La nette baisse du pétrole était au centre des attentions hier sur les marchés. Alors que Londres et les principales places boursières asiatiques sont fermées pour un jour férié, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) a annoncé accélérer la production d’or noir en juin, malgré la surabondance de l’offre.
En dépit d’un léger rebond, dans le sillage d’informations sur de possibles négociations commerciales entre la Chine et les Etats-Unis, les prix du pétrole étaient en voie de clôturer hier une nouvelle semaine de baisse, la plus forte chute hebdomadaire en un mois.
La banque américaine décrit un scénario dans lequel l’Iran serait confronté à des perturbations persistantes de l’approvisionnement, tandis que la Russie subirait des revers temporaires.
Les prix du pétrole ont légèrement augmenté en ce début de semaine de cotation, suite à l’annonce par la Chine d’une croissance de ses exportations et importations. L’échec des négociations autour d’un cessez-le-feu en Palestine occupée a également influencé les échanges de l’or noir.
Les cours du pétrole ont jailli, vendredi, pour porter le prix du baril de West Texas Intermediate (WTI) américain au-delà de 80 dollars, une première depuis novembre, sur un marché repartit à l'achat avec le début d'un nouveau mois.
Les prix du pétrole restaient stables, hier, en cours de cotation, dans un marché marqué par un faible volume des échanges, en raison de la fermeture de certains marchés et des vacances de fin d’année.
Les prix du pétrole flanchaient hier à l’approche de la décision de politique monétaire de la Fed, les investisseurs craignant qu’une éventuelle hausse de taux d’intérêt pèse sur l’activité économique et donc la demande de brut.
Les prix du pétrole Brent ont dépassé les 91 dollars le baril hier, après avoir totalisé à la fermeture de la semaine de cotation vendredi un gain de 6%, dans un contexte de tensions en Palestine et d’agressions israéliennes contre la bande de Ghaza.
Les prix du Brent hésitaient, hier lundi, entre hausse et baisse, le marché se tenant à l’affût de potentielles annonces de l’Arabie Saoudite et de la Russie sur des prolongations de leurs réductions de production et d’exportation de pétrole.
Les prix du pétrole sont restés stables hier, largement au dessus de 80 dollars pour le Brent, dans le sillage des espoirs de relance chinoise et du resserrement de l’offre suite à la mise en œuvre de la stratégie de l‘Opep+, et des réductions volontaires importantes de plusieurs pays producteurs dont notamment l’Arabie saoudite et la Russie.
Les prix du pétrole étaient en petite baisse hier, dans un contexte d’inquiétude quant au ralentissement de l’économie mondiale, même si les approvisionnements en or noir restent surveillés de près dans un marché tendu. Le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, perdait 0,76% à 110,78 dollars.
Les prix du pétrole flanchaient hier avec la perspective d’une demande limitée en Chine, premier importateur mondial de brut, où le gouvernement lutte contre une reprise de la pandémie de Covid-19.
Les prix du pétrole se reprenaient hier, après avoir perdu plus de 5% la veille, les craintes concernant l’offre en or noir reprenant le dessus sur le marché, les facteurs de perturbations de l’approvisionnement s’additionnant.
Les prix du pétrole ont terminé la semaine de cotation en hausse, affichant leur premier gain hebdomadaire depuis fin mars, dans le sillage d’informations relatives à l’éventuel arrêt progressif par l’Union européenne (UE) des importations de pétrole russe.
Les prix du pétrole étaient en baisse lundi 11 avril, lestés par un confinement en Chine qui menace la demande en or noir et la crise ukrainienne.
Les prix du pétrole se reprenaient hier, après les pertes de la veille, pris en tenailles entre la libération de réserves stratégiques des pays consommateurs, la baisse de l’offre russe et l’effritement de la demande venant de Chine. Dans la matinée, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin prenait 1,00% à 101,59 dollars.
Les prix du pétrole poursuivaient leur hausse mardi 5 avril, alors que l'Union européenne discute de nouvelles sanctions contre Moscou.
Les prix du pétrole poursuivaient leur hausse mardi 5 avril, alors que l'Union européenne discute de nouvelles sanctions contre Moscou.
Les prix du pétrole baissaient légèrement lundi 4 avril, impacté notamment par le recours aux réserves stratégiques d'or noir.
Les prix du pétrole ont augmenté, lundi 21 mars, le Brent et le WTI montant autour de 3% dans le contexte de tensions sur l'offre.