Les services de la Protection civile ont secouru, jeudi soir, 16 personnes lors d’un incendie dans un centre commercial à Cheraga (Alger) du nom d’El Qods.
Nombre d’avaloirs sur le tronçon routier relayant l’axe routier Chéraga-Bouchaoui ne possèdent pas de grilles ou sont dotés de grilles défoncées, car ne résistant pas à des charges trop fortes exercées par des véhicules poids lourds, ce qui génère un risque d’accident pour l’usager.
La section de recherche de la Gendarmerie nationale de Chéraga, avec le concours des éléments du détachement d’intervention de la Gendarmerie nationale de Mahelma (Alger), «a réussi à mettre fin à l’activité de cette bande et a arrêté ses éléments dangereux en flagrant délit».
L’histoire a fait le tour d’Algérie puis du monde, un film de poupées est interdit pour «atteinte à la morale». Enquête sur le thriller de l’été.
De tous les anciens faubourgs extra muros d’Alger, Zouaoua est le quartier le plus renommé. Avec Bouzaréah, Béni Messous, Aïn Ezzebboudja, Bir El Khadem, El Qûbba et El Hamma, ils formaient sous le règne ottoman le célèbre territoire d’outane el fahs. Le lotissement de Zouaoua (*) est plus ancien que l’agglomération à laquelle il est rattaché, il constitue l’un des tout premiers noyaux initiaux où s’amorça l’urbanisation de la commune de Chéraga. Très peu d’habitants peuplaient cette contrée de la banlieue algéroise, autrefois abandonnée à une faune et une flore sauvages. Il faut souligner que le Sahel algérois comptait en ce temps-là de nombreuses tribus, rien qu’à Chéraga et ses environs elles étaient au nombre de quatre : Chéraga, Boulahouache, Zouaoua et Béni Messous.
La création du village de Chéraga remonte à l’année 1842. Pour la formation de centres de population agricoles dans le Sahel algérois, l’administration de l’occupation adopta parallèlement l’arrêté du 18 avril 1841 qui autorisait l’expropriation des terres. C’est dans cette histoire que la tribu des Chéraga perdit à tout jamais ses biens fonciers. Le bourg de Chéraga fut à l’origine peuplé en majeure partie d’agriculteurs, viticulteurs et artisans venus de la ville de Grasse, une région qui chevauche le Var et les Alpes maritimes. Les familles pionnières qui occupèrent le centre en voie de fondation étaient des gens connus pour la culture des plantes aux essences odoriférantes.
Les chiffres sont stabilisés depuis plusieurs mois à un taux inférieur à dix cas par jour, selon les données livrées par le ministère de la Santé. Effectivement, il y a eu même quelques jours de «zéro cas».