Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan le jeune et sémillant auteur, Jugurtha Abbou nous parle de son livre Les maux conjugués, publié aux éditions Imal et préfacé par notre collègue Mustapha Benfodil. Son premier roman «se veut un hymne à la paix quand la guerre se fait sentir, un hymne à l’amour quand la haine s’installe, un hymne à l’espoir quand le dépit s’affirme et aussi et surtout un hymne à la résistance quand la tyrannie s’impose », résume celui qui a à son actif un recueil de poésie et un essai politique.
Tout chercheur en matière de théâtre à propos des années 1970, est invariablement orienté, entre autres sources, vers le mémoire de magistère de M’hamed Djellid, sauf qu’elle demeurait introuvable, mise sous le boisseau pour de spécieuses considérations.
L’horaire de fermeture du Salon international du livre d’Alger (SILA) sera repoussé à 21h, à partir d’aujourd’hui dimanche 27 mars.
Notre collègue d’El Watan, Le Hic, le dessinateur, le caricaturiste, le bédéiste, celui qui croque l’actualité quotidiennement, a signé son dernier opus Juste pour le plaisir, chez les éditions Casbah et ce, au stand éponyme, à l’occasion du Salon international du livre à Alger.
L’ancien militant du PPA, Sadek Hadjarès, publie le tome 2 de ses Mémoires : 1949, Crise berbériste ou crise démocratique ? (Ed. Frantz Fanon ) - Il y relate principalement les conditions de publication du document doctrinal, L’Algérie libre vivra, dont il est coauteur. - Il évoque dans son ouvrage-témoignage la réaction violente de la direction du parti indépendantiste à cette demande de «clarification» souhaitée par les militants radicaux de Kabylie.
Dans le cadre de la Semaine de la francophonie (Afrique), le film 14 jours, 12 nuits, du réalisateur Jean-Philippe Duval, a été projeté, sous les auspices de l’ambassade du Canada, le mercredi 23 mars à 18h, à l’Institut français d’Alger.
En marge du 25e Salon international du livre d’Alger (SILA), une conférence portant sur l’impact médiatique et diplomatique, menée durant la guerre de Libération nationale, a été animée, vendredi dernier, par trois historiens spécialistes du mouvement national et de la guerre de Libération. Les intervenants se sont relayés pour mettre en exergue le rôle important qu’à joué la diplomatie algérienne durant la lutte armée, et ce, jusqu’au recouvrement de la souveraineté nationale.
Le Dr Yasmine Musette est consultante en analyse de données et employabilité, ayant enseigné à l’Université d’Alger II, à l’Ecole supérieure nationale de management, auteure d’une thèse doctorat en Sciences de Gestion.
Après la réussite de sa première comédie musicale intitulée Cadavre, le comédien amateur et metteur en scène Hadi Guira revient avec une nouvelle production, «Khitana», qui signifie Gitane. Un spectacle dépourvu de paroles, comptant, selon l’artiste, des danses expressives et beaucoup de détails impressionnants relevant même de la philosophie.
A l’occasion de la Journée mondiale du théâtre, la direction du Théâtre régional de Constantine Mohamed Tahar Fergani rend hommage à l’acteur, comédien et metteur en scène Ahcène Benaziez, ce dimanche 27 mars à 16h.
L’incontournable et tant attendu événement de l’année, le Salon international du livre d’Alger est de retour, après une absence qui aura duré plus de deux ans due à la crise sanitaire. Le SILA se déroulant du 24 mars au 1er avril 2022 à la Safex dont l’invité d’honneur est l’Italie étrennée officiellement, jeudi après-midi, par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane.
On ne se lasse pas du temps passé avec un compatriote de la trempe de. Ahcène Djaballah Belkacem (A.D. Belkacem, ndlr), universitaire, journaliste indépendant, auteur, ayant occupé les hautes fonctions dans les institutions de l’Etat.
Cinq ans après Après Theater, le jazzman Anis Benhallak revient avec un nouvel album aussi inclassable que les précédents, mais toujours composé dans un jazz moderne, élégant et énergique, nourri aux sources africaines et méditerranéennes de l’auteur.
Après Paradoxical Project sorti en 2015, et Apes Theater, enregistré entre New York, Paris et Alger et sorti en 2018, le guitariste compositeur Anis Benhallak revient avec un nouvel album intitulé The clown Theory, et dont la sortie est prévue le 1e avril 2022. Il nous en parle dans cet entretien.
Les élections législatives et municipales qui se sont déroulées en 2021 ont fait l’objet d’une étude médiatique de l’écrivain et journaliste, le Dr Mohamed Bagdad.
«CODA», «Power of the Dog» ou «Belfast» médaille d’or ? Et l’audience sera-t-elle enfin de retour ? Hollywood retenait son souffle avant le coup d’envoi de la cérémonie de remise des Oscars qui mettra fin au suspense dimanche soir.
Jeunes, si vous êtes âgés entre 18 et 33 ans et vous caressez le rêve d’intégrer une chorale ? Vous avez un don pour le chant.
Ça y est, le SILA est là ! Le plus grand rendez-vous littéraire et éditorial de l’année s’apprête en effet à retrouver son public après deux ans d’interruption pour cause de Covid-19. Cette 25e édition du Salon international du livre d’Alger se tiendra, rappelle-t-on, du 24 mars au 1er avril 2022, avec comme invité d’honneur l’Italie. Nul doute que ce come-back constitue un événement.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le directeur des éditions Frantz Fanon, Amar Ingrachen, considère que la 25e édition du Salon international du livre d’Alger (SILA), qui aura lieu du 24 mars au 1er avril 2022 au Palais des expositions des Pins Maritimes, est «emblématique des grandes potentialités que recèle le secteur de la culture et des grandes attentes en la matière du public». «En gros, on peut dire que le SILA joue un rôle éminemment structurant dans le domaine de la culture en Algérie», soutient-il. L’éditeur plaide pour une «véritable politique culturelle, qui repose sur une vision à long terme et sur une ouverture réfléchie et généreuse sur le monde». «L’isolement n’immunisera pas l’Algérie ; il la tuera», assène-t-il.
Djillali Khellas, un auteur algérien qu’on ne présente plus, après la trilogie successive intitulée Zaman El Ghirbane (Le temps des corbeaux), Leilat El Katala (La nuit des assassins) et Horath El Bahr (Les laboureurs de la mer), publie un nouveau roman Aradjoul aladi yaktoub ala rahatihi (L’Homme qui écrivait sur sa main) paru chez Casbah éditions. Entretien