Souvent, lorsque l’on m’interroge sur l’Algérie, j’aime citer cette métaphore d’un de ses plus éminents écrivains, Mohamed Dib : «...On oublie souvent que la mer, avant tout, n’a pas d’âge ; sa force réside en cela...».(1)
Les institutions financières internationales (FMI et BIRD) nées de Bretton-Woods, en 1944, avaient comme noble mission affichée de «réguler» l’économie mondiale afin qu’elle n’engendre plus de conflits mondiaux, comme ceux de la Première et la Seconde Guerre mondiales.
Le pays est aujourd’hui confronté à une série de chocs qui menacent gravement à terme sa sécurité alimentaire.
Les signes de mal-vie, d’étouffement dans notre habitat, de malaise urbain, de difficulté de circuler, de difficulté d’accéder à certains services publics vitaux et d’autres goulots d’étranglement, tardent visiblement à être décryptés et analysés comme des segments «pathologiques» de l’organisation du pays en matière de gestion de son espace, de son habitat, de son économie et de ses ressources naturelles.
L’univers des affaires est très mouvant. L’activité économique peine à se relever à cause des multiples crises que connaît le monde aujourd’hui et les conséquences de la pandémie Covid-19 qui a modifié carrément la carte économique mondiale.
Le président A. Tebboune doit effectuer deux visites, pour le moins cruciales, en Russie et en Chine (cette dernière a été reportée pour des raisons de pandémie dans ce pays). Dans les deux cas, ces visites nécessitent une attention particulière, car elles seront scrutées par toutes les chancelleries au monde.
Depuis maintenant une vingtaine de jours, les enseignants-chercheurs se retrouvent de nouveau sur les premières pages de journaux… et même le sujet de chroniques de stations radios étrangères.
Lorsque l’on réfléchit sérieusement aux problèmes du pays, on parvient assez rapidement à la conclusion (qui, bien sûr, demeure une hypothèse) que notre société souffre aujourd’hui du handicap majeur que constitue pour les Algériens, nation et société, le profond déficit de connaissance historique, un déficit qui affecte, directement ou indirectement, tous les domaines de la vie du pays et ainsi que ses perspectives de développement.
Je viens d’achever la relecture d’un livre édité en 2013 par Les Belles Lettres de la collection Regards et extrait de l’ouvrage Histoire des Frères Barberousse (1837).
Quel que soit son coût, une prévention bien conduite revient toujours moins chère que la plus vile des thérapeutiques. Dans ce cadre, il faut penser à construire dans plusieurs domaines des tactiques et des stratégies, destinées à suppléer aux dysfonctionnements quasi-réguliers de la vie sociétale.
A quelque chose malheur est bon, dit un vieil adage ! La pandémie qui s’abat, aujourd’hui, sur le monde et y sévit, est un coup de massue qui rend lucide.
Si la Banque mondiale et le Fonds monétaire international sont connus des spécialistes et même du grand public, ce n’est pas le cas de leurs missions et activités respectives.
La superficie agricole dédiée aux céréales est actuellement de l’ordre de 3,3 millions d’hectares, la production est toujours très faible ; sur les cinq dernières années, la moyenne n’a pas excédé les 42 millions de quintaux et demeure très insuffisante, puisqu’elle ne couvre que 30% des besoins nationaux, notamment, en blé tendre
Le rideau est tombé sur le deuxième tour de l’élection présidentielle française 2022, dont j’avais anticipé le résultat, le 16 avril 2022, dans ce quotidien et prévoyais, avec justesse, la victoire d’E. Macron, pour toutes les raisons invoquées et auxquelles j’ajoute que socio-ethnologiquement, la France n’est pas prête à voter pour une femme !
A l’heure de tant de menaces, le «vivre-ensemble» est une voie incontournable. Il s’agit de bâtir un monde de paix, une société juste et un ordre démocratique où se conjuguent l’unitaire et le pluriel, la liberté et la sécurité. «Faire monde», «faire société», «vivre ensemble», en somme, respecter autrui et les institutions est une responsabilité collective. Rien n’est donné d’avance.
Le 1er Mai est un des événements les plus déterminants dans l’histoire du monde du travail, vu que la fête du travail est largement célébrée à travers le monde par des marches pacifiques de grande envergure. Incontestablement, la fête du 1er Mai est donc historiquement un jour, symbolisant la lutte pour l’émancipation sociale, notamment une journée de célébration des combats des travailleuses et travailleurs.
Les médias viennent de faire part de la volonté du président Abdelmadjid Tebboune de proposer une action politique inscrite dans un esprit de rassemblement national pour répondre à une pressante demande interne et aux nouvelles exigences de la conjoncture internationale.
Le concept générique de la sécurité alimentaire est en train de subir des évolutions et prendre de nouveaux contours selon la complexification des enjeux géostratégiques, économiques et environnementaux liés à cette problématique.
Les 72 heures du livre de Conakry se sont déroulées les 23, 24 et 25 avril 2022. Le thème des 72 heures cette année porta sur la sauvegarde du patrimoine et la paix sociale.
«Le croiseur Duguay-Trouin, le contre-torpilleur Le Triomphant sur Cap Aokas et ses environs, en plus de l’aviation qui bombarda une cinquantaine de mechtas et villages.» «A Kherata, Amoucha, Aïn Kébira, El Ouarcia, la folie meurtrière se déchaîne contre la population civile.» «Sept semaines de répression féroce dans le Nord constantinois sous le commandement du général Duval sur instruction du général de Gaulle où du sang, des larmes ont coulé et des morts effroyables jetés vivants dans les gorges de Kherata. Avec Guelma et Sétif, il y a eu environ 45 000 martyrs.»