Ibrahim Qaraly, journaliste, écrivain et poète, né en 1968 à l’est d’Alger, diplômé de la faculté de journalisme de l›université d’Alger, est l’auteur de plusieurs recueils de poésie, parmi lesquels Lahn el-kholoud (La mélodie de l’éternité) et Alfiyat al-djazair (Le millénaire d’Algérie), une épopée de mille vers célébrant l’histoire de l’Algérie.
1001 leyla… est le dernier ouvrage de Sari-Ali Hikmet. Il s’agit d’une traduction des poèmes mystiques de Cheikh Benyelles, figure du soufisme maghrébin, l’homme qui, aussi, a appelé en 1911 à la «hidjra» pour protester contre la conscription obligatoire des jeunes Algériens dans l’armée coloniale.
l Lors de mes déambulations dominicales à travers les ruelles pittoresques de Valencia, en Espagne, j’ai eu le plaisir inattendu de croiser la route d’un poète algérien en visite dans cette ville. Cette rencontre fortuite m’a offert l’opportunité d’engager une conversation libre et passionnante avec cet écrivain au sujet de son pays et de l’état actuel de la littérature qui y prospère.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Abdelghani Rahami parle avec des mots bien sentis de sa poésie. A l’occasion de la Journée mondiale de la poésie (21 mars), l’auteur de Fleurs de sagesse (Média Index) écrit un joli texte dont voici un extrait : «Belle Poésie, Bel Amour ! Transforme toi en un seul jour. Erige ton acte en orateur, Fais inspirer ton prosateur.»
La poésie de Mohamed Amokrane dénonce l’injustice, la violence, la bêtise humaine, l’ignorance et l’hypocrisie sociale, pour ne citer que ceux-là. Le poète, à ce titre, est un témoin gênant d’une société qui a tourné le dos à son histoire, ses traditions et ses valeurs…», dit Fayçal Medjahed, auteur et journaliste, à propos de Mélodie de l’espoir.
Un artiste de grand talent, Malek Bachi se fait découvrir par un public fasciné par la chanson satirique, et ce, grâce, à ses textes qui font preuve d’un humour caustique.
Samira Negrouche reste l’une des meilleures poétesses algériennes de sa génération. Dans cet entretien passionnant, elle revient sur la parution de son anthologie J’habite en mouvement, de son amour pour Alger et de sa fascination pour certains poètes contemporains qui continuent à la bercer. Elle nous donne aussi une lecture éclairée de sa vision du monde.
Mohend Larbi Moussaoui est un poète bien connu dans la région d’Adekar et ses environs. Ces récits de poésie diffusés sur sa page Facebook et sur sa chaîne Youtube ne passent pas inaudibles.
C’est un goût de l’humanisme à découvrir à travers la poésie de Mohamed Said Bensekhria. Un style sage, un amour à la paix et une belle parole douce à découvrir. Il transforme, avec sa poésie, les malheurs de la vie à des expériences. Une sincérité des mots est ressentie à travers ses textes. Il y a de tout dans son récent recueil de poésie publié chez les éditions Imtidad. Il vient après Au clair de mes nuits (éditions l'Harmattan, 2019) et Paradis des âmes perdues, (édition Edilivre, Paris -2016).
Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan, le très dynamique acteur de la scène culturelle nationale, Amirouche Malek, évoque l’anthologie poétique qu’il a publiée aux éditions Imtidad : Florilège de poésie, Asefru n tmedyezt, il précise qu’il «n’y a jamais eu une anthologie où figurent 39 poètes en trois langues : tamazight, arabe français». Organisateur acharné de plusieurs événements culturels, il série certaines difficultés qui le freinent dans ses ambitions. «Les collectivités locales et certaines structures culturelles doivent s’impliquer pour une compensation. J’avoue que si on a tenu le coup, c’est grâce aux mécènes et certains amis qui nous soutiennent. C’est la raison pour laquelle, on a décidé de suspendre certaines de nos activités jusqu’à nouvel ordre ou du moins jusqu’à ce que les conditions soient réunies», souligne-t-il.
A première vue, il n’y a aucun indice qui permette de supposer qu’Octavio Paz , Prix Nobel de Littérature 1990-dont nous célébrons, aujourd’hui, le 25 éme anniversaire de sa mort-, ait eu un quelconque lien avec l’Algérie.
Des textes qui traduisent des sentiments de chagrin et de déception.
Ammud N yissefra n Ahmed Lemseyyeh Amedyaz n at Sedqa (Recueil de poésie d’Ahmed Lemseyeh poète des Ath Sedka) est le titre d’un nouvel ouvrage bilingue (tamazight-français) que vient de publier, aux éditions Imtitad, Mohand Ouramdane Larab.
Les préférences du lectorat algérien et son rapport à la poésie était au cœur d’une rencontre organisée, mardi à Alger, à l’occasion de la Journée internationale de la poésie.
L’espace culturel Bachir Mentouri, de l’Etablissement Art et Culture, a accueilli, mercredi passé, dans le cadre des Mercredis du verbe et Mars au féminin, deux poétesses à la verve inépuisable.
Ta rose de pourpre, à ton clair soleil, O Juin, étincelle enivrée ; Penche aussi vers moi ta coupe dorée : Mon cœur à ta rose est pareil.
«La poésie nous rassemble» est le thème de cette manifestation culturelle qui a regroupé des participants venus des quatre coins du pays.