Interrogé sur la position de son parti à propos de l’élection présidentielle, M. Yahi affirme que la question sera tranchée par le conseil national, instance suprême et souveraine du parti, et ce, après la convocation par le président de la République du corps électoral le 8 juin.
Le Front El Moustakbal présentera-t-il son propre candidat ou soutiendra-t-il une candidature consensuelle ? M. Boutbig s’est contenté d’affirmer que «le conseil national, l’instance suprême du parti auquel le congrès a confié le pouvoir décisionnel, se prononcera à ce sujet au moment opportun».
Evoquant le lancement du service digital de «Fetwa en présentiel», le ministre des Affaires religieuses a fait savoir que ce support vient consolider le dispositif déjà existant : application «e-fetwa», demandes envoyées par courrier, etc.
Intervenant au forum, l’ancien chef de gouvernement et premier PDG de Sonatrach Sid Ahmed Ghozali a affirmé : «Dites à un peuple la vérité, il pourra se tromper 100 fois mais tout seul, il reprendra le chemin, dites-lui un mensonge et c’est son esprit critique que vous aurez détruit. Donc, pour moi, le meilleur moyen d’aider le pouvoir politique, c’est d’informer.»
Annonçant la participation de son parti à la prochaine présidentielle, Abdelali Hassani Cherif a tenu à préciser que «le dernier mot reviendra au conseil consultatif (Madjlis echoura) qui tranchera sur la forme et la démarche à suivre».
Le secrétaire générale du PT estime important de «lever tous les obstacles dressés devant l’exercice politique et les libertés. Pour la liberté de la presse aussi, a-t-elle dit, il faut aller de l’avant pour libérer la parole en premier lieu dans les médias publics en vue d’aider les titres privés à se libérer de cette peur qui pèse sur eux».
Les représentants de l’Afrique du Sud, de Cuba, du Yémen, du Venezuela, de la Namibie et du Zimbabwe ont fait front, hier, autour de l’ambassadeur de l’Etat de Palestine à Alger, Fayez Abou Aïta, au Forum d’El Moudjahid, pour exprimer avec force leur soutien au peuple palestinien, tout en saluant avec ferveur l’action sud-africaine devant la CIJ.
Le SG de l’UGTA estime que pour «regagner la confiance des travailleurs, il faut du travail et de la pédagogie, il faut reprendre les espaces de concertation et de dialogue, de rassemblement et de réunion…»
Le 1er janvier 1965, les commandos d’Al Assifa (La tempête), le bras armé du mouvement Fatah, lance les premières opérations de guérilla contre les forces d’occupation sionistes. C’est le début de la Révolution palestinienne. «La naissance du mouvement remonte à 1958 à l’initiative d’un groupe de jeunes Palestiniens qui avaient pris part à des actions de fidayîn dans la Bande de Ghaza en 1953 et ont participé aussi à la riposte contre l’agression tripartite contre l’Egypte en 1956.
La salle du forum d’El Moudjahid, au 20 rue de la Liberté, était pleine à craquer ce mercredi. Une assistance nombreuse en effet a fait le déplacement pour assister à une rencontre en hommage à Hocine Aït Ahmed, le militant au long cours qui nous a quittés le 23 décembre 2015 à Lausanne, à l’âge de 89 ans.