Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a proposé au Conseil de sécurité que l'ex-ministre algérien des Affaires étrangères Sabri Boukadoum devienne le nouvel émissaire de l'Organisation pour la Libye, mais les Emirats arabes unis ont bloqué sa nomination, selon des diplomates.
A l’initiative de l’Onu, était prévue hier une rencontre à Genève entre le président de la Chambre des représentants libyenne, Aguila Saleh, et le président du Haut Conseil d’Etat, Khaled Al Mechri, pour discuter du projet de cadre constitutionnel pour les élections.
Pour étouffer le scandale qui a coûté la vie à 27 migrants subsahariens aux portes de Melilla, les autorités marocaines se sont empressées d’enterrer 21 corps en catimini.
Le Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH) a réclamé hier l’ouverture d’une enquête indépendante suite au drame survenu vendredi au poste-frontière de Melilla, lorsque 23 migrants d’origine africaine ont été brutalement tués par la police marocaine, qui les a empêchés d’entrer dans l’enclave espagnole.
Même en période de pandémie, les migrations internationales sont restées omniprésentes.
Douze associations et mouvements de défense des droits humains, marocains et européens, ont publié un communiqué commun pour dénoncer l’accord entre l’Espagne et le Maroc sur l’immigration et réclament une enquête approfondie et indépendante pour identifier les responsables de la mort tragique de 27 migrants subsahariens et deux gendarmes marocains aux portes de Melilla.
Plusieurs voix ont exprimé leur indignation face au drame survenu vendredi, quand 23 migrants d’origine africaine sont morts en tentant d’entrer dans l’enclave espagnole de Melilla, dénoncé l’usage «disproportionné» de la force par la police marocaine et réclamé une enquête sur cette tragédie migratoire.
Avec le conflit en Ukraine, sur le flanc oriental de l’Alliance, Madrid aura du mal à convaincre ses partenaires de l’importance de ce flanc sud.
Les pays du G7 comptent serrer encore l’étau économique autour de la Russie, en réfléchissant à un «mécanisme pour plafonner au niveau mondial le prix du pétrole russe», selon la Maison-Blanche.
Le Soudan a indiqué hier son intention de rappeler son ambassadeur à Addis-Abeba, accusant l’armée éthiopienne d’avoir «exécuté» sept de ses soldats et un civil faits prisonniers, rapporte l’AFP.
Des diplomates des Etats-Unis, d’Israël et de quatre pays arabes ont convenu, hier à Manama, de renforcer la coopération multilatérale et de tenir une réunion ministérielle annuelle, rapporte l’AFP.
J’aurais aimé être parmi les morts»: déjà victimes de bombardements pakistanais il y a deux mois, des habitants de l’est de l’Afghanistan vivent un nouveau cauchemar après avoir été frappés par le séisme.
Réunion aujourd’hui du Conseil de sécurité sur la Libye. Rencontre demain à Genève entre les présidents du Parlement et du Conseil d’Etat, Aguila et Mechri, pour une assise constitutionnelle des élections. Entre-temps, Bachagha et Dbeyba s’arrachent le soutien international !
Le sommet des dirigeants du G7 (Etats-Unis, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, Canada, France, Italie) a débuté hier en Bavière au sud de l’Allemagne. Le conflit russo-occidental sur l’Ukraine et ses répercussions occuperont une grande part des discussions.
La principale organisation marocaine de défense des droits humains a réclamé une enquête hier, au lendemain de la tentative d’entrée de près de 2000 migrants subsahariens dans l’enclave espagnole de Melilla, au cours de laquelle 18 personnes ont péri, une «tragédie» sans précédent au Maroc. «Nous appelons à l’ouverture d’une enquête rapide et transparente», a déclaré à la presse Mohamed Amine Abidar, le président de la section de l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) à Nador, dans le nord du Maroc. Une association espagnole a évoqué le chiffre de 60 morts parmi les migrants, 4 décès chez les gendarmes marocains et plus de 700 blessés jugés dans un état grave.
L’ex-chef de gouvernement, l’islamiste Hamadi Jebali, en détention préventive dans une affaire de financements suspects. Tentative d’atteinte à la présidence de la République tunisienne, annoncée par le ministère de l’Intérieur. Entre les faits et les enjeux politiques.
Le président de transition malien, le colonel Assimi Goïta, a promulgué vendredi la loi électorale adoptée il y a une semaine par l’organe législatif, une condition à l’organisation d’élections et à un retour des civils au pouvoir, selon un décret présidentiel rendu public.
L’armée malienne a annoncé, vendredi soir dans un communiqué, avoir «neutralisé» plus de 60 «djihadistes» dans une zone du centre du pays, où récemment plus de 130 civils ont été tués.
Le chef de la diplomatie de l’Union européenne (UE), Josep Borrell, et son homologue iranien Hossein Amir-Abdollahian ont annoncé, hier à Téhéran, la reprise «dans les prochains jours» des pourparlers sur le dossier nucléaire de la République islamique, rapporte l’AFP.
Mises à mal par la puissance de feu russe, les forces ukrainiennes fondent désormais leurs espoirs sur l’arrivée d’armements lourds réclamés sans relâche aux alliés occidentaux, comme les lance-roquettes multiples américains Himars, dont Kiev a annoncé l’arrivée jeudi en prédisant que «l’été sera chaud pour les occupants russes».