Les négociations s’annoncent serrées à quelques jours de la fin de la Cop28 à Dubaï. Les experts, qui se sont penchés sur les aspects techniques, ont rendu leur rapport mercredi dernier. Les discussions entre les délégations de différents pays portent désormais sur les sujets qui «fâchent» et qui sont du ressort des ministres.
L’urgence est de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Une priorité absolue pour la planète afin d’éviter que le changement climatique ne devienne incontrôlable.
Rencontré à la 28e Conférence des parties sur les changements climatiques (COP-28), qui a bouclé hier sa cinquième journée, Jean-Paul Adam, directeur de la politique du plaidoyer au conseiller spécial de l’Afrique à l’ONU, reconnaît, dans cet entretien, les particularités de la situation dans la région du Maghreb qui subit durement les conséquences du réchauffement climatique mais regrette de ne pouvoir mettre en place un mécanisme d’aide spécifique. Il souhaite que ces pays puissent bénéficier du fonds des «pertes et dommages», mis en œuvre lors de cette conférence.
Les faits suggèrent que deux fois plus de personnes vulnérables peuvent être sauvées au même coût en déployant des ressources avant la catastrophe. Cette charte fixe les principes d’une action collaborative pour garantir une meilleure utilisation du financement pour gérer les risques et protéger les populations des pays vulnérables. Les coûts annuels de pertes et de dommages associés au climat varient entre 290 à 580 milliards de dollars.
Les pays africains subissent le désastre du changement climatique et la pollution mondiale sans qu’ils soient en contrepartie accompagnés pour développer leurs mesures d’adaptation et assurer un avenir stable. L’avenir risque d’être compromis.
La 28e Conférence de l'ONU sur le changement climatique (COP28) s’est ouverte jeudi à Dubaï. Hier, plus de 140 chefs d'Etat ont défilé à la tribune pour des discours de quelques minutes. Une manière de donner une impulsion politique aux négociations. Des représentants iraniens ont quitté d'ailleurs les lieux pour protester contre la présence d'une délégation de l'entité sioniste.
Marquant le premier bilan mondial qui évaluera les progrès concernant l’accord de Paris (COP 21), la COP 28 qui s’ouvrira aujourd’hui à Dubaï.
L’introduction de l’anglais en tant que langue d’enseignement à l’université se fait d’une manière graduelle.» C’est ce qu’affirme, à El Watan, Ahmed Belhani, représentant du ministre et président de la Commission nationale de l’enseignement à distance (Cnead). Il est encore trop tôt, selon notre interlocuteur, pour parler de bilan.
Les inscriptions au baccalauréat (bac-2024) en qualité de candidat libre sont ouvertes, depuis hier. L’annonce a été faite hier par l’Office national des examens et des concours (ONEC) qui précise que le délai d’inscription est ouvert jusqu’au 21 décembre prochain.
Un hiver plus chaud que la normale en Algérie et des températures plus élevées avec une probabilité que la saison soit sèche. C’est ce à quoi s’attendent certains centres régionaux, notamment méditerranéens, de météorologie. Les pluies saisonnières, à l’instar des trois dernières années, se font rares. Avec des températures printanières à la mi-novembre, l’automne trouve du mal à s’installer !
Le ministre de l’Education nationale a insisté sur la nécessité de répondre aux besoins des établissements scolaires en matière d’équipements.
Le ministère de l’Education nationale a établi un calendrier et une feuille de route des évaluations pédagogiques (évaluations continues, devoirs et compositions), tous paliers confondus.
Jeunes, clubs étudiants, entrepreneurs et startups, une opportunité leur a été donnée hier et avant-hier pour exprimer et faire entendre leur voix sur le changement climatique.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a décidé de reporter la mise en œuvre de la décision d’accès direct aux titulaires du bac+4 au master 2, toutes spécialités confondues.
Le ministre, Abdelhakim Belaabed, a présidé une conférence nationale virtuelle sur la finalisation des opérations liées à la rentrée scolaire 2023-2024, a indiqué hier, un communiqué de son département.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique est en train de finaliser le dossier des augmentations des salaires et la révision du statut particulier des enseignants, toutes catégories confondues.
Le ministre de l’Education nationale a affirmé que la promulgation du statut particulier des enseignants constitue «une solution à tous les problèmes du secteur». Abdelhakim Belaabed, qui a présidé hier une cérémonie à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale des enseignants, au lycée des Mathématiques, de Kouba, à Alger, ne donne toutefois pas de détails sur le texte, très attendu par la corporation.
Plusieurs établissements scolaires, tous paliers confondus, font face à la surcharge. A Alger, dans plusieurs écoles à Khraissia, Souidania, Birtouta, Beni Messous, Rouiba ou encore Baba Hacen, les élèves se plaignent de la surcharge et du manque de mobilier. Les salles reçoivent entre 40 et 50 élèves. Des classes sans tables ! Des actions de protestation sont observées dans ces établissements de la périphérie de la capitale. Deux jours sans cours au collège de la cité de 3000 Logements ADDL de Baba Hacen, protestation au collège 834 Logements à Khraissia.
Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, a affirmé hier que tous les efforts sont fournis pour répondre aux doléances des élèves et de leurs parents, enregistrés au cours de cette rentrée scolaire.
Permettez-moi de vous expliquer que l’aviculture est une filière stratégique contribuant énormément dans la satisfaction des besoins des citoyens en protéines animales, surtout les viandes blanches et les œufs de consommation.