Grande solidarité à l’occasion du Ramadhan De nombreuses familles nécessiteuses comptent sur l’aide de l’Etat et autres associations pour obtenir le couffin du Ramadhan. Ainsi, en prévision de ce mois sacré, la wilaya a alloué 81 milliards de centimes aux 32 communes que compte la wilaya de Mostaganem. Cette enveloppe couvrira les besoins de 80000 familles défavorisées. Dans le même registre, quelques 27 demandes d’autorisation d’ouverture de restaurants de solidarité ont été déposées par des bienfaiteurs auprès des services de la direction de l’action sociale. Pour la réussite de cette importante opération, le wali Aissa Boulahyia a insisté sur l’hygiène des lieux et la qualité des repas servis aux voyageurs de passage, les sans abris et aux nécessiteux. Des équipes seront mobilisées de jour comme de nuit pour effectuer des contrôles, a-t-on appris.
La wilaya de Naâma abritera la 3e édition du Festival culturel national de la musique et chants féminins à partir d’aujourd’hui sous le slogan «Genres différents et identité unique», a-t-on appris lundi des organisateurs.
Le phénomène de la magie et du charlatanisme ne cesse de prendre des dimensions alarmantes et inquiétantes dans la société avec tout ce que cela peut entraîner comme désagréments et peines aux personnes, notamment aux franges vulnérables.
Les communes de la wilaya de Mostaganem enregistreront aujourd’hui une perturbation en alimentation en eau potable à cause des travaux de maintenance, a indiqué hier un communiqué de l’unité de wilaya de l’Algérienne des eaux (ADE).
La wilaya d’El Bayadh a enregistré une production de plus de 17 000 quintaux d’olives, dans le cadre de la campagne de cueillette qui a pris fin récemment, a-t-on appris auprès de la direction des services agricoles (DSA).
Le coup d’envoi de la 4e édition du Salon national des jeunes artistes plasticiennes a été donné hier à la maison de la culture Abdelkader Alloula de Tlemcen, en présence d’un nombre important d’artistes locaux et d’hommes de culture.
Depuis mercredi et jusqu’à demain, 65 jeunes (garçons et filles ) bénéficient d’une formation aux métiers du théâtre dans le cadre de la convention conclue entre la Maison de la culture de Chlef et le commissariat du Festival national du théâtre amateur de Mostaganem.
L’organisme national du CTC de Chlef a accumulé une solide expérience et une grande expertise dans le contrôle technique des constructions depuis le violent tremblement de terre qui avait frappé la ville de Chlef et ses environs le 10 octobre 1980. Il constitue indéniablement un intervenant incontournable et primordial dans la chaîne de réalisation de nouveaux projets publics, en ce sens qu’il est chargé de veiller scrupuleusement à la conformité des constructions conformément aux normes parasismiques en vigueur, comme prescrites pour la région de Chlef classée zone de forte sismicité, niveau 3. En tout cas, pour parler de tout cela, nous avons donné la parole au directeur de l’agence du CTC de Chlef, Djilali Larbaoui, qui a bien voulu répondre à nos questions.
Alors que le barrage de Sidi Yacoub et la conduite principale sont juste à côté, la plaine agricole de Sendjas et de Harchoune, au sud de Chlef, sur la route menant à l’Ouarsenis, reste toujours privée d’un projet d’irrigation, en dépit de la demande sans cesse renouvelée par les fellahs de la région.
La direction de l’action sociale et de la solidarité (DAS) de la wilaya de Chlef vient de lancer au profit des bienfaiteurs de la région, le dispositif réglementaire d’ouverture de restaurants El Rahma, à l’occasion du mois sacré de ramadan 2023.
Face à une demande sans cesse exponentielle, le marché de l’emploi se rétrécit au fil des années à Béchar.
La deuxième session de formation, organisée par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, s’est ouverte hier, à l’Institut national spécialisé dans l’artisanat traditionnel, l’hôtellerie et le tourisme, au profit des présidents d’APC des 53 communes de la wilaya, autour du thème principal sur l’urbanisation et l’échelle de planification.
Va-t-on enfin en finir avec les passages à niveau disséminés le long de la voie ferrée Alger-Oran traversant les zones urbaines de la région de Chlef, allant de la limite avec la wilaya d’Ain Defla jusqu’à celle avec Relizane ?
L’université Tahri Mohamed de Béchar a abrité jeudi une rencontre marquant la commémoration du 47e anniversaire de la proclamation de la création de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) en février 1976.
Les éléments de la brigade de Merja Sidi Abed, une circonscription administrative relevant de la daïra de Oued R’hiou, à l’est de Relizane, ont, à la faveur d’un barrage de routine dressé sur la RN4 au lieu-dit Slatna, mis la main sur un trafic de tabac à chiquer, lit-on sur le communiqué rendu public par la cellule de communication de l’institution.
Créé il y a près d’une dizaine d’années pour être un pôle industriel national par excellence, le parc industriel de Sidi Khettab, une immense étendue sise quelque 20 bornes au nord du chef-lieu de Relizane, patauge toujours dans ses difficultés.
Le nouveau tramway de Mostaganem est désormais en marche à la grande joie de la population locale, mais derrière cette belle réalisation d’envergure, il y a ce qu’on appelle les bâtisseurs de l’ombre, notamment le groupe algérien Cosider.
Les 68 travailleurs de l’Office national de développement de l’élevage équin et camelin en Algérie, dont le siège se trouve à Tiaret, sont sur le qui-vive et viennent de lancer, à l’aune de la visite du ministre de l’agriculture, qu’on annonce imminente, un ultime SOS pour situer la donne, assainir les rapports et entrouvrir des perspectives qui ne passent que par une nouvelle politique claire à destination du monde équin sur lequel gravitent beaucoup d’autres entités.
Hier, la liaison ferroviaire entre Béchar-Oran a été perturbée au niveau de la localité de Béni Ounif. Le trajet entre l’agglomération du Sud et Oran a été suspendu et les usagers désappointés.
Maamar Addad est expert en aménagement du territoire, il a été directeur de l’Agence nationale d’aménagement du territoire (ANAT) de Chlef de 1981 à 2008. Il était donc au cœur de la reconstruction de la ville après le violent tremblement de terre du 10 octobre 1980. C’est pourquoi, nous l’avons sollicité pour nous donner un éclairage sur des questions liées à la prévention et la réduction des risques sismiques dans les régions exposées à ce phénomène naturel.