D’abord, je vous résume l’état des résidences universitaires actuellement à l’échelle nationale en un mot, il est généralement «catastrophique», mis à part 10% des cités réalisées récemment.
Les éboueurs de la commune de Constantine ont entamé depuis environ une semaine une grève ouverte, pour dénoncer non seulement leurs conditions de travail, mais surtout réclamer ce qui leur revient de droit.
Après maintes réclamations pour achever la totalité du projet et les travaux d’aménagement des 66 logements de la résidence Cirta, à la cité Zouaghi Slimane dans la commune de Constantine, les acquéreurs expriment leur ras-le-bol et appellent à l’intervention du wali, Messaoud Djari.
En tant que directrice des activités médicales et paramédicales de l’EH Didouche Mourad et coordinatrice de l’espace Covid, je tiens d’abord à féliciter, solennellement, l’ensemble des médecins généralistes y travaillant : médecins généralistes affectés au niveau des UMC et au niveau de l’unité Covid chirurgie ainsi que le personnel paramédical.
L’objectif de la réunion à laquelle est conviée l’Union nationale des ordres des avocats (UNOA) au siège du ministère des Finances, est l’ouverture d’un dialogue sur les dispositions fiscales de la loi de finances 2022 contestées par les robes noires.
Dans cet entretien accordé à El Watan, Brahim Taïri, président de l’Union nationale des Ordres des avocats (UNOA), revient sur la problématique née suite aux nouvelles dispositions fiscales introduites dans la loi des finances 2022, rejetées par la corporation des robes noires et qui a mené vers le boycott des activités judiciaires depuis le 13 janvier courant.
La désignation des postes de vice-P/APC, des commissions et des délégués urbains n’a rien prévu pour ce parti dont les élus ont décidé de saisir le wali avant de prendre d’autres mesures.
Malgré toutes les opportunités offertes au même titre que les Bourses au niveau international, et surtout les avantages fiscaux, la Bourse d’Alger reste toujours boudée par les sociétés algériennes.
Le ministère de tutelle est en train de mener des contacts avec toutes les parties concernées pour trouver un compromis et reprendre l’activité en suspens.
Tous les indices confirment que la situation n’est pas si rassurante dans la wilaya de Constantine qui se dirige vers l’application du plan «B», avec l’augmentation des lits d’hospitalisation. La vague mortelle de la propagation du variant Delta n’a pas encore servi de leçon, vu que tous les patients admis dans les hôpitaux sont des cas désaturés.
Le tribunal de Constantine a condamné les personnes impliquées dans l’affaire de spéculation sur l’huile de table à 7 et 3 ans de prison ferme, selon un communiqué de la même institution judiciaire parvenu à la presse.
Cette décision mènera vers une paralysie totale des tribunaux et des cours de justice à l’échelle nationale, après la grève des greffiers entamée la semaine dernière et qui se poursuit.
En comparaison avec le mois de décembre, les admissions ont nettement augmenté, alors que l’insuffisance de lits de réanimation est devenue un problème sérieux.
Une approbation officielle reste en instance afin de reprendre ce projet à l’arrêt depuis 2018, et qui est considéré par la population comme un véritable gâchis.
Ayant l’épée de Damoclès sur la tête de la part du ministère de l’Intérieur ou faisant appel à la raison, peu importe les causes, les élus de l’APC de Constantine ont décidé dans l’après-midi de dimanche dernier de mettre fin à un blocage d’environ un mois pour élire le maire de la ville.
Le bras de fer engagé par les boulangers pour mener les pouvoirs publics à accorder cette hausse a fini par une décision unilatérale qui a surpris les consommateurs.
Les greffiers exerçant au niveau des tribunaux et des cours de justice ont déclenché, hier, un mouvement de grève ouverte pour exprimer toute l’étendue de leur colère face à ce qu’ils considèrent comme un véritable mépris pour leur fonction, mais aussi pour dénoncer leur situation socioprofessionnelle qui n’a pas évolué depuis plusieurs années. Un mouvement qui a causé une paralysie dans toutes les institutions judiciaires.
Considéré comme victime d’un entourage, d’une manipulation ou des conditions de vie, le mineur délinquant sera-t-il jugé en Algérie comme un criminel adulte ou plutôt protégé en tant qu’enfant? C’est partant de cet angle d’analyse, que la Cour de Constantine a organisé en fin de semaine écoulée une rencontre d’étude avec la Direction de l’action sociale (DAS).