Le ministre de l’Education nationale, Mohammed Seghir Saâdaoui, a reçu, jeudi, plusieurs responsables d’organisations syndicales agréées auprès du secteur, et ce, dans le cadre de la série de rencontres visant à recueillir les observations et les propositions sur le statut particulier et le régime indemnitaire, ainsi que sur les préoccupations socioprofessionnelles des fonctionnaires, indique un communiqué du ministère.
Quatre syndicats agréés du secteur de la santé publique ont annoncé, avant- hier, leur décision de surseoir à leur préavis de grève, prévue les 17 et 18 février 2025, après les récents engagements pris par le ministre de la Santé liés à la prise en charge de leurs doléances socioprofessionnelles.
Poursuite de la série de rencontres entre le ministre de la Santé avec ses partenaires sociaux. Mardi, il était question d’écouter les revendications du Syndicat national des corps communs de la santé publique.
Poursuite ce week-end de la série de rencontres du ministère de l’Education avec les partenaires sociaux. Le ministre du secteur, Mohamed-Seghir Saadaoui, a fait le point samedi avec deux syndicats, à savoir l’Organisation nationale des employés des laboratoires de l’éducation (Onele) et le Syndicat algérien des travailleurs de l’éducation (SATE). Les deux syndicats ont transmis leurs remarques et observations, et discuté des propositions portant sur le statut particulier et le régime indemnitaire, publiés au Journal officiel du 23 janvier.
Les organisations syndicales ont exactement treize jours pour déposer les moutures finales écrites et en version numérique de leurs propositions portant modification de certains articles et mesures du statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps spécifiques de l'éducation nationale.
Le ministre de l’Education nationale a mis en place une commission spéciale sous la supervision du chef de cabinet. Elle est chargée de poursuivre les consultations avec les organisations syndicales représentatives lors des réunions périodiques et recevra leurs propositions et observations sur le statut particulier et le régime indemnitaire.
La Confédération des syndicats algériens (CSA), regroupant une multitude d’organisations syndicales de divers secteurs de la fonction publique, remet à nouveau ses revendications sur la table.
Le département de M. Saadaoui met en avant plusieurs mesures censées être bénéfiques, telles que la possibilité de demander une retraite anticipée avec une réduction de cinq années d’ancienneté, sous certaines conditions, une prime spécifique…
Refonte du système éducatif, gestion des œuvres sociales, violence en milieu scolaire, réorganisation des examens officiels (bac et BEM), statut particulier des travailleurs de l’éducation et régime indemnitaire, sont entre autres les préoccupations soulevées par les syndicats du secteur de l’éducation reçus tout à tour par le ministre de l’Education nationale, Mohamed Seghir Saâdaoui.
Un grand «ouf» de soulagement a été poussé par les syndicats du secteur de la santé suite à l’adoption de ces textes, reportés à plusieurs reprises et attendus depuis près de 15 ans…
Une première depuis la naissance de cette confédération. Des représentants de la Confédération des syndicats algériens (CSA) ont été reçus, lundi dernier, par le ministre du Travail de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Fayçal Bentaleb.
La grève à laquelle ont appelé quatre syndicats de l’éducation nationale a été timidement suivie. Les trois paliers étaient concernés par l’appel à la grève lancé par le Conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest), le Conseil des enseignants des lycées d’Algérie (CELA) et le Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest) et l’Organisation algérienne des enseignants.
Quatre syndicats du secteur de l’éducation menacent de mener une grève les 28 et 29 avril, ont-ils annoncé dans un communiqué transmis hier à notre rédaction.
Le flou qui entoure l’élaboration du statut particulier des enseignants de l’éducation nationale aggrave les appréhensions des syndicats du secteur.
Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belaabed, s’est montré rassurant, jeudi, à l’égard des syndicats, qui ont exprimé leur déception suite au report de la présentation du projet de Loi fondamentale sur les statuts et le régime indemnitaire des corps spécifiques de l’éducation nationale.
Deuxième report en deux mois ! Les projets du statut et du régime indemnitaire des travailleurs de l’éducation nationale sont renvoyés à nouveau pour enrichissement.
Des syndicats du secteur de l’éducation nationale montent au créneau pour dénoncer ce qu’ils appellent «l’opacité» dans l’élaboration du projet de statut particulier des enseignants.
Le chef de l’Etat a jugé utile, lors de la tenue d’une réunion du Conseil des ministres, fin décembre dernier, d’enrichir les projets de loi relatifs aux statuts et régimes indemnitaires des corps relevant de plusieurs secteurs, notamment celui de la santé, de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur…
Les n°1 des syndicats français CFDT et de la CGT, des responsables d’associations de lutte contre la précarité ou de défense des droits des étrangers et des universitaires ont demandé, hier, au président Emmanuel Macron le retrait du projet de loi immigration, «tache indélébile sur nos principes républicains».
Qualifiée de «Conférence humanitaire indépendante», l’initiative algérienne devant aboutir à l’élaboration d’une plainte devant la Cour pénale internationale (CPI) contre l’entité sioniste pour les crimes génocidaires commis contre les Palestiniens a drainé plus de 500 avocats, magistrats et professionnels du droit, algériens, mauritaniens, tunisiens, libyens, jordaniens, palestiniens et français. Très engagé dans cette action, Laidi Aoudeche, président du Syndicat national des magistrats (SNM), revient dans cet entretien sur la conférence, les objectifs, le rôle du SNM dans cette action, la procédure devant la CPI et les chances d’aboutissement de celle-ci.