Le Bahrein abrite durant trois jours le séminaire international organisé par le Centre régional arabe pour le patrimoine mondial, en collaboration avec l’Unesco (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) et les organismes consultatifs, en l’occurrence l’Iccrom (Centre international d’études pour la conservation et la restauration des biens culturels) et l’Icomos (Conseil international des monuments et des sites) sur le thème «Patrimoine mondial dans les Etats arabes».
L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) a inscrit mardi lors de la 18e réunion périodique du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, qui se tient du 4 au 10 décembre à Kasane (Botswana), le dossier de «la gravure sur métal : or, argent et cuivre, savoir-faire, arts et pratiques» sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité au nom de l’Algérie et de 9 autres pays arabes, indique un communiqué du ministère de la Culture et des Arts.
Le ministère de la Culture et des Arts a annoncé, lundi, l’ouverture des candidatures devant les associations culturelles et artistiques, en vue de bénéficier de l’appui aux projets culturels et artistiques au titre de l’exercice 2024, indique un communiqué du ministère.
Le gang du bois du temple est le dernier long métrage du réalisateur franco-algérien, Rabah Ameur-Zaïmeche, projeté en avant-première algérienne aux 18es Rencontres cinématographiques de Béjaïa (RCB), qui se sont déroulées du 23 au 28 septembre dernier.
l L’actrice Concha Velasco est décédée, samedi à l’âge de 84 ans, à l’hôpital Puerta de Hierro de Majadahonda (Madrid). Elle était l’une des actrices les plus chères, respectées et admirées, laissant derrière elle un riche héritage artistique comprenant plus de quatre-vingts films, trente-cinq pièces de théâtre et plus de cinquante séries et programmes télévisés.
Les photos du patrimoine exposées lors de la première édition du Salon national de la photographie, qui a pris fin lundi à Oran, ont constitué une mosaïque alliant l’authenticité et l’originalité du patrimoine de l’Algérie et les techniques de la photographie moderne.
Le sort de la grève des acteurs à Hollywood repose sur le vote qui se clôturera mardi pour la validation d'un accord entre les studios et les comédiens. Bien que la ratification soit considérée comme une formalité, une partie des acteurs s'y oppose, arguant que la nouvelle convention collective ne les protège pas suffisamment contre l'utilisation de l'intelligence artificielle.
Considéré en effet comme l’un des sites archéologiques les plus importants du littoral algérien, Tipasa a été inscrite en 1982, soit il y a plus d’une quarantaine années de cela, au patrimoine mondial de l’humanité grâce à son mausolée royal de Mauritanie (plus connu sous le nom de «Tombeau de la chrétienne»), cet monument funéraire imposant datant de plus de 2000 ans et situé dans la commune de Sidi Rached.
Le Théâtre régional de la ville de Sidi Bel Abbès abritera, à partir de jeudi prochain, la 13e édition du Festival culturel local du théâtre professionnel, sachant que six représentations théâtrales seront en lice parmi les coopératives et associations théâtrales, a-t-on appris, dimanche, du Commissariat du festival.
Les intéressés pourront aller à la découverte d’une soirée se déclinant en trois mouvements qui débutera sur la terrasse de la basilique de Notre-Dame d’Afrique pour se poursuivre à l’intérieur de l’édifice. Ainsi, une carte blanche sera donnée à la poétesse et traductrice algérienne Samira Neghrouche.
L’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC), en collaboration avec l’association Hirfa wa Amel (Métier et Espoir) a organisé dimanche à Alger une exposition de vente de produits artisanaux réalisés par des personnes aux besoins spécifiques, à l’occasion de la Journée mondiale de cette catégorie, célébrée le 3 décembre de chaque année.
Le groupe américain mythique de glam-metal Kiss a annoncé dimanche que des avatars numériques représenteront désormais les musiciens dans le monde du spectacle, selon une méthode mise au point avec Abba.
L’auteur Hamza Kouidri a présenté et dédicacé, samedi après-midi, son premier roman en langue anglaise «Sand Roses», au niveau e la librairie l’Arbre à dires de Sidi Yahia à Alger.
Entre deux expositions d’arts plastiques, la galerie d’art de Maghnia a accueilli, samedi, deux écrivains, Djamil Hadj Mohamed et Amar Habib de Mostaganem.
l La première édition du Salon national de la photographie placée sous le slogan «La photo, mémoire du patrimoine» avec des touches créatives dans différentes techniques, s’est ouverte samedi à Oran.
Les inscriptions à la 5e édition du concours de la meilleure pièce théâtrale en Tamazight organisée par le théâtre régional Kateb Yacine de Tizi-Ouzou (TRTO) sont ouvertes jusqu’au 20 du mois de décembre en cours, a annoncé samedi un communiqué de cet établissement culturel.
Un soir d’automne à Paris, on laisse ses chaussures à l’entrée de la boutique de mode africaine Laurence Airline, on enfile un vêtement, choisit un instrument de musique, pour un concert privé du chanteur et guitariste nigérian, Keziah Jones.
D’abord le théâtre, le père ou l’oncle maternel du cinéma, dans lequel on ne peut ne pas citer Babor ghraq, pièce incontournable de Slimane Benaïssa de 1983, préfigurant Octobre 1988 et qui a aussi eu du succès au fait que la parole se soit libérée, d’autant qu’elle a été transcrite en langue algérienne.
Originaire de Sidi Bel Abbès, Mohamed Latrèche poursuit ses études en France (sciences politiques) tout en se consacrant au cinéma. Il réalise des documentaires, A la recherche de l’Emir Abd El-Kader en 2004, l’UGEMA en 2014, Boudjema et la maison cinéma en 2019 autour de l’icône de la cinémathéque Boudjema Kareche, et deux courts métrages de fiction, Rumeurs, etc et L’aide au retour. Il devient producteur, distributeur et réalise Zinet, Alger, le bonheur en 2023, consacré au film culte Tahia ya Didou de Mohamed Zinet (1970), œuvre décrite par Mohamed Latreche comme un «film-monde», avec une trame simple où Alger est le vrai sujet, à la libeté de ton qui ne cadrait pas avec la pensée unique de l’époque.
Staten Island de l’auteur Mahmoud est une fiction romanesque qui se lit d’un trait avec en prime une intrigue et des rebondissements à volonté.