Il était en effet question, lors de la journée d’étude des scientifiques, de pollution, de l’énergie propre et enfin des matériels vitaux pour l’entretien des équipements des SDEM. Autant de thèmes abordés pour élaborer une vision stratégique qui rentre dans de le cadre de la sécurité hydrique nationale.
En effet, pour les SDEM qui sont énergivores, il est impératif qu’elles soient alimentées au moins avec 30% en énergies propres. Une SDEM comme celle de Fouka, il lui faut 22 mégawatts.
Ces 20 dernières années, nous avons relevé que les données communiquées par le ministère des Ressources hydriques sont pratiquement erronées, elles évoluent à chaque fois, nous ne savons plus sur quel pied danser.
L’association musicale Dar El Gharnatia de Koléa fête son cinquantenaire. Un demi-siècle d’existence vient d’être immortalisé dans un ouvrage de 600 pages. L’initiative est louable. L’association Dar El Gharnatia de Koléa s’est imposée à l’échelle nationale.
«Les influences de l’Espagne musulmane sur les habits de la ville d’Alger à l’époque ottomane», tel est le thème de la conférence animée par la Pr Benmesbah Malika, au niveau de l’ENSCRBC, à Tipasa. Une manifestation purement culturelle inscrite dans le cadre de l’animation de la célébration du mois du patrimoine.
Le directeur de l’ENSCRBC (Ecole nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels) dissimulait difficilement son stress à cause de son perfectionnisme dans son travail. C’est sa nature. En collaboration avec ses enseignants et ses étudiants, le Pr. Hamza Mohamed Chérif, qui a mis en place tout le programme de la manifestation culturelle de ce mois du patrimoine, observe discrètement les stands de l’exposition en ce 1er jour du mois du patrimoine. Nous avons saisi ce moment, pour lui poser des questions sur le fonctionnement et les perspectives de son école, ses préoccupations. L’emploi est au cœur de ses objectifs, le programme pédagogique est mis à niveau.
C’est un monument historique au passé incroyablement riche, se trouvant à 110 km de la capitale, Alger, qui est aujourd’hui livré au vandalisme, abandonné. Il n’y aucune plaque indicative pour cette ferme de Stigès érigée durant l’ère coloniale à la sortie ouest de la localité côtière de Messelmoune, wilaya de Tipasa.
L’Ecole nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels (ENSCRBC), qui se trouve à l’intérieur du siège du «mort-né » CAA (Centre arabe d’archéologie) à Tipasa, a saisi l’opportunité de la célébration du mois du patrimoine.
De retour au pays pour vivre quelques jours du mois de Ramadhan en famille, l’expert en Data centers, qui avait exercé dans un laboratoire de recherches chez Yahoo, en supervisant une équipe de chercheurs au laboratoire, à la Silicon Valley (USA). Actuellement, il est responsable chez Intel, toujours à la Silicon Valley. Dr Bouache Mourad sillonne les wilayas à la rencontre des étudiants, pour les motiver, en dépit d’un climat morose et d’un environnement qui n’encourage pas à aider les étudiants à aller de l’avant. Il avait initié depuis les dernières années un programme destiné à soutenir et accompagner ses jeunes compatriotes, gracieusement, les étudiants doués pour l’informatique. Son projet s’intitule «La caravane de l’intelligence artificielle». Des génies en I.A avaient été détectés dans des wilayas par les chercheurs et experts algériens établis à la Silicon Valley. Spontanément, bien que son emploi du temps soit chargé, l’expert en I. A, Dr Mourad s’est montré disponible, en ces moments furtifs, durant le mois de jeûne, pour répondre à nos questions.
Smail Chanâa est un fonctionnaire retraité, un ancien cadre de la DRAG de Tipasa, qui ne fait pas de bruit, hélas, n’est pas sollicité par les médias. Persévérant et patient,il a réussi à se frayer un chemin dans l’univers de l’art, avec ses chatoyantes aquarelles, ses toiles et la qualité de ses œuvres.
