Le président de la République a mis en exergue la création de l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI), une démarche qui a contribué, a-t-il dit, à l’amélioration du climat des affaires en Algérie et à la relance de l’investissement, précisant que l’AAPI compte actuellement près de «6400 nouveaux investissements».
Le président Tebboune a insisté dans son discours sur la notion de reddition de comptes par «les responsables qui n’ont pas été en mesure d’accomplir les tâches qui leur ont été confiées». Il a ainsi indiqué avoir «récemment pris des décisions à contrecœur en mettant fin aux fonctions de responsables locaux qui ont failli».
Abdelmadjid Tebboune consacre la majeure partie de son discours de près de deux heures aux questions économiques. Il fait, dans ce sens, une comparaison avec la situation d’avant 2019, marquée, selon lui, par «l’opacité, les détournements et la gabegie».
Le ministre des Affaires religieuses, Youcef Belmehdi, n’a pas manqué de rappeler que la formation de l’imam ou de l’homme de religion est fondée sur l’approche de modération, focalisée sur l’histoire et la pédagogie de nos ancêtres.