En raison de la situation sanitaire, la direction de la culture et des arts de la wilaya de Tizi Ouzou organise des concours virtuels en direction des artistes. Le premier consiste en une compétition du meilleur portrait du chanteur Matoub Lounès organisé à l’occasion du 66e anniversaire de la disparition du Rebelle.
Très critiquée quant à la qualité de ses services, Sonelgaz de Boumerdès a mis enfin la main à la caisse en vue de moderniser et renforcer ses installations.
La zone industrielle de Larbatache, à l’ouest de Boumerdès, fait partie des 50 parcs industriels créés en 2011 à l’échelle nationale afin de booster les investissements. D’une superficie de 136 hectares, cette zone devrait accueillir 162 projets de grande envergure pouvant créer des milliers de postes d’emploi.
La hausse des contaminations par la Covid-19 à Boumerdès a fait exploser la demande sur les tests antigéniques. Leurs prix aussi. C’est ainsi qu’au chef-lieu de wilaya, à titre d’exemple, la plupart des laboratoires et polycliniques privées tarifent ce test antigénique entre 2500 et 2700 DA, voire plus, alors le ministère de la Santé a annoncé leur vente à 1000 DA au niveau des pharmacies.
La pollution de l’environnement résultant des rejets toxiques émanant des huileries est de plus en plus inquiétante. Dans la wilaya de Bouira, la margine pollue les cours d’eau.
Les citoyens des quartiers 99, 34, 80 et 600 Logements de Figuier, localité située à 2 kilomètres à l’est de Boumerdès se plaignent du manque d’éclairage public, de l’inexistence d’une salle de soins et de l’état défectueux des chemins y menant.
La reprise des cours n’a pas eu lieu à travers plusieurs facultés de l’université de Béjaïa. Le portail du campus Targua Ouzemmour est fermé depuis deux jours par des étudiants, demandant la prolongation de la suspension de l’activité pédagogique en présentiel et de maintenir la fermeture des résidences.
D’après des statistiques établies par l’ITAV (Institut technique de l’arboriculture fruitière et de la vigne) de Takeriets, ville située à 60 km au sud de Béjaïa, «l’huile ne représente que 15 à 20% sur un quintal de fruits.
Radia Maazouz est artisane dans la fabrication de savons à base d’huile d’olive et des bougies à base de la cire d’abeille. Ancienne vendeuse d’objets et de produits du terroir et artisanaux dans la ville de Béjaïa, elle se consacre à présent, totalement, pour la valorisation des sous-produits issus de la trituration des olives, entre autres.
L’association agricole Thafat Oufellah, de la commune de Tinebdar, daïra de Sidi Aïch, lance des formations ciblées, dont sept spécialités, pour les jeunes de la région en collaboration avec les CFPA de Chemini, de Tinebdar et d’Adekar.
La filière oléicole est lourdement impactée par les effets conjugués de la sécheresse et de la hausse des températures. En dépit de sa rusticité et de son endurance, l’olivier a sévèrement accusé le coup.
L’eau arrive un jour sur dix dans plusieurs localités de la wilaya de Bouira qui compte, pourtant, trois barrages hydrauliques.
Si la pandémie de Covid-19 a confirmé la prédisposition de l’Algérien à aider autrui à la moindre épreuve, elle a aussi révélé au grand jour bien d’autres facettes de la société.
La surcharge des classes se pose encore avec acuité dans des dizaines d’établissements scolaires de la wilaya de Boumerdès. Selon certains enseignants, ce problème a beaucoup facilité la propagation de la Covid-19 en milieu scolaire.
La situation sanitaire dans la wilaya de Boumerdès a empiré ces derniers jours.
Né le 16 avril 1941 dans la ville d’Akbou, le bon docteur Ahcene Rekis se dévoue corps et âme pour soulager ses patients et tous ceux qui se pointent à son cabinet depuis plus d’un demi-siècle. L’aide qu’il apporte en particulier aux plus démunis lui a valu d’être surnommé «le médecin des pauvres».
Le staff médical de l’établissement public hospitalier (EPH) Rachid Belhoucine de Sidi-Aïch a été étoffé au cours de ces dernières semaines par l’apport de nouvelles recrues, nous a confié le responsable de cet hôpital.
Les demandeurs de logements sociaux d’Amizour crient leur désarroi. «Cela fait près de dix mois que la liste des pré-bénéficiaires des 392 logements publics locatifs a été rendue publique, notre sort demeure toujours aussi flou», se lamente un souscripteur.
Un linéaire cumulé de 200 km de pistes a été ouvert au cours de ces deux dernières années, à travers différentes localités de la wilaya de Béjaïa.
En raison de la hausse généralisée des prix, les citoyens peinent à remplir leur panier, même en s’attachant au strict minimum.