La Brigade territoriale de la Gendarmerie nationale de Semmar a récupéré en un temps record un bus volé sous la menace d’une arme blanche, a indiqué mardi un communiqué du commandement de la Gendarmerie nationale.
La majorité des rues et artères qui se trouvent dans les lotissements d’habitation de la périphérie à Bordj El Kiffan ne sont pas goudronnées.
La police de Blida a arrêté cinq individus mis en cause dans le meurtre d’un citoyen à Soumâa et récupéré 10 armes blanches de différents types, a indiqué hier un communiqué des services de la Sûreté nationale.
En l’absence de commissariat dans ces nouveaux pôles d’habitat, les actes de vol de voitures se multiplient, plongeant les habitants dans la panique.
La ruée pour l’acquisition de diverses fournitures scolaires a déjà commencé, ces jours-ci, tout le long des routes et des rues en prévision de la prochaine rentrée scolaire. Une petite virée au niveau des marchés du centre-ville où les étals de fournitures scolaires ont remplacé, il y a quelques jours, ceux des vêtements, nous a permis de constater que les parents préfèrent acheter les articles moins chers au détriment de la qualité.
La localité de Kaïdi, située à 15 km à l’est de la capitale, est un ensemble de lotissements dépourvu de toutes commodités devant améliorer le cadre de vie de ses résidents. Ces derniers vivent au rythme d’une panoplie de problèmes auxquels aucune prise en charge n’a été concrétisée par les autorités locales. La majorité de ces quartiers ont été créés durant les années 1990.
Un immeuble en état de délabrement avancé, situé à proximité du parc et d’une annexe de l’APC d’Alger-Centre, au boulevard Mohammed V a été enfin pris en charge, avons-nous appris de la municipalité.
Les différents espaces culturels de la capitale et les établissements dédiés à la jeunesse connaissent une animation intense et une fréquentation optimale de la part des citoyens de tous les âges, intéressés par la diversité des programmes proposés durant la période estivale, où les nombreux visiteurs s’adonnent à plusieurs activités de divertissement.
L’anarchie s’empare du cadre urbain dans la commune d’El Harrach. Le phénomène prend des proportions alarmantes même à travers les principaux axes de l’agglomération.
Les services de la Gendarmerie nationale ont démantelé un réseau à Alger exploitant des mineurs dans la vente de boissons alcoolisées sans autorisation, dans le cadre d’une opération qui a été soldée par l’arrestation de trois individus et la saisie de 2400 unités de boissons alcoolisées, a indiqué mercredi un communiqué de ce corps constitué.
Un phénomène qui devient de plus en plus visible, même au centre-ville, bien que l’espace public soit régi par des lois.
L’arrêté introduit par les autorités compétentes pour la régularisation des constructions inachevées n’a pas encore donné de résultats probants.
Des parties d’immeubles complètements dégradés, présentant un sérieux risque d’effondrement menacent la vie de milliers de citoyens aux marchés populaires de la Nasse Casbah.
La commune de Réghaïa est dotée d’un marché couvert de fruits et légumes qui compte plusieurs étals. Néanmoins, cette structure commerciale ne peut à elle seule résorber le problème du commerce informel.
En haut lieu, l’Etat ne cesse de prôner un discours rassurant quant à la nécessité de préserver les terres agricoles, mais sur le terrain, la réalité est tout autre. La betonisation à outrance et le massacre des terres des plus fertiles ne cessent malheureusement de constituer un crime omniprésent et qui semble durer dans le temps, encouragé par l’indifférence des autorités locales.
Plusieurs nouvelles cités, toutes formules confondues, accusent un manque flagrant en commodités. Un constat largement partagé par les nouveaux acquéreurs de logements dans la banlieue d’Alger.
Samedi en fin de soirée, un affrontement entre deux gangs à Sidi Madani, dans la commune de la Chiffa, a failli provoquer le pire. En effet, les habitants de cette localité, particulièrement ceux de la cité des 162 logements ont assisté à une guerre entre deux gangs pour une histoire de «territoire et de commercialisation de drogues, essentiellement les psychotropes», nous dit-on.
Le projet de réfection des trottoirs à la rue Didouche Mourad, au centre de la capitale, suscite le mécontentement des piétons en raison de la lenteur des travaux.
A Bordj El Bahri, seuls quelques commerçants ont rejoint le marché de proximité au quartier les Ondines.
A la cité Kaiti dans la commune de Staouéli, il existe une salle de soins, qui ne peut à elle seule répondre à tous les besoins exprimés par les habitants.