Un porte-avions américain est arrivé hier en Corée du Sud pour participer à des manœuvres militaires conjointes visant à mieux faire face à la menace nord-coréenne, a annoncé la marine sud-coréenne, rapporte l’AFP. Cette annonce vient au lendemain de la convocation de l’ambassadeur russe à Séoul pour lui signifier la protestation du gouvernement sud-coréen après l’accord signé par le président russe Vladimir Poutine avec son homologue nord-coréen Kim Jong Un à Pyongyang cette semaine, qui prévoit notamment une promesse d’aide mutuelle en cas d’attaque de l’un ou l’autre pays.
Les autorités nigériennes ont confirmé le «sabotage» revendiqué par un mouvement rebelle d’une partie d’un oléoduc acheminant du pétrole brut vers le Bénin.
Est-ce en Israël ou en France qu’on vote les 30 juin et 7 juillet prochains ? Cette question, provocatrice certes, résume l’instrumentalisation depuis octobre dernier d’un prétendu antisémitisme de la gauche coupable d’avoir soutenu les Palestiniens dans leur drame pourtant condamné, notamment, par l’ONU ou la Cour internationale de justice.
L’armée sud-coréenne a annoncé hier avoir procédé à des tirs de sommation la veille après un bref passage de la frontière par des soldats nord-coréens, marquant la troisième incursion de ce type en juin. «Plusieurs soldats nord-coréens qui travaillaient à l’intérieur de la zone démilitarisée sur la ligne de front centrale ont franchi la ligne de démarcation militaire.
Le Congrès des députés espagnols a voté, jeudi dernier, avec une majorité absolue, en faveur d’une proposition non législative pour le rétablissement de la position de «neutralité active» de l’Espagne vis-à-vis de la question du Sahara occidental, indique l’agence espagnole «Europa Press». «Tous les groupes du Congrès, à l’exception du Parti socialiste (PSOE), ont soutenu le rétablissement de la position historique de neutralité active de l’Espagne concernant le Sahara occidental, conformément à la volonté exprimée par le Congrès des députés à plusieurs reprises entre 2022 et 2024», note l’agence ibérique.
La nécessité de trouver des mécanismes de protection des défenseurs des droits de l’Homme au Sahara occidental, où l’occupation marocaine commet de graves violations contre les militants sahraouis sans défense, a été soulignée lors d’une conférence organisée au siège du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies (CDH) à Genève (Suisse).
Onze opposants maliens à la junte ont été arrêtés alors qu’ils se réunissaient dans la capitale Bamako, après avoir appelé à un retour des civils au pouvoir, a appris l’AFP, hier, auprès de leur coalition. Parmi les personnes arrêtées figurent des présidents de partis et mouvements politiques signataires d’une déclaration publiée le 31 mars dernier et appelant la junte à rendre le pouvoir aux civils, indique la coalition dans un communiqué rendu public.
Pyongyang et Moscou, qui «luttent ensemble» contre l’«hégémonie» américaine, ont signé hier un accord de défense mutuelle, a annoncé le président Vladimir Poutine lors de sa visite d’Etat de deux jours en Corée du Nord, selon des propos recueillis par l’AFP.
Près de 106 conseils municipaux sont concernés par le renouvellement de leurs conseils en 2024, aussi bien à l’Ouest qu’à l’Est et au Sud libyens. Les inscriptions sont déjà en cours, annoncées entre le 9 et le 23 juin, dans 60 localités constituant le premier lot.
Manille a accusé hier des gardes-côtes chinois d’avoir saisi des armes sur certains bateaux philippins en mer de Chine méridionale, lors d’une confrontation qui a fait un blessé grave lundi côté philippin, selon l’AFP, citant une source militaire.
Le président du Collectif des défenseurs des droits de l’Homme au Sahara occidental (CODESA), Ali Salem Tamek, a indiqué que la situation des droits de l’Homme dans les territoires occupés s’aggravait de plus en plus, soