La deuxième session de l’Assemblée populaire de wilaya de Tiaret, tenue mercredi dernier, a été consacrée à la problématique des déchets, aux problèmes de l’eau que vivent les populations de Tiaret et de trois autres localités (Mechraa Sfa, Rahouia et Mahdia) et à d’autres problématiques adjacentes.
Le parquet près le tribunal pénal de Tiaret a rendu public, dimanche dernier, un communiqué pour éclairer l’opinion publique locale après l’assassinat d’une jeune personne à la cité Lombard et occasionnant de graves blessures à une deuxième personne, actuellement sous soins intensifs aux UMC de l’hôpital Youssef Damerdji.
180 kilomètres de pistes forestières, 150 hectares pour des tranchées anti-incendie ont été réalisées par la conservation des forêts de Tiaret avant la saison des grandes chaleurs, parant ainsi à d’éventuels feux pour lesquels la mobilisation reste totale.
Hier, en fin d’après-midi, le wali de Tiaret, Ali Bouguerra, accompagné de toutes les autorités locales, civiles et militaires, est venu dans la salle des délibérations de l’APW pour à la fois écouter les préoccupations de certains représentants de quartier et pour annoncer aux représentants de la presse quelques décisions à même de répondre aux doléances des habitants portant sur la disponibilité de l’eau.
Steppe et désertification, états des lieux, contraintes et perspectives, des thèmes d’une brûlante actualité qu’on ne cessera jamais d’évoquer, tant les enjeux sont à l’égal des défis et des perspectives à développer. L’université Abderrahmane Ibn Khaldoun, qui s’ouvre sur la société, s’intéresse tout naturellement aux problèmes posés. A l’instar de la problématique sur l’eau, le cheval, les NTIC et l’entreprenariat, entre autres, celle liée à la steppe et, subsidiairement à la désertification, a été traitée.
Un avis d’appel pour le lancement d’une étude portant sur le raccordement de Tiaret et des communes du nord de la wilaya par l’eau de mer dessalée a été lancé la semaine dernière sur des journaux nationaux», a déclaré Ali Bouguerra, wali de Tiaret, jeudi, dans son cabinet, alors qu’il venait d’inviter les représentants des médias et de la presse nationale accréditée pour une annonce à la population jugée «importante».
Un ouvrage d’art reliant une ruelle située entre le quartier la gare et cité Rousseau, au cœur de la ville de Tiaret, a été inauguré dimanche, en marge des festivités liées à la Fête de l’étudiant par les autorités locales.
La ville de Tiaret se caractérise, ces derniers temps, par la mise en branle d’importants projets liés aux aménagements urbains et surtout la réhabilitation du réseau routier en interne. La capitale du Sersou s’apparente à une ville en chantier où tout a été labouré, enfin des pans entiers d’axes routiers ont été décapés pour être revêtus de bitume non sans allier des opérations connexes sur la voierie. Bien que des appréhensions soient nourries, beaucoup de citoyens y voient quand même le signe d’approches visant l’amélioration du cadre de vie.
Grosse opération que celle qui a valu cette semaine une cérémonie de remise, symbolique, de 61 décisions d’aides par la CNL à certains des 822 potentiels bénéficiaires de lots au niveau d’un lotissement nouveau situé au quartier Mezguida (ex-Oued Tolba).
Lorsque B. Abdelhamid, octogénaire, assis sur une chaise, s’est mis à lire son texte que lui-même venait d’écrire pour marquer l’évènement, la Journée nationale des personnes âgées célébrée le 27 avril de chaque année, l’auditoire est resté toute ouïe.
Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki, a insisté, jeudi à Tiaret, sur l’importance de la contribution des trois opérateurs de téléphonie mobile (Mobilis, Ooredoo et Djezzy) et Algérie Télécom pour accélérer la numérisation des transactions financières du secteur, appelant les usagers à utiliser le paiement en ligne.
Cela fait plus d’une année que l’Assemblée populaire communale de Rahouia, à 40 km au nord de Tiaret, vit une crise aigüe qui a impacté négativement la vie communautaire dans cette paisible ville de 30 000 âmes.
Des efforts soutenus sont accomplis par les équipes techniques d’Algérie Télécom sur le terrain pour appliquer le programme en cours visant la généralisation du projet FTTH ou (raccordement jusqu’à l’intérieur d’un logement depuis le réseau optique de l’opérateur) et cela à travers tout le territoire de la wilaya, mais aussi au niveau de la wilaya déléguée de Ksar-Chellala et de ses communes.»
En plus du projet devant valoir un apport de plus de 10.000 m3/jour depuis le champ captant de «Chott Echergui», d’autres projets en cours à Tousnina et depuis la Mina devront en principe voir le jour, alors que l’un des projets salvateurs, celui des 19 forages, pour des apports de près de 34.000 m3/jour depuis «Adjarmaya» à plus de 120 kilomètres de Tiaret a été avancé et l’accord de principe émis par le ministre de tutelle.
Réalisée au début des années 2000 pour être un joyau commercial et artistique devant valoriser le patrimoine culturel matériel et immatériel de la ville de Tiaret, la galerie d’art située au sous-sol de l’ensemble urbain Le Regina Mohamed Boudiaf, reste étrangement fermée.
En marge de sa dernière visite à Tiaret, le docteur Youssef Belmehdi, ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, a procédé à l’inauguration de la grande salle des conférences de 2000 places, baptisée au nom du père de la sociologie moderne, Abderrahmane Ibn Khaldoun, sur proposition du membre du gouvernement.
En marge de la Journée internationale des forêts célébrée le 21 mars dans la capitale des Hauts-Plateaux de l’Ouest, Tiaret, beaucoup de projets, initiés localement, tant dans le cadre du PCD que de ceux instigués sous l’intitulé de l’initiative locale, ont été dévoilés par le chef de l’exécutif, Ali Bouguerra.
Deux cent soixante douze (272) hectares de terres dites vides labourables, situées dans le domaine forestier dans la wilaya de Tiaret ont été concédés à 212 personnes sur sept périmètres», a fait savoir un cadre de la conservation forestière de Tiaret en marge de la Journée nationale des forêts célébrée, jeudi, à Guertoufa une commune voisine du chef-lieu de wilaya, Tiaret.
Après plusieurs couacs, reports, boycotts mais aussi tractations et repositionnements revoilà un semblant de sérénité qui semble s’installer dans l’Assemblée populaire communale (APC) du chef-lieu de Tiaret.
Le dossier lié à l’évacuation des logements de fonction du secteur de l’éducation continue de susciter de grandes inquiétudes à Tiaret, à l’heure où le ministère de tutelle, la justice, voire certaines Assemblées populaires communales s’emploient à démêler l’écheveau d’un problème à la fois complexe s’il ne prenait pas en certains cas des contours dramatiques.