Introduction Après une analyse des contextes économique et énergétique mondiaux, cet article va analyser l’impact macroéconomique de la récente envolée des prix des hydrocarbures et avancer des propositions sur les prochaines étapes économiques.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés devraient s’en tenir à leur plan de production actuel, lors de leur prochaine réunion début mars, selon les déclarations de plusieurs pays producteurs du Golfe, réunis lors d’une conférence sur l’énergie organisée dimanche à Riyad, en Arabie Saoudite. Les ministres de l’Energie des Emirats arabes unis, du Koweït et de l’Irak ont déclaré que le groupe devait s’en tenir à son accord actuel «pour maintenir l’équilibre du marché et éviter tout excédent».
Un Conseil du renouveau économique algérien (CREA), une nouvelle organisation syndicale patronale qui aspire à contribuer "activement" à la transition économique de l'Algérie, a été créé samedi 19 février à Alger, à l'initiative de dirigeants d'entreprises nationales publiques et privées.
Selon l’ONS, la croissance demeure faible et continue d’être dépendante du rythme de l’activité dans le secteur des hydrocarbures. Durant le troisième trimestre, l’activité hydrocarbures, encouragée par des prix du brut très favorables, s’est élevée à 14,1%. Les autres secteurs ont par contre connu un faible niveau de reprise.
La croissance économique de l'Algérie a atteint 3,4% au 3ème trimestre 2021 par rapport à la même période de l'année 2020, a appris mercredi 16 février l'APS auprès de l'Office national des statistiques (ONS).
Les prix des produits alimentaires, allant de la pomme de terre jusqu’à la viande, féculents et produits agroalimentaires, flambent. Les taxes imposées dans le cadre de la loi de finances 2022 contribuaient fortement à cette hausse vertigineuse qui pousse vers le fond le pouvoir d’achat des familles algériennes. Est-ce l’unique raison ? Selon les experts du marché, la réponse est négative. Les mandataires, premiers intervenants après les agriculteurs, dénoncent l’absence de stratégie d’approvisionnement du marché et surtout le manque de moyens de régulation.
Les objectifs à atteindre sont la satisfaction des besoins quotidiens des citoyens, la réduction de la facture d’importation et atteindre l’autosuffisance en la matière.
Les projets avaient été annoncés lors de la tenue, le 25 juillet 2021, du Conseil des ministres. Le président de la République avait alors ordonné «le lancement, dans les plus brefs délais, de projets de dessalement d’eau de mer dans l’est, l’ouest et le centre du pays».
Un mois et demi après l’entrée en vigueur de la loi de finances 2022, où sont contenues de nouvelles mesures de fiscalité visant à renflouer les caisses de l’Etat, ce dernier décide de faire machine arrière pour annuler ou geler certaines dispositions fiscales.
La décision de surseoir à l’application de certaines taxes touchant des opérations de commerce électronique, prévues dans la LF-2022, notamment les articles 135, 136, 137 et 138, parait surprenante, mais obéit à une nouvelle évaluation de la situation économique du pays, d’une part, et aux conditions d’application des mesures en question, d’autre part.
Il est question, comme ne cessent de le souligner les économistes et les chefs d’entreprise, de prendre en charge efficacement tout ce qui est en lien avec l’écosystème de l’investissement. Ce qui n’est pas le cas. On en est encore à la phase d’évaluation des potentialités d’investissement des filières industrielles et des opérations d’audit des entreprises publiques.
Ce résultat est lié directement avec les mesures d’encouragement et de facilitation, prises par l’Entreprise portuaire de Annaba visant à booster l’activité de l’export, et ce, conformément à la stratégie des pouvoirs publics en la matière.
N’obéissant à aucune règle de frontières, la Covid-19 s’est propagée dans pratiquement tous les pays du monde, plongeant de plus en plus de personnes, les enfants en particulier, dans l’insécurité alimentaire et la malnutrition chronique.
La nouvelle loi sur l’investissement prévoit plusieurs nouvelles mesures pour faciliter les investissements étrangers en Algérie, dont la création d’un guichet unique, a affirmé le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar.
L’économie algérienne étouffe sous le poids des restrictions aux échanges commerciaux, financiers et économiques externes, des rigidités structurelles et des politiques publiques incohérentes. Ces trois facteurs ont causé progressivement depuis dix années des dommages structurels aggravés par la faiblesse des mesures mises en place pour combattre les effets des chocs sanitaire et pétrolier de mars 2020.
La présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA) a jeté un pavé dans la mare en s’attaquant aux blocages dont font l’objet les patrons et investisseurs. Saïda Neghza s’est exprimée sur la chaîne Ennahar et a affirmé que ceux qui «entravent la relance économique se trouvent dans l’entourage du président Tebboune». «La îssaba est toujours aussi forte qu’avant et elle est protégée par des gens qui sont censés appliquer le programme de relance…
Une quantité de 4.000 tonnes de poudre de lait a été acheminée vers l'Algérie au cours de ces derniers jours, a indiqué lundi 7 février à Alger le directeur général de la Compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN-Nord), Smain Abdelmalek.
Dans cet entretien, Guendouzi Brahim, professeur d’économie à l’université de Tizi Ouzou et spécialiste du commerce extérieur, analyse les mesures d’encadrement et de rationalisation des importations. Il estime que ce recadrage vise certainement à pratiquer un effet d’éviction sur le nombre d’importateurs.
Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zaghdar, a reçu lundi dernier à Alger l’ambassadeur et chef de la délégation de l’UE en Algérie, Thomas Eckert, qui a pris ses fonctions à la mi-septembre 2021.
Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR) cherche à mettre de l’ordre dans le foncier agricole et à organiser à production via la mise en place de pôles régionaux.