Le Fonds lance un avertissement contre la remise en cause de l’indépendance des Banques centrales et prévient contre le risque de son intensification étant donné que «la moitié de la population mondiale se rend aux urnes cette année». «Une étude du FMI portant sur plusieurs dizaines de Banques centrales sur la période comprise entre 2007 et 2021 montre que celles présentant un haut niveau d’indépendance ont mieux réussi à maîtriser les anticipations d’inflation.»
La Chine a réitéré mardi 5 mars son opposition à toute indépendance de Taïwan, territoire sur lequel Pékin revendique la souveraineté et soutenu militairement par les États-Unis.
Après trois années d’absence pour cause de Covid-19, les cadres de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et du Front Polisario retrouvent à nouveau la ville de Boumerdès pour y tenir leur université d’été. Ouverte hier, l’édition de cette année, la 11e du genre, aura lieu du 2 au 14 du mois en cours.
Des cortèges de troupes artistiques et de Scouts musulmans algériens (SMA) se sont ainsi succédé devant la tribune d’honneur installée à la rue Zighoud Youcef.
Malgré la politique de la terre brûlée adoptée par l'occupant et les crimes atroces commis contre le peuple algérien, rien n'a pu entamer la détermination des Algériens à aller de l'avant pour le recouvrement de l'indépendance et de la souveraineté nationale.
Quelque 2758 logements, toutes formules confondues, seront distribués dans la wilaya d’Aïn Defla à l’occasion de la célébration du 61e anniversaire de la fête de l’Indépendance et de la Jeunesse, le 5 juillet, a-t-on appris, jeudi, auprès des services de la wilaya.
Le dernier Salon international de l’agriculture, de l’élevage et de l’agro-industrie couplé à l’événement Afrika Food (22-25 mai 2023) a atteint l’ensemble des objectifs qu’il s’est fixés aussi bien sur le plan du dialogue international, institutionnel que professionnel, selon les professionnels de Filaha Innove.
Le Premier ministre sahraoui, Bouchraya Hamoudi Bayoune, a réaffirmé que le Front Polisario célébrait cette année le 50e anniversaire de sa création sur fond d'une reconnaissance croissante du droit légitime du peuple sahraoui à la liberté et à l'indépendance.
Avec son sourire défiant l’adversité, ses personnages marginaux mais attachants et une présence et une élégance singulières sur les planches comme à l’écran, Sid Ali Kouiret aura marqué l’âge d’or du 7e Art algérien et la mémoire collective par un parcours admirable et prolifique né dans le combat libérateur par la culture.
Ils étaient des dizaines de milliers à se presser hier vers l’esplanade du Caroubier et la Promenade des Sablettes pour assister au défilé militaire. Il y avait une formidable communion entre la marée populaire et les hommes de l’ANP qui paradaient. A plusieurs reprises, la foule scandait avec ferveur : «Djeïch-Chaâb, khawa-khawa !»
Vous avez certainement entendu parler des célèbres toiles de maîtres «Femmes d’Alger dans leur appartement», d’Eugène Delacroix (1834), et «Les Femmes d’Alger», de Pablo Picasso (1955). Mais connaissez-vous les autres «Femmes d’Alger», celles du peintre et graphiste algérien Mustapha Boutadjine ?
Sitôt l’indépendance acquise, l’Algérie se lance dans un vaste chantier de développement national pour asseoir sa souveraineté de l’indépendance économique, alors que l’Algérie était à l’époque très loin de connaître l’aisance financière, dont allait bénéficier le pays de l’augmentation des prix du baril de pétrole sur les marchés mondiaux en 1982, 1984 et depuis 2000.
L’une des séquelles du colonialisme en Algérie est cette aliénation culturelle qui perdure six décennies après la restauration de l’Etat Algérien savamment mise en place par «l’Ecole d’Alger» (1879), dont les représentants attitrés ont instauré une grille de lecture de la société algérienne axée sur l’exacerbation des différences communautaires servie par un matériau conceptuel qui résiste encore aux multiples efforts de «décolonisation».
Entre fermeture de certains axes routiers en prévision du défilé militaire de ce 5 juillet, scènes érigées sur les places publiques et forêts de drapeaux pavoisant les grandes artères et les bâtiments officiels, Alger se prépare à célébrer le 60e anniversaire de l’indépendance. Pendant ce temps, les Algérois vaquent à leur quotidien en ayant une pensée émue pour ce chiffre, «60», et en pestant contre les bouchons infernaux du défilé. Reportage.
Dans son dernier numéro, la revue El Djeich a évoqué l’«organisation du plus grand défilé militaire jamais vu dans notre pays, auquel seront conviés des invités d’honneur des pays amis et frères».
A l’occasion du 60e anniversaire de l’indépendance, un colloque international de grande envergure a eu lieu à l’Université de la Sorbonne, du 23 au 25 juin, intitulé «Algérie 1962-2022 : trajectoires d’une nation et d’une société». Organisé par l’Institut français de géopolitique (IFG), rattaché à l’Université Paris 8, ce rendez-vous académique de haut niveau a été initié par Ali Bensaad, professeur des universités spécialiste du Monde arabe et du Moyen-Orient. En attendant la publication des actes du colloque, il a accepté de répondre à nos questions sur le contexte du colloque et les thématiques qui y étaient abordées.
Le Front des forces socialistes (FFS) a appelé à l’ouverture d’un «dialogue inclusif» en vue d’engager un «véritable processus politique et démocratique de changement».
Il est des dates dans l’Histoire qui interpellent la conscience d’une Nation qui ne peuvent être occultées, ni oubliées. Le peuple algérien, qui a pu arracher son indépendance au prix de lourds sacrifices, a démontré, à travers son histoire séculaire et actuelle, la force de sa foi, de son enracinement culturel et de son attachement à son pays.
Les préparatifs de la célébration du 60e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie se sont accélérés ces tout derniers jours. Jeudi, la wilaya d’Alger a annoncé la fermeture de la rocade nord (RN11) de la capitale dans les deux sens, et ce, du 1er (hier, ndlr) au 6 juillet.
Aïssa Kadri est professeur honoraire des universités. Ancien directeur de l’Institut Maghreb-Europe, chercheur associé à l’UMR LISE-CNAM/CNRS, associé à l’ICP Paris. Au titre de ses dernières publications, avec Nicole Cohen-Addad et Tramor Quemeneur, 8 novembre 42 : résistance et débarquement américain en AFN. Dynamiques historiques, politiques et socio-culturelles aux éditions Le Croquant 2021 ; «Comparability and conditions of comparability in education. Globalization of education, economist ethnocentrism versus culturalist singularism», in Olivier Giraud et Michel Lallement, Decentring, Comparative Analysis in a Globalizing World, Leyde, Brill Academic Publishersin, 2021 ; «Algérie décennie 2010-2020. Aux fondements du mouvement social», Paris 2020.