Washington «ne se détournerait pas» du Moyen-Orient en laissant «un vide que pourraient remplir la Chine, la Russie ou l’Iran». C’est ce qu’a déclaré hier le président américain, Joe Biden, dans un discours prononcé à Jeddah (ouest) en Arabie Saoudite, lors d’un sommet réunissant les six membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG), à savoir l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis, Qatar, Oman, Koweït, Bahreïn.
Un tour des quartiers du Grand Tunis te met dans l’évidence du rejet systématique de la population du système politique installé après la chute de Ben Ali, en 2011.
Le président américain, Joe Biden, a quitté hier Israël pour l’Arabie Saoudite à bord d’un vol direct Tel-Aviv – Jeddah, le premier du genre entre les deux pays.
Le Sahel compte près de 5 millions de personnes ayant fui leur foyer, et la vague grossit en raison des attaques terroristes mais aussi des conflits communautaires, situation aggravée par le sous-développement et le réchauffement climatique, s'alarme le chef du HCR.
Un dissident saoudien résidant au Liban a été tué et deux de ses frères suspectés du crime ont été arrêtés, ont indiqué hier la police et une source de sécurité libanaises, citées par l’AFP.
Une cinquantaine de militaires ivoiriens arrivés dimanche à l’aéroport de Bamako par un vol spécial étaient toujours «retenus pour vérification» hier, par les autorités maliennes, selon l’AFP citant des sources concordantes.
Dans la nuit de vendredi à samedi, le président Saïed a fait publier une version amendée de son projet de nouvelle Constitution, qui doit être soumis à un référendum le 25 juillet, mais le texte continue d’accorder de larges pouvoirs au chef de l’Etat.
46 modifications introduites au projet de la Constitution tunisienne du 30 juin; précisions et corrections sans toucher au fond ; le président Saïed attaché à un régime présidentiel fort, ne permettant même pas le moindre contrôle de son pouvoir.
Des milliers de femmes, d’hommes et d’enfants se ruent dans l’imposante demeure. Certains font la queue pour s’asseoir sur la chaise du président Gotabaya Rajapaksa à l’étape supérieur, pendant qu’au rez-de-chaussée, des enfants – et leurs parents – tapent à qui mieux mieux sur les touches d’un piano à queue.
Le Japon était sous le choc samedi, au lendemain de l’assassinat par balles de son ancien Premier ministre, Shinzo Abe, pendant un meeting électoral à Nara, dans l’ouest du pays, où la police a reconnu des failles «indéniables» dans la sécurité.
Deux jours après l’annonce de la démission de Boris Johnson, neuf députés conservateurs sont désormais lancés pour lui succéder. Dernière à se lancer hier matin : la secrétaire d’Etat au Commerce international, Penny Mordaunt, 49 ans. Cette ancienne réserviste de la marine, qui a été la première femme à occuper le poste de ministre de la Défense en 2019, a insisté sur la nécessité que le débat public «tourne un peu moins autour du leader», pour se concentrer sur le «navire».
Quelque 1500 pompiers tentaient hier de venir à bout de trois feux de forêt et de broussailles faisant rage depuis plusieurs jours dans le centre et le nord du Portugal, placé par le gouvernement en «état de contingence» en raison des températures caniculaires.
Le président tunisien, Kaïs Saïed, a défendu hier son projet de Constitution controversé face aux accusations de dérive autoritaire, après avoir été désavoué par le juriste à qui il en a confié la rédaction.
Le Front Polisario a fait état hier de l’interdiction par l’occupant marocain à l’envoyé personnel du secrétaire général de l’Onu pour le Sahara occidental, Staffan de Mistura, d’effectuer sa première visite dans les territoires sahraouis occupés.
L’émissaire des Nations unies pour le Sahara occidental, Staffan de Mistura, était à Rabat hier pour rencontrer des responsables marocains, mais a renoncé à une visite prévue dans le territoire disputé, a indiqué l’ONU, selon des propos recueillis par l’AFP. «L’envoyé personnel du secrétaire général pour le Sahara occidental se trouve à Rabat afin de rencontrer des officiels marocains», a déclaré à New York le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric. «Il a décidé de ne pas procéder à une visite au Sahara occidental pendant son voyage, mais il espère le faire lors de prochaines visites dans la région», a-t-il ajouté.
Des manifestants se sont de nouveau rassemblés à Tripoli dans la nuit de dimanche à hier pour protester contre la détérioration des conditions de vie en Libye, symbolisée par des coupures chroniques d’électricité, rapporte l’AFP. Des rassemblements épars ont eu lieu dans plusieurs quartiers de la capitale.
Décidées à durcir leur bras de fer avec les généraux qui tiennent désormais seuls le pouvoir et dominent de longue date l’économie, les Forces pour la liberté et le changement (FLC), colonne vertébrale du gouvernement civil limogé lors du putsch, ont appelé à «une coordination unifiée» des sit-in et des manifestations «partout au Soudan».
Au moins 27 personnes ont été tuées ce week-end au Burkina Faso, lors de deux attaques distinctes de djihadistes présumés, qui ont visé des civils dans le nord et le nord-ouest du pays, ont indiqué hier des sources sécuritaire et locale, relayées par l’AFP.
La journaliste américano-palestinienne Shireen Abu Akleh, tuée le 11 mai en Cisjordanie occupée, a «vraisemblablement» été victime d’un tir depuis une position israélienne, les experts américains n’ayant «aucune raison» de croire qu’il s’agissait d’un tir intentionnel.
Le Président a immédiatement signé un décret convoquant un référendum pour le 4 septembre. En cas de rejet, la Loi fondamentale actuelle, datant de l’époque de la dictature d’Augusto Pinochet (1973-1990), restera en vigueur.