L’adoption généralisée du captage, stockage et valorisation du dioxyde de carbone, en anglais - Carbon Capture, Utilization and Storage (CCUS) -, se heurte, selon le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF), à de nombreux défis, en dépit de la reconnaissance du rôle de cette action dans la réalisation des objectifs climatiques mondiaux.
Mustapha Berraf, président de l’Association des comités nationaux olympiques africains (ACNOA), a adressé une lettre de remerciements au président de la République, Abdelmadjid Tebboune, après la tenue du forum africain pour la préservation de l’environnement et pour la lutte contre le réchauffement climatique, tenu à Alger les 5 et 6 mars.
Alger abrite depuis hier et durant deux jours le forum africain pour la préservation de l’environnement et la lutte contre le réchauffement climatique.
L’ACNOA organise à Alger, les 05 et 06 mars 2024, le Forum africain pour la préservation de l’environnement et pour la lutte contre le réchauffement climatique. Au cours de cet important événement, l’on débattra des questions de durabilité pour le bien-être du continent africain.
C’est dans un contexte des prix très volatils, de fortes tensions géostratégiques et des nouvelles mutations énergétiques dont les impacts du réchauffement climatique renvoyant au dossier de la transition énergétique que l’Algérie s’apprête à accueillir le 7e Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement à Alger du 29 février au 2 mars prochain du Forum des pays exportateurs de gaz, représentant 70% des réserves mondiales de gaz prouvées, plus de 40% de la production commercialisée, 47% des exportations par gazoducs et plus de la moitié de la commercialisation du GNL.
L’Afghanistan, pays montagneux habitué aux très rudes hivers, n’a quasiment pas vu la neige tomber à la mi-janvier, nouveau signe du très fort impact du réchauffement climatique sur ce pays d’Asie centrale.
Marquant le premier bilan mondial qui évaluera les progrès concernant l’accord de Paris (COP 21), la COP 28 qui s’ouvrira aujourd’hui à Dubaï.
Le ministère péruvien de l'Environnement a signalé jeudi 23 novembre que le réchauffement climatique avait conduit à la fonte de 56% de la surface des glaciers péruviens au cours des 53 dernières années, entraînant la formation de nouveaux lacs.
Manipuler les nuages pour faire pleuvoir ou diminuer la grêle : sur fond de réchauffement climatique, de nombreux Etats redoublent d’intérêt pour ces techniques, au risque de créer des tensions géopolitiques.
L'Organisation météorologique mondiale (OMM) estime pour sa part qu'il y a une probabilité de 66% que la température mondiale moyenne annuelle dépasse temporairement de plus de 1,5°C les niveaux préindustriels pendant au moins une année entre 2023 et 2027.
L’Organisation météorologique mondiale (OMM) a une nouvelle fois sonné l’alarme face à un été marqué par des conditions météorologiques extrêmes dans l’hémisphère Nord, causant des dommages importants sur la santé des populations et à l’environnement, alors que des pays allant des Etats-Unis à la Chine sont en proie à une chaleur intense.
Les eaux de l’océan Atlantique Nord ont battu mercredi un record journalier de chaleur, selon des données préliminaires communiquées vendredi par l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA), dont les relevés ont commencé au début des années 1980.
Nous nous précipitons vers la catastrophe, les yeux grands ouverts, avec bien trop de gens prêts à tout miser sur des vœux pieux, des technologies qui n’ont pas fait leur preuve ou des solutions miracles.»
L'Espagne fait face à sa première vague de chaleur de l'été avec des températures qui pourraient dépasser localement les 44 degrés dans le sud du pays, selon l'agence météorologique (Aemet).
Avec le réchauffement climatique et les effets dévastateurs d’une sécheresse devenue chronique commencent à se voir les premières conséquences sur les forêts du nord du pays. On le constate chaque jour un peu plus, le phénomène du dépérissement des arbres fragilisés par le stress hydrique s’accentue et prend des proportions alarmantes. Le stress hydrique entraîne un affaiblissement des défenses naturelles des essences forestières, y compris les espèces les plus rustiques et les plus résistantes qui sont, à leur tour, touchées. Explications de ce dépérissement par les spécialistes en foresterie et les chercheurs universitaires dans le domaine.
La sécheresse historique qui frappe la Grande Corne de l’Afrique est la conjonction inédite d’un manque de pluie et de fortes températures qui n’aurait pas pu se produire sans les conséquences des émissions humaines de gaz à effet de serre, démontre une étude scientifique publiée jeudi dernier.
Alors que le mois d’avril touche à sa fin, une nouvelle vague de chaleur s’abat sur le pays. En effet, selon les prévisions de Météo Algérie, le mercure continuera de grimper, enregistrant des moyennes oscillant entre 26 et 38 °C sur les régions côtières ; entre 30 et 41 °C sur les régions intérieures du pays et entre 33 et 43 °C sur les régions sahariennes. C’est pourquoi, le ministère de la Santé a appelé, via un communiqué, a un nombre de mesures indispensables à observer, notamment de fermer les volets et les rideaux des façades des logements exposés au soleil, maintenir les fenêtres fermées tant que la température extérieure est supérieure à la température intérieure et éviter de sortir aux heures les plus chaudes, et ce, en vue de sensibiliser la population sur la hausse sensible de la température que connaît le pays.
En 2022, les glaciers suisses avaient fondu comme jamais auparavant. Un triste record qui risque de se répéter.
Crise énergétique mondiale, réduction des émissions de gaz à effet de serre et réchauffement climatique sont les éléments qui poussent les experts mondiaux à relancer le débat sur les énergies propres. La Banque mondiale (BM) et le Fonds monétaire international (FMI) appellent à tripler les investissements, estimés aujourd’hui à plus de 1300 milliards de dinars.
Le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies (ONU), Antonio Guterres, a exhorté les pays développés, grands émetteurs de gaz à effet de serre, à redoubler d’efforts pour réduire leurs émissions et à mobiliser les moyens pour accompagner les économies émergentes en vue de contenir le réchauffement climatique à 1,5 degrés.