthode musclée de Donald Trump se cache un risque économique important. De CNN à CNBC en passant par les experts de Wall Street, les analyses fusent et elles ne sont pas rassurantes.
Crise désamorcée et «retour à la normale» amorcé ! L’Algérie et la France mettent fin à leur désaccord et tournent la page de la grave et inédite tension ayant ébranlé, de longs mois durant, leurs relations diplomatiques.
Une nouvelle ligne aérienne d’Air Algérie reliant Alger à Abuja (Nigeria) a été inaugurée, hier, à l’aéroport international Houari Boumediène (Alger).
Le professeur en économie à l’université de Tizi Ouzou explique dans cet entretien l’impact de la décision américaine d’appliquer un droit de douane aux produits algériens à hauteur de 30%.
Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a affirmé, jeudi dernier, que les nouveaux droits de douane de 30% imposés par les Etats-Unis sur les importations sud-africaines sont préoccupants et soulignent le besoin urgent d’un nouvel accord commercial bilatéral.