Une nouvelle loi régissant le secteur des assurances sera fin prête au cours de cette année, a expliqué le ministre des Finances, Laaziz Faid, dans un entretien accordé récemment à la revue asiatique spécialisée dans les assurances, Asia Insurance Review.
La Cellule de traitement du renseignement financier (CTRF) a saisi les établissements financiers, banques et compagnies d’assurances, en vue de se conformer aux textes liés à la lutte contre le blanchiment d’argent et le terrorisme. Le GAFI a émis quelques observations à l’issue de sa visite en Algérie l’été 2023.
La compagnie d’assurance publique El Djazaïr General Takaful vient d’ouvrir sa première agence commerciale dans la wilaya de Blida.
L’Organisation des Assurances africaines, présidé par le Directeur général de la Caisse nationale de mutualité agricole, CNMA, a signé une convention de partenariat avec l’Union générale arabe des assurances.
La dernière note de conjoncture du Conseil national des assurances (CNA) pour l’exercice de 2023 a fait ressortir la bonne santé financière du secteur, mais qui ne profite paradoxalement pas aux assurés.
L’avant-projet de loi relative aux assurances a été examiné hier en réunion du gouvernement, présidée par le Premier ministre, Nadir Larbaoui.
Dans le cadre de la relance du marché automobile en Algérie, Alliance Assurances a signé, mercredi 6 décembre 2023, à Blida, une convention d’assurances avec le Groupe HALIL Automobile, représentant et distributeur exclusif de la marque allemande Opel en Algérie, filiale du groupe Stellantis.
En ces temps de stress hydrique, la question relative à l’assurance contre les calamités agricoles continue à faire débat. Entre les attentes des agriculteurs, les pertes enregistrées dans les filières stratégiques, les mesures mises en œuvre par le gouvernement pour atténuer une telle situation et les dispositifs en attente de lancement, le dossier revêt une importance cruciale.
L’importance des assurances contre les risques en milieu industriel, dont les conséquences peuvent mener à l’arrêt des activités des entreprises, sans compter leurs effets financiers et la difficulté de reprendre la production, a été mise en évidence, hier, lors d’un séminaire organisé par la compagnie Cash Assurances à l’hôtel Marriott de Constantine, au profit des chefs d’entreprise de la région est du pays, avec pour thème «L’assurance, outil de la gestion des risques».
A la faveur d’un projet de loi en préparation, le gouvernement compte faire aboutir cette réforme qui rassemble dans un texte de loi les différents aspects régissant l’activité, à savoir les contrats d’assurance, les assurances obligatoires, l’assurance Takaful, l’assurance-crédit à l’exportation, l’organisation et contrôle de l’activité.
Les pouvoirs publics sont en phase de finaliser un nouveau projet de loi sur les assurances qui sera soumis aux deux Chambres du Parlement avant la fin 2023. L’objectif est d’accroître l’attractivité du secteur des assurances en Algérie. Selon le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, le secteur des assurances en Algérie a connu plusieurs réformes qui ont favorisé l’ouverture du marché à de nouvelles sociétés privées et étrangères. Le nombre de sociétés étant passé de 6 sociétés publiques en 1995 à 25 sociétés actuellement, à capital public, privé, étranger ou mixte. Quel est, aujourd’hui, l’état du courtage en assurance en Algérie ? Quelle place pour le courtier local dans ce nouveau projet de loi sur les assurances ? A-t-on prévu le développement du secteur à l’international ? A ces questions et à d’autres, Djamel Abbaci, expert en assurance, a bien voulu nous répondre.
La compagnie mise dans le cadre de son «Plan stratégique 2020-2024» sur la modernisation des produits d’assurances agricoles, la mise en place et la création du crédit mutuel rural, en plus de la proposition de la couverture sociale de l’agriculteur, l’éleveur et le pêcheur, ainsi que sur la digitalisation, notamment le développement du système d’information de la compagnie.
Boudée en temps normal, l’assurance revient dans les discussions à chaque calamité naturelle. Si elle est obligatoire pour certaines activités, ce n’est le cas de l’agriculture et ses filières. Dans la wilaya de Boumerdès, seulement 7 ou 8% des agriculteurs ont assuré leurs exploitations, leur cheptel ou leurs ruchers.
Alors que cette assurance agricole ne représente que 1,1% du marché des assurances dommages, sa part a encore baissé avec moins de 12,2% durant le 1er trimestre 2023, comparativement à la même période de l’exercice 2022.
Le nouveau projet viendrait renforcer le processus de digitalisation des compagnies d’assurances, de manière à améliorer la place du secteur à l’échelle africaine, où les défis à relever sont importants.
Après le début de déploiement des banques algériennes en Afrique via, notamment, le lancement de succursales en Mauritanie et au Sénégal, les compagnies d’assurances sont appelées à se préparer à cette ouverture sur le marché africain pour accompagner les investisseurs.
Le bilan de l’exercice 2022 a été un succès pour la compagnie Cash Assurances, qui a réalisé un chiffre d’affaires record de près de 19 milliards de dinars. Ce résultat est en progression de 17% par rapport à 2021, alors que le marché national des assurances n’a évolué que de 5% en 2022, indique, dans un entretien accordé à l’APS, Widad Belhouchet, PDG de la compagnie d’assurances.
Les compagnies d’assurance s’attendent à ce que le marché automobile algérien réceptionne au cours de l’année 2023 l’équivalent de 80 000 véhicules entre importés, fabriqués localement et utilisés moins de 3 ans, ce qui relancera le chiffre d’affaires du secteur de l’assurance de 15 %, car les entreprises de ce secteur ont perdu entre plus de 450 milliards entre 2019 et 2022.
Une convention d’assurance en vigueur jusqu’en 2026 a été signée entre la Société nationale d’assurance (SAA) et l’Union nationale des ordres des avocats (UNOA), selon un communiqué de la compagnie d’assurance.
La Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) a annoncé, hier, dans un communiqué, l'augmentation de son capital social de 45%, passant de 5,5 à 8 milliards de dinars. Cette décision a été prise jeudi dernier, lors de l'Assemblée générale extraordinaire de la CNMA, conformément aux perspectives de développement et aux objectifs ambitieux fixés dans son plan stratégique 2020-2024, selon le communiqué.