En ce mois allant du 18 avril au 18 mai, consacré à la célébration du Mois du patrimoine, nous avons saisi l’opportunité d’une escale de notre compatriote, le Pr Bouchenaki Mounir, haut cadre au sein de l’Unesco, afin de nous informer sur ce qui se prépare et les actions menées par l’Unesco, pour mieux protéger les sites et monuments culturels à travers le monde, sans pour autant éviter de lui poser la question relative à la situation du patrimoine culturel dans notre pays. Des informations enrichissantes. Pr Mounir Bouchenaki : «2022, nous célébrons le cinquantenaire de la convention de 1972».
Le dernier samedi du mois de mars 2022 avait eu lieu à la grande salle de réunion du siège de l’APC de Hadjout un événement culturel et historique destiné d’abord à mieux connaître la tribu des Hadjoutes et ensuite à mettre en relief ses révoltes.
Un opérateur algérien du secteur de l’agro-alimentaire veut rester dans l’anonymat. Il nous délègue l’un de ses employés pour nous dévoiler son action ramadhanesque qui se déroule lors de chaque mois de Ramadhan, depuis 2019. «Nous agissons depuis trois ans seuls. Nous avons rencontré des difficultés avec d’autres associations et organismes qui sont venus se greffer à notre action de solidarité», explique-t-il. «Les familles nécessiteuses ont besoin d’un acte efficace de solidarité, au lieu d’autres choses, et j’ai pris alors la décision d’agir seul», déclare notre interlocuteur.
A l’occasion du 63e anniversaire de la bataille de Djebel Thameur, le wali Boucetta Aboubakr Essedik s’est rendu à Cherchell, lundi dernier pour rendre visite au moudjahid Abdou Braham, dit Si Larbi, le chef du commando Djamel, âgé de 91 ans.
On ne se lasse pas du temps passé avec un compatriote de la trempe de. Ahcène Djaballah Belkacem (A.D. Belkacem, ndlr), universitaire, journaliste indépendant, auteur, ayant occupé les hautes fonctions dans les institutions de l’Etat.
C’est au niveau de la bibliothèque du musée Parc à mosaïques de Cherchell, en présence d’une faible assistance que le Dr Yamna Behiri avait animé une instructive conférence qui s’est articulée sur deux thèmes, en l’occurrence le 19 mars 1962 et la présentation de son troisième ouvrage inhérent à l’urbanisme et l’architecture des Andalous et des Ottomans dans sa ville natale.
Dans le cadre de la célébration de la journée du 19 mars, l’association culturelle Age d’Or, en partenariat avec la librairie TPA, a décidé d’organiser une conférence sur la lutte de la tribu des Hadjoutes le 22 mars à partir de 14h dans la grande salle au siège de l’APC de l’ex-Marengo.
La wilaya de Tipasa compte deux caravansérails sur son territoire, à Cherchell et à Koléa. Il s’agit de deux infrastructures construites au XVIe siècle par les Ottomans.
Le 15 mars 1962 à Ben Aknoun, l’écrivain algérien Mouloud Féraoun était assassiné par un commando de l’OAS (Organisation de l’armée secrète), un groupe composé de criminels français extrémistes contre l’Indépendance de l’Algérie.
Mes recherches dans les archives m’avaient permises de relever que l’urbanisme à Cherchell est totalement différent de celui que j’avais noté ailleurs en Algérie, nous dit-elle, plus grave encore, ils ont détruit des anciennes habitations pittoresques, un patrimoine urbanistique avec sa beauté architecturale, érigé entre le XVe siècle et le XIXe siècles qui malheureusement font l’objet des agressions à présent à Cherchell, sachant que la colonisation française, ajoute-t-elle, avait fait déjà disparaître plusieurs quartiers dès sa violente invasion dans le pays et à Cherchell en particulier», indique notre interlocutrice. Le débat est lancé.