La réserve naturelle de Beni Salah dans la wilaya de Guelma a été classée en aire à protéger par arrêté de wilaya en 2015. Située à l’extrême nord-est du pays, cette étendue boisée de quelque 4667 hectares constitue le dernier sanctuaire du cerf de Barbarie (Cervus elaphus barbarus) en plus d’autres espèces en voie d’extinction ou menacées de disparaître.
La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Madame Fazia Dahleb, a déclaré, hier samedi, à partir de Guelma, que «les centre d’enfouissement technique (CET) sont appelés à disparaître» et de préciser en substance «que cette façon d’éliminer les ordures ménagères est révolue car ce procédé est non seulement contre productif, mais il génère beaucoup plus d’inconvénients d’ordre écologique et nécessite aussi de grosses enveloppes financières pour la réalisation des cassiers d’enfouissement et de grands espaces réservés à cet effet».
Une personne est morte noyée dans un puits et une autre a été sauvée mercredi dernier dans la wilaya de Skikda.
Cinq personnes ont été intoxiquées, lundi soir, suite à des inhalations de monoxyde de carbone à la cité El Amal à Skikda.
Faute de distribution d’eau potable régulière par l’ADE de Guelma, accentuée par des restrictions et un programme contraignant, le stockage de l’eau dans les domiciles est devenu, depuis quelques mois, une priorité absolue pour les habitants.
Encore une fois, et en l’espace de quelques jours, après la saisie de 8550 capsules de Pregabaline à Héliopolis, c’est un coup de filet ayant permis la saisie de 12 000 capsules du même produit pharmaceutique qui vient d’être opéré par la police à Guelma, et les trafiquants écroués.
Les dernières intempéries qui ont touché la wilaya de Guelma et plus précisément le bassin versant du barrage de Hammam Debagh ont eu un impact positif.
Pas moins de 6000 capsules de Pregabaline ont été saisies par la brigade de recherche et d’intervention de Skikda a indiqué, hier, un communique de la sûreté de wilaya.
Les températures extrêmement élevées en période hivernale et les pluies diluviennes en saison printanière ont eu l’effet d’une «douche écossaise» pour les céréaliculteurs de la wilaya de Guelma. Déjà, les dégâts observés suite à la sécheresse qui s’est abattue sur les régions sud de la wilaya sont irréversibles. «Ajoutez aussi les pluies sur un blé mature avant terme et vous aurez une récolte inexploitable même pour alimenter le bétail. Le blé est pourri de la racine à l’épi», ont révélé, hier, à El Watan, des agriculteurs de la région de Guelma visiblement éprouvés par une situation climatologique exceptionnellement dévastatrice.
C’est à l’initiative de l’association moderne pour la culture et les arts de Guelma en collaboration avec l’APC du chef-lieu qu’une représentation dédiée à la journée mondiale de l’enfance s’est amorcée, jeudi dernier, vers 16 heures au théâtre romain de la ville.
Dix-sept maisons ont été envahies par les crues, dont quatre ont été gravement détériorées à Oued El Maleh, agglomération secondaire de la commune de Hammam N’Bails, lors des intempéries qui ont ébranlé la région de Guelma, dans l’après-midi de mardi dernier.
De mémoire d’habitants de Oued El Maleh, agglomération secondaire relevant de la commune de Hammam N’bail, située à une vingtaine de kilomètres au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Guelma, jamais l’oued éponyme n’a atteint une telle virulence.
Le service vétérinaire auprès de la DSA de Guelma a lancé, jeudi dernier, une opération de vaccination d’urgence contre la fièvre aphteuse, une maladie hautement contagieuse entraînant des conséquences très graves sur le plan économique dans la région touchée par la zoonose. «Nous installons une barrière sanitaire contre cette maladie, qui s’est déclarée en Libye au mois de mars dernier.
La campagne agricole dédiée à la filière de la tomate industrielle dans la wilaya de Guelma est, depuis quelques années, sujette aux conditions climatiques défavorables, notamment pour le manque de précipitations et de la disponibilité de l’eau d’irrigation.
Il fallait s’y attendre. Les pluies diluviennes et les crues observées mercredi dernier dans la région de Guelma n’ont pas été sans conséquence. D’une rare violence, ni les villes et encore moins les agglomérations secondaires n’ont échappé à la furie des eaux.
Face à la hausse des saisies de produits stupéfiants, la lutte contre la drogue et la toxicomanie vient d’être renforcée par une batterie de dispositions. En appui au volet préventif, de nouvelles mesures coercitives sont entrées en vigueur sous forme de la loi 23-05 du 7 mai 2023, modifiant et complétant celle n°04-18 du 25 décembre 2004.
Le médiateur de la République, Madjid Ammour, a déclaré au début de la semaine, à partir de Guelma : «Tout va et doit être programmé selon les priorités. Soyez confiant, toutes vos préoccupations seront prises en considération.
La circulation en milieu urbain à Guelma s’amorce quotidiennement dans des altercations verbales entre conducteurs névrosés et piétons imprudents. Au-delà du constat devenu banal, la situation échappe à tout contrôle lorsqu’il s’agit des conducteurs des deux-roues motorisées. «Ils brûlent les feux rouges.
Dédiée au 7e art depuis sa création, il y a une centaine d’années, la salle de cinéma de Guelma a connu, rappelons-nous, son lot de léthargie chronique à telle enseigne que même les interventions opérées par les pouvoirs publics pour une réhabilitation définitive, sanctionnée par des travaux réceptionnés, il y a quelques années, ont lamentablement échoué.
La lutte inlassable menée par les services de la sûreté de la wilaya de Guelma contre le trafic de drogues, de psychotropes et de neuroleptiques en milieu urbain a porté ses fruits. Trois suspects ont été arrêtés et présentés, dimanche 14 mai, devant la justice dans deux affaires distinctes.