Le ramadan a mal commencé pour une bonne partie de la population de la ville de Didouche Mourad, située à 15 km au nord de Constantine.
Dans le cadre de la célébration de la journée internationale des forêts, le bureau de wilaya d’Annaba de l’Organisation nationale de lutte contre la désertification et de protection de l’environnement (ONDE) a organisé ce weekend une grande campagne de reboisement.
La RN79 reliant Constantine à Aïn M’lila, dans la wilaya d’Oum El Bouaghi, a été le théâtre d’un accident de bus survenu sur la route de l’aéroport Mohamed Boudiaf.
Un accident mortel de la circulation, entre un camion semi-remorque et un véhicule touristique est survenu hier à 4h41 sur l’autoroute Est-Ouest, à la sortie du tunnel d’El Kentour, en direction de Skikda dans la commune de Aïn Bouziane (W-Skikda).
A la rue Abderrahmene Bouderbala (ex-rue Petit), les scènes des files d’attente devant la station des taxis en direction de la cité Boussouf (Constantine) sont devenues une partie du quotidien dans cette partie de la ville.
Des passagers d’un bus assurant la ligne Djebel Ouahch – Boussouf ont assisté à la scène en direct. Hier à 9h35, une patrouille de la police ayant abordé le bus juste à l’arrêt situé à l’entrée de la cité Boussouf, avant de procéder à l’arrestation sur place du conducteur et du receveur, selon des témoins oculaires.
Les différents changements climatiques et les pollutions de l’environnement ne cessent d’accroître la pression sur les masses d’eau dans le monde. L’Algérie n’est pas épargnée. L’évidence est incontestable, nécessitant une politique efficace pour faire face à ce phénomène.
Après plusieurs jours durant lesquels plus de 120 vendeurs informels ont imposé leur loi, en squattant la voie publique sur les rues Didouche Mourad et 19 juin 1965, les services de la sûreté de wilaya ont décidé de sévir pour «nettoyer» les lieux.
Cinq personnes ont été blessées suite à l’effondrement, dans la nuit de lundi à mardi, à la cité Didouche Mourad du centre-ville de Skikda, d’une partie d’une bâtisse abandonnée, a indiqué la Protection civile.
Les chauffards continuent de faire des dégâts sur les routes de la wilaya de Constantine. Ils ne cessent d’agir en toute impunité, sans se soucier des conséquences sur la vie des autres.
C’est dans la nuit de lundi à mardi que la vieille bâtisse de l’ex-hôtel de France à Skikda s’est effondrée, provoquant frayeur et consternation auprès des riverains de la rue Didouche Mourad.
Depuis sa disparition le 7 mars, les recherches se poursuivent toujours pour retrouver le petit Iyad Tazir, âgé de 5 ans et atteint d’autisme.
À la veille du Ramadhan, la hausse des prix a touché tous les produits de base et à des proportions inattendues.
Les services de la sûreté de wilaya de Constantine ont présenté récemment le conducteur d’un camion devant le parquet pour abus de confiance et vol de 4 milliards de centimes.
Des dizaines d’étudiants en 7e année de médecine de l’université Salah Boubnider Constantine 3 ont tenu, hier, un sit-in au CHU Dr Benbadis, pour dénoncer «le blocage» de leurs bourses de stage depuis environ 8 mois.
A en croire les services de la direction de la culture, les chantiers sont à leur dernière phase et le dossier de réhabilitation des mosquées sera clôturé en 2023.
Deux projets dans le secteur de la santé à Guelma pénalisent la population. Leur livraison dans les délais contractuels n’a pas été respectée.
Le constat est sans appel. Ce qui ce qui se disait sur les conditions d’hygiène à la laiterie Numidia, la principale unité de production de lait en sachet pour la wilaya de Constantine et qui alimente également des wilayas de l’Est, a été confirmé, lors d’une visite-surprise effectuée par le wali de Constantine accompagné d’une délégation de l’exécutif et des représentants de la presse.
Le tribunal de Seriana (wilaya de Batna) a condamné quatre personnes à sept ans de prison ferme et à une amende d’un million DA pour délit de spéculation illicite, a indiqué hier le parquet, dans un communiqué.
Lors de sa visite au projet de l’extension de la maternité de Sidi Mabrouk, le wali était abasourdi, non seulement par la lenteur des travaux, mais surtout par un véritable crime contre la nature.