-Quelle est l’importance de l’abeille saharienne dans l’écosystème oasien ? La répartition géographique de cette sous-espèce est définie dans les régions steppique et saharienne du Sud-Ouest algérien, à savoir les montagnes de Aïn Sefra, Béchar et Beni Ounif. Elle est facilement reconnaissable à sa couleur jaune oranger et est caractérisée par sa douceur, comparativement à la tellienne (Apis mellifera intermissa). L’abeille saharienne, au même titre que les autres races d’abeilles, joue un rôle important dans l’écosystème qu’elles occupent. En effet, elle joue un rôle crucial ; d’une part, dans la pollinisation des espèces végétales contribuant ainsi à la sécurité alimentaire, d’autre part, elle assure une diversification des sources de revenus des communautés rurales, soit à travers le miel ou bien les autres produits de la ruche (propolis, pollen, venin, gelée royale, cire).
«Le succès du reboisement dépend avant tout du suivi des plants en pépinière», affirme M. Djamel Belaid. Selon lui, le substrat choisi doit être inoculé des champignons nécessaires à la symbiose. Il s’agit également, selon le spécialiste, d’éviter d’utiliser des sachets en polyéthylène car ceux-ci sont à l’origine d’un développement des racines en chignon, ce qui est peu propice à un enracinement profond.
Une vaste opération de plantation de figuiers de barbarie est prévue prochainement dans la wilaya de Tizi Ouzou, et le choix de cette plante en particulier n’est pas anodin. Elle est justement connue pour être le pare-feu idéal. Explications.
A quelques mois de l’été et ses fortes chaleurs, il est primordial de passer par la case «débroussaillement» afin de limiter au maximum les risques des feux de forêt. Explications !
Les énergies fossiles ont encore un rôle à «jouer» dans un «avenir prévisible», a estimé, hier, le président de la COP28, Sultan Ahmed Al Jaber, soulignant que ces combustibles vont «contribuer à répondre aux besoins énergétiques mondiaux».
La sécheresse historique qui frappe la Grande Corne de l’Afrique est la conjonction inédite d’un manque de pluie et de fortes températures qui n’aurait pas pu se produire sans les conséquences des émissions humaines de gaz à effet de serre, démontre une étude scientifique publiée jeudi dernier.
Alors que le mois d’avril touche à sa fin, une nouvelle vague de chaleur s’abat sur le pays. En effet, selon les prévisions de Météo Algérie, le mercure continuera de grimper, enregistrant des moyennes oscillant entre 26 et 38 °C sur les régions côtières ; entre 30 et 41 °C sur les régions intérieures du pays et entre 33 et 43 °C sur les régions sahariennes. C’est pourquoi, le ministère de la Santé a appelé, via un communiqué, a un nombre de mesures indispensables à observer, notamment de fermer les volets et les rideaux des façades des logements exposés au soleil, maintenir les fenêtres fermées tant que la température extérieure est supérieure à la température intérieure et éviter de sortir aux heures les plus chaudes, et ce, en vue de sensibiliser la population sur la hausse sensible de la température que connaît le pays.
En 2022, les glaciers suisses avaient fondu comme jamais auparavant. Un triste record qui risque de se répéter.
Dans le cadre de la coopération multilatérale avec le système des Nations unies pour le développement (PNUD), le financement du plan national d’adaptation au changement climatique a été approuvé par le fond vert pour le climat, ce qui constitue une étape importante pour l’Algérie. Dans cet entretien, Samir Grimes revient sur l’importance d’un tel plan, son utilité mais également ses préalables.
Les services de la Conservation des forêts de Bordj Bou Arréridj en coordination avec les éléments de la sûreté assistés par des citoyens ont capturé dans la nuit de dimanche une hyène rayée qui s’était aventurée dans la ville de Bordj Bou Arréridj, a-t-on indiqué lundi auprès de la Conservation.
Pour la première fois depuis des années, l’établissement de nettoyage et de collecte des ordures ménagères d’Alger (Netcom) a enregistré une baisse significative dans le gaspillage du pain durant le Ramadhan. Reportage !
Célébré par Aristote, animal sacré pour Cléopâtre, étudié par Darwin, le ver de terre joue un rôle essentiel dans la santé des sols et de la biodiversité.
Concernant le Covid-19, les scientifiques estiment largement que la pandémie a démarré parce qu’un animal a transmis le virus à l’humain,probablement sur le marché chinois de Huanan, à Wuhan. Des chercheurs et des responsables américains défendent toutefois l’hypothèse d’une fuite de laboratoire, ce que la Chine conteste.
Les chlorofluorocarbures (CFC), connus pour leurs effets nocifs sur la couche d’ozone, ont atteint des niveaux record en 2020, et cela, malgré leur interdiction, il y a plus de 35 ans, lors du protocole de Montréal dont l’objectif était de faire diminuer la concentration de ces CFC dans l’atmosphère en contrôlant et en restreignant de plus en plus la production de ces produits chimiques.
L’étude portant sur la réalisation d’un plan de gestion des déchets en milieu urbain dans la wilaya d’El Ménéa est au stade des «dernières retouches», a indiqué la direction locale de l’Environnement.
Des militants environnementalistes ont noirci l’eau d’une fontaine romaine monumentale place d’Espagne à Rome, lors d’une manifestation qui, selon eux, évoquait un scénario de «fin du monde».
L’EPIC CET Oran récupère mensuellement une moyenne de 10 tonnes de papiers, grâce aux conventions qu’elle avait signées avec des établissements universitaires et scolaires il y a quelques mois, a-t-on appris auprès de cette entreprise qui gère les centres d’enfouissement technique de la wilaya.
A en croire les conclusions d’une étude, publiée cette semaine dans la revue scientifique The Lancet Planetary Health, «la réduction des émissions de gaz à effet de serre permettrait d’éviter 80% des décès liés à la chaleur au Moyen-Orient et en Afrique du Nord».
La Conservation des forêts de Blida a bénéficié récemment de trois programmes ruraux et forestiers visant à encourager les habitants des zones rurales à retourner dans leurs régions d’origine et à y exercer leurs activités agricoles, pour contribuer à leur désenclavement, a-t-on appris, dimanche, auprès de cette structure.
Le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) a indiqué lundi dernier que l’Afrique présentait le taux de conformité le plus élevé aux Accords de Paris sur le changement climatique.