Une rencontre qui a réuni les membres des bureaux des wilayas de Constantine, Souk Ahras, Skikda, El Tarf et Guelma, avec pour objectif d’expliquer les nouvelles formules avantageuses dans divers secteurs, tels le tourisme, les transports, la santé, les assurances véhicule-domicile.
Après la belle époque du Boumediénisme, l’unité connaîtra la restructuration au temps de Chadli, avant de sombrer dans la crise à l’ère de Bouteflika.
Aujourd’hui, il n’y a pas de relève à la Casap du chef-lieu de wilaya et, vraisemblablement, les dernières apprenties ont quitté, il y a très longtemps, les lieux pour d’autres activités.
Des cultivateurs de la tomate industrielle à Bouchegouf, commune située à une quarantaine de kilomètres à l’est de la ville de Guelma, ont manifesté leur mécontentement, deux jours durant (lundi et mardi passés) en dénonçant le manque d’eau d’irrigation en provenance du barrage de Hammam Debagh.
Des projets annoncés pour la réalisation de sept nouvelles structures dans cinq communes de la wilaya sont restés à l’état des vœux pieux.
Une stèle commémorative des massacres du 8 Mai 1945 à Guelma située au centre de la place des Martyrs fait office de dépotoir à ciel ouvert. Il faut le voir pour le croire.
Un litige autour du foncier serait à l’origine de l’arrêt du projet qui aurait été cédé par l’OPGI au profit de l’ENPI, mais la transaction buterait sur certaines modalités.
L’affichage d’une liste d’attribution provisoire de 671 logements sociaux a eu lieu en fin de semaine dernière à Oued Zenati, la plus importante commune de la wilaya de Guelma après le chef-lieu. Un affichage qui intervient après 13 années d’attente.
La wilaya fait toujours face au problème des capacités de stockage qui demeurent en adéquation avec les rendements réalisés.
Le projet de réhabilitation de la piste d’atterrissage de l’aérodrome de Belkheir, située à quelques encablures à l’est de la ville de Guelma, connaît depuis quelques jours des tractations entre la direction des transports de la wilaya et celle de la ferme pilote Richi Abdelmadjid du groupe Gvapro.
Les communes éprouvent des difficultés à entretenir ces espaces faute de budget de gestion, mais aussi par manque de main-d’œuvre qualifiée.
Au programme de transformation 2021-2022, 60 hectares de semence de colza hybride Lidea ont atteint une maturité irréprochable et la plante est indemne de toute maladie, selon le gestionnaire de la ferme.
La lenteur dans l’exécution des travaux est devenue une marque de fabrique à Guelma. N’échappant malheureusement pas cette règle, le projet de réhabilitation et d’aménagement du jardin public Seridi Mustapha à Guelma, dont l’avis d’appel d’offres a été lancé en 2017 et attribué la même année, est toujours en cours d’exécution, bien que les délais des travaux ne devaient pas excéder 8 mois. Inscrit au profit de l’APC de Guelma, les riverains et autres habitants s’interrogent sur son éventuelle ouverture au public.
L’association fournit gracieusement à plus de 2000 personnes parmi ses adhérents des médicaments, mais aussi des glucomètres et des stylos d’insuline.
Pour pallier le déficit d’engrangement, la CCLS se rabat, comme chaque année, sur des locations de locaux, voire même des stockages à l’air libre.
Ce bijou du patrimoine national, figurant parmi les sites et monuments historiques d’Algérie, aurait pu être une destination privilégiée pour le tourisme culturel.
Si les logements sont livrés, il restera les travaux de VRD, mais surtout les équipements tels les établissements scolaires, les infrastructures de santé publique, une antenne administrative de l’APC…
Depuis le début du mois de Ramadhan, quelques stands faisant office d’un marché de proximité ont été installés près de l’une des façades du théâtre régional de Guelma.
Les pensionnaires de l’hospice pour personnes âgées de Hammam Debagh, l’unique dans la wilaya de Guelma, survivent officiellement avec 200 dinars par personne et par jour.
Les études du projet de réhabilitation de la ligne ferroviaire reliant Bouchegouf (wilaya de Guelma) à El Khroub (wilaya de Constantine) ont consommé des sommes astronomiques sans jamais aboutir. La dernière étude en date est toujours en cours. Elle a été confiée, il y a quelques mois, à la SETI rail, un bureau d’études-filiale de la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF).