Le monde contemporain se trouve ainsi à un carrefour géopolitique majeur, où les modèles économiques classiques, largement dominés par le libre-échange et la mondialisation libérale, sont mis à l’épreuve par des logiques souverainistes et protectionnistes. Bien que la politique économique de l’administration Trump incarne cette tendance, elle n’en est pas la seule porteuse.
l A la veille du 80e anniversaire des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, une telle reconnaissance s’impose d’autant plus qu’on ne peut laisser les extrêmes-droites et les droites de gouvernement radicalisées poursuivre inlassablement et sans opposition véritable leur campagne politique et culturelle destinée à réhabiliter le criminel passé colonial de la France.
Très attendue des deux côtés, cette visite fait suite à une série de démarches qui ont commencé par la déclaration de Lisbonne du président E. Macron.
Alors que les rapports de force mondiaux se recomposent et que les technologies redéfinissent les contours du pouvoir, la souveraineté des Etats, loin d’être garantie, devient un terrain de contestation permanent. Ce texte explore les effets profonds d’une «inéligibilité à la souveraineté» sur les pays africains, entre héritages de dépendance et nouvelles formes de subordination. Il interroge leur capacité à façonner une autonomie réelle dans un environnement international de plus en plus contraint.
L'établissement de rapports interétatiques entre l'Algérie et la France est le principal but de guerre du FLN. Dès le 1er Novembre 1954, sa proclamation dite «Proclamation de Novembre» définissait en formulant ses conditions de paix :
En ce mois de Ramadhan, un mois béni par excellence, nous revisitons à travers cet article un sujet fondamental déjà évoqué : celui de l’inspiration.
Les enfumades, les chambres à gaz et la torture, innovées par l’armée française durant la Guerre de Libération. Les enfumades et le gaz Comme pour venger leurs échecs, les généraux français n’épargnent rien. C’est ainsi que, dans le Dahra insurgé en juin 1945, périt la tribu des Ouled Riah, emmurée dans une grotte par un feu entretenu toute la nuit au niveau des accès. Femmes, enfants, vieillards, qui espéraient s’y réfugier, hommes et bêtes moururent asphyxiés. Dehors, le général Pélissier et ses hommes alimentaient le feu, insensibles aux cris, aux gémissements et à l’agonie des hommes, des femmes et des enfants.
La découverte dans la commune de Chigara, wilaya de Mila, il y a quelques jours d’un chahid avec tous ses effets était prévue et peut se répéter dans l’avenir. Le chahid a été découvert dans une grotte, Kef Bouachra, enclavée dans une montagne au relief très escarpé et éloignée d’une vingtaine de kilomètres du siège de la commune.
L’économie algérienne connaît une reprise de la croissance notable à travers tous les secteurs d’activités. Cette reprise est soutenue par un effort d’investissement public et privé et accompagné d’une libéralisation des initiatives de création de la valeur et de l’emploi à tous les niveaux. Pour être durable, cette croissance obtenue nécessite un financement adapté, à moyen et long termes, à travers un marché financier en plus du marché bancaire à court et moyen termes.
La transition vers une économie circulaire apparaît comme une nécessité et non pas une option permettant de renforcer l’économie algérienne en optimisant son utilisation des ressources, sachant que l’économie circulaire est un système de production, d’échanges et de partage permettant le progrès social, la préservation du capital naturel et du développement économiqu
L’Algérie est confrontée à un défi environnemental de grande ampleur en raison de l’utilisation généralisée des sacs en plastique. Avec une consommation annuelle estimée à plus de 34 milliards d’unités, le pays figure parmi les plus grands consommateurs de plastique.
Les nouvelles stations de dessalement d’eau de mer, inaugurées par le Président de la République, constituent une avancée décisive pour la gestion des ressources hydriques en Algérie.
Le dernier sommet de l’Union africaine a donné mandat à la Commission de l’UA de documenter les crimes coloniaux, mesurer leurs impacts et élaborer une stratégie de réparations. Il appelle à engager des «actions en justice» devant les tribunaux internationaux (ex. Cour pénale internationale) et à exercer des pressions diplomatiques en vue de satisfaire ces demandes.
Depuis son investiture le 20 janvier dernier, le président américain Donald Trump a multiplié les menaces et les déclarations hostiles à l’encontre de nombreux pays, alliés comme adversaires. Mêlant menaces d’imposition de droits de douane et d’annexion de territoires souverains, ces déclarations s’inscrivent dans ce que l’on appelle communément la «stratégie du fou».
Il s’agit d’un tournant historique et opportun pour libérer l’économie nationale du joug colonial qui a continué après l’indépendance de profiter des richesses pétrolières et gazières algériennes. Depuis, l’Algérie n’a pas hésité sur les moyens pour approvisionner constamment le marché européen sans aucune considération à part celle commerciale.
Après avoir connu initialement un engouement considérable en tant, notamment, que source d’énergie très propre, dépourvue de gaz à effet de serre (GES) et susceptible de remplacer progressivement le gaz naturel, l’intérêt suscité par l’hydrogène vert (H2 vert) ne cesse de s’estomper.
Une étude secrète datant de 1995, initiée par le Strategic Command, responsable de l’arsenal nucléaire stratégique des Etats-Unis, recommandait à certains membres du gouvernement fédéral de donner d’eux-mêmes, une image de gens irrationnels «apparaissant comme potentiellement fous, impossibles à contrôler pour contribuer à créer ou à renforcer les craintes et les appréhensions dans l’esprit de nos adversaires».
J’ai l’insigne honneur de vous transmettre cette lettre par voie de presse afin d’attirer votre attention sur certains dysfonctionnements de notre système scolaire.
Il y a 54 ans, jour pour jour, dans un discours prononcé devant les cadres et dirigeants de l’UGTA, le défunt Président Houari Boumediène annonçait la nationalisation des hydrocarbures à travers la fameuse phrase «Nous avons décidé ce jour». La nouvelle allait tomber comme une bombe sur les télescripteurs des multinationales et des différentes rédactions étrangères.
Ce n’est pas «la démocratie. Ce n’est pas une personne, un vote. Ce n’est pas ce que ce pays est censé représenter», a déploré Sanders, et paraphrasant le Président Abraham Lincoln qui avait parlé d’un «gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple», il en tire la conclusion que «aujourd’hui, nous avons un gouvernement de la classe des milliardaires, par la classe des milliardaires, pour la classe des milliardaires».