Le nombre d’accidents de la route enregistrés ces derniers temps sur les routes de Bouira témoigne d’une réalité qui interpelle les autorités et les citoyens.
Lancé en 2014, le projet de la pénétrante autoroutière devant relier les deux wilayas de Bouira et Tizi Ouzou a accumulé des retards irréalistes et considérables. Longue de 48 km, cet important investissement qui a mobilisé au trésor public une enveloppe de 55, 96 milliards de dinars, soit près de 500 millions d’euro continue de faire parler de lui.
Les fuites sur les réseaux d’eau potable dans la wilaya de Bouira sont importantes. Des habitants de plusieurs quartiers, notamment ceux situés en milieu urbain, ne cessent de dénoncer ce gaspillage, d’autant plus que le liquide arrive rarement dans les robinets.
Les scandales de gestion des deniers publics se suivent, se ressemblent et se succèdent dans la wilaya de Bouira. En effet, le secteur de la jeunesse et des sports connaît ces derniers temps plusieurs affaires liées à la mauvaise gestion et réalisation des projets. Les exemples sont légion. Le stade Rabah Bitat d’une capacité de 15 000 places, de l’Office des parcs omnisports (OPOW) est dans une piteuse état. Des vidéos et images illustrant l’état lamentable dans lequel se trouve la pelouse sont relayées sur les réseaux sociaux. Des internautes scandalisés appellent les autorités à ouvrir une enquête mais surtout identifier les responsabilités de chacun.
Les accidents de la circulation continuent de provoquer l’hécatombe sur les routes de la wilaya de Bouira. Quatre personnes ont été grièvement dans un terrible accident survenu jeudi au début de soirée sur la RN 18 près de la localité de Saïd Abid, à 7 kilomètres à l’ouest du chef-lieu de wilaya de Bouira, a déploré la Protection civile, soulignant que les victimes ont été évacuées vers l’établissement hospitalier Mohamed Boudiaf.
Rien ne va plus à l’APC de Bouira. L’Assemblée locale traverse une zone de turbulences qui risque de la plonger dans une situation de blocage depuis qu’une majorité des élus a décidé de geler ses activités. Réunis jeudi dernier, 18 élus sur 23 siégeant au sein de l’Assemblée ont décidé de geler leurs activités.
Depuis le début du mois de juin, environ 177 hectares de couvert végétal ont été ravagés par les flammes, et ce, à travers plusieurs localités de la wilaya de Bouira. «La saison dernière, les services des forêts ont fait état d’un bilan assez lourd.
Dans la wilaya de Bouira, des regards sont laissés ouverts sans aucune protection, exposant au danger des passants et les riverains. Le risque d’inondations est souvent accentué par le fait que les cours d’eau charrient des déchets solides et des gravats.
Un drame a été évité de justesse hier en fin d’après-midi au quartier Aïssat Idir au cœur de la ville de Bouira.
Les parents d’élèves sont encore une fois appelés à dépenser plus. Les fournitures scolaires enregistrent à l’occasion de la rentrée scolaire 2022-2023 une hausse inégalée.
Frappées de plein fouet par une baisse exceptionnelle de la pluviométrie, accentuée par l’une des sécheresses les plus sévères enregistrée depuis quelques années, plusieurs wilayas du pays souffrent d’un stress hydrique croissant.
Décidé la semaine dernière dans le cadre d’un plan d’urgence visant à mettre fin aux accidents de la route survenant fréquemment au niveau du tronçon de l’autoroute Est-Ouest, précisément à Djebahia (est de Bouira), et qui a été adopté par une commission englobant les représentants de l’Algérienne des autoroutes (ADA), la Gendarmerie nationale et la Direction des travaux publics (DTP) de la wilaya de Bouira, la circulation des poids lourds est désormais interdite sur une section de l’autoroute Est-Ouest de près de 22 km.
Longtemps otage de bureaucratie et de blocages tous azimuts, la zone industrielle de Sidi Khaled dans la commune d’Oued El Berdi, à une vingtaine de kilomètres au sud de Bouira, semble, cette fois-ci, sortir la tête de l’eau.
Comme chaque rentrée scolaire, d’énormes difficultés liées notamment à la dégradation des établissements scolaires surgissent dans la wilaya de Bouira.
Au lendemain du drame qui a ôté la vie à un enfant de 7 ans, Alem Gholam, noyé samedi dernier dans la piscine de la ville de M’chedallah, décédé au cours de son évacuation à l’hôpital, le ministère de la jeunesse et des sports (MJS) a décidé des premières sanctions.
Le nombre effrayant des accidents de la circulation survenus ces derniers jours sur l’un des tronçons les plus meurtriers de l’autoroute Est-Ouest a, enfin, fait sortir les responsables du secteur de leur bien longue torpeur. La descente, longue de 7 km, depuis le tunnel de Aïn Chriki en allant vers Alger est la plus dangereuse de toute l’autoroute Est-Ouest.
L’obligation faite par les autorités aux céréalicultures de livrer la totalité de leurs récoltes aux coopératives des céréales et des légumes secs (CCSL) est respectée par la majorité des agriculteurs de la wilaya de Bouira, a-t-on précisé à la direction des services agricoles (DSA).
Le tronçon autoroutier en particulier dans sa partie reliant Lakhdaria à Bouira, longue de 33 km, a acquis une sinistre réputation. Le nombre d’accidents parfois mortels enregistrés rien qu’au niveau de la descente de Djebahia, appelée communément «la pente de la mort», à la sortie du tunnel de Aïn Chriki, est important.
La réserve forestière ne cesse de se rétrécir au fil des années avec, notamment la multiplication des canicules et des sécheresses.
Un important incendie s’est déclenché ce lundi 11 juillet aux environ de 12h30 à la station climatique de Tikjda, précisément au lieu-dit Thoumlinine sur les hauteurs de la commune d’El Esnam dans la wilaya de Bouira.