Vingt-quatre ans après la disparition tragique de Matoub Lounès, alias le Rebelle, sa mémoire demeure toujours vivante. Le fils de Taourirt reste à jamais porté dans les cœurs des Algériens et même d’étrangers.
La direction du Parc national du Djurdjura (PND), a établi, en concertation avec les accompagnateurs des randonneurs, une charte du randonneur. La rencontre ayant eu lieu le 9 du mois courant au siège du PND, a débouché sur une série d’une quinzaine de recommandations.
Une nécropole antique, découverte récemment dans un chantier de logements en plein cœur de la ville de Sour El Ghozlane, antique Auzia, au sud de la wilaya de Bouira, est en proie à la destruction.
Contrairement aux années précédentes, la colonne mobile de la Protection Civile de la wilaya de Bouira a été installée un mois avant la date habituelle du 1er juillet.
Le Club Athlétique Sportif de la commune de Chorfa (CASC), a organisé, jeudi passé, un cross spécial enfants en collaboration avec l’APC et des jeunes bénévoles de la localité, à l’occasion de la journée internationale de l’enfance du 1e juin.
Dans le souci de conserver et de sauvegarder les trésors archéologiques et biens culturels, la direction de la culture a lancé plusieurs opérations de restauration.
A l’approche de la saison estivale, la consommation de l’énergie électrique connaît une forte augmentation, notamment à cause du recours des citoyens à la climatisation.
Osiris : L’origine d’un mythe est un essai de l’auteur Chabane Skander, paru aux éditions Jets D’encre, en France, fin 2021. L’ouvrage s’articule, comme son titre l’indique, autour du mythe de la divinité d’Osiris du point de vue de son origine, en accentuant la recherche, beaucoup plus, sur le côté linguistique que sur le côté philosophique ou religieux.
Une fête a été organisée la semaine écoulée par une crèche privée au profit d’une centaine d’orphelins et d’enfants à besoins spécifiques (EBS) au niveau de la salle de cinéma Salah Boukrif, dans la commune de M’chedallah, à l’est de la wilaya de Bouira. «Nous avons invité tous les orphelins et enfants à besoins spécifiques de la région pour prendre part à cette fête.
Des centaines de personnes ont afflué, vendredi passé, au village Ighzer Iwaquren, dans la commune de Saharidj, au nord-est de Bouira, pour assister à la clôture de la semaine culturelle de commémoration du 65e anniversaire de la destruction et incendie dudit village par l’armée coloniale. «Le comité du village avait concocté un riche programme comportant différentes activités culturelles, sportives, musicales, éducatives, etc., du 6 au 13 mai.
Le comité du village Ighzer Iwaquren dans la ville de Raffour, relevant de la commune de M’chedallah, à l’est de Bouira, organise, du 6 au 13 du mois courant, un ensemble d’activités de commémoration du 65e anniversaire de la destruction de leur village par l’armée coloniale française.
Des dizaines d’engins lourds ont été mobilisés, récemment, pour le nettoyage -en plus du marché hebdomadaire- du site de la future micro zone d’activités artisanales de la commune de M’chedallah, à l’est de Bouira.
La ville de M’chedallah ou Imcheddalen, ex-Maillot, à l’extrême est de la wilaya de Bouira, a perdu son calme à deux reprises en l’espace d’une nuit. Une première fois sous une atmosphère festive au gala artistique organisé par l’APC, au niveau de la place publique.
Il a fait l’Ecole régionale des beaux-arts d’Azazga dans la wilaya de Tizi Ouzou, et obtenu son diplôme en 2018. Sid Ahmed Chergui, dit Adel, est un jeune artiste plasticien et sculpteur modeleur, natif de la wilaya de Bouira.
C’est un groupe de jeunes issus de différentes associations activant dans la commune d’Aghbalou, à l’est de la wilaya de Bouira, qui a pris l’initiative d’animer la vie culturelle dans leur patelin.
La population de la commune de M’chedallah est en colère. Et pour cause, un fait inédit. L’imam de la mosquée du chef-lieu communal, avait «proféré des insultes à l’encontre de la population locale». Les faits remontent à la nuit de samedi à dimanche derniers.
La place publique baptisée au nom du chahid Gouizi Saïd, juxtaposant le siège de la wilaya de Bouira, subit un incivisme destructeur. La plupart des bancs ont été saccagés, notamment leurs parties en bois. Idem pour plusieurs lampadaires qui ont été endommagés et la fontaine érigée au centre de l’espace de détente n’est plus fonctionnelle.
En tout, six troupes théâtrales d’associations culturelles des trois wilayas de Bouira, Tizi Ouzou et de Béjaïa ont animé ces soirées ramadanesques et pris part au concours de ce festival dont les résultats seront connus le 28 du mois courant.
Le processus de la dégradation naturelle du grignon, qui dure plus de 3 ans, a été réduit à seulement 25 jours.
Un important ouvrage électrique a été mis en service, récemment, au profit de la zone industrielle d’Oued El Berdi, au sud du chef-lieu de la wilaya de Bouira.