Coup de tonnerre à Accra ( Ghana ), à quelques heures de l’ouverture des Jeux africains qu’accueille le pays des Black-Stars depuis hier.
L'Abbaye de Westminster a donné son accord de principe pour la restitution à l'Église orthodoxe éthiopienne d'un tabot, une tablette religieuse sacrée qui avait été pillée lors de la bataille de Magdala au XIXe siècle.
Le sommet des dirigeants des pays membres de l’Union africaine (UA) a débuté hier à Addis-Abeba, en Ethiopie. Il intervient alors que le continent est secoué par des coups d’Etat, conflits et crises politiques. Un continent devenu entre-temps un autre terrain de confrontation des grandes puissances.
Des centaines de personnes ont manifesté hier dans la capitale somalienne Mogadiscio pour dénoncer un accord entre la région séparatiste du Somaliland et l’Ethiopie, offrant à cette dernière un accès à la mer, rapporte l’AFP.
La filiale de la Banque mondiale pour le secteur privé, International Finance Corporation (IFC), et l’Autorité éthiopienne des marchés financiers (ECMA) ont annoncé, dans un communiqué, le lancement d’un programme visant à soutenir la croissance des marchés nationaux de capitaux en Éthiopie et à accroître l’accès à des financements en monnaie locale dans le pays.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) de l’ONU a annoncé hier une reprise partielle de ses distributions d’aide alimentaire en Ethiopie, suspendues depuis plusieurs mois, à seule destination des quelque 900 000 réfugiés hébergés dans des camps.
Le 10 septembre dernier, le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne a connu sa quatrième et dernière phase de remplissage et devient donc un fait accompli qui met les autorités égyptiennes face à des réalités redoutées depuis plus de 12 années.
L’Ethiopie a annoncé hier avoir entamé une deuxième série de négociations avec l’Egypte et le Soudan au sujet du méga-barrage controversé construit par Addis- Abeba sur le Nil, rapporte l’AFP. Projet qui a alimenté des tensions depuis plus d’une décennie entre les trois pays.
Les affrontements armés ont pris une ampleur «nationale» en Ethiopie où de graves violations des droits humains ont continué d’être commises, après l’accord de paix dans le nord du pays, a prévenu, hier, un groupe d’experts de l’ONU, dans un rapport cité par l’AFP.
L’Egypte considère ce mégabarrage comme une menace existentielle, car elle dépend du Nil pour 97% de ses besoins en eau et irrigue 60% de ses terres agricoles, un secteur qui emploie 31% de sa main-d’œuvre. En trente ans, les précipitations ont chuté de 22% dans le pays, selon la Banque mondiale.
La Commission éthiopienne des droits de l’homme (EHRC), institution publique statutairement indépendante, a affirmé avoir reçu des plaintes pour violations des droits humains «avant et après la déclaration de l’état d’urgence».
La monarchie britannique a rejeté la demande d’Ethiopiens voulant récupérer les restes de leur ancêtre, un prince mort en Angleterre en 1879 après avoir été capturé enfant en Ethiopie par l’armée britannique et enterré au château de Windsor. Le prince Alemayehu est mort, selon les historiens, à 18 ans à Leeds (nord de l’Angleterre), d’une pneumonie.
Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a annoncé dimanche soir l’ouverture aujourd’hui de négociations de paix avec l’OLA, groupe rebelle actif dans la région de l’Oromia, la plus vaste et peuplée du pays, qui enserre la capitale Addis Abeba.
Le ministre éthiopien des Mines et du Pétrole, Takele Uma, a signé un accord avec la société d’exploration de pétrole et de gaz Netherland, Sewell & Associates (NSAI) pour évaluer le potentiel du pays est-africain en hydrocarbures.
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra est arrivé mardi 1er février à Addis-Abeba (Ethiopie) pour participer aux travaux de la 40e session ordinaire du Conseil exécutif de l'Union africaine (UA), regroupant les ministres des Affaires étrangères des pays membres, a indiqué un communiqué du ministère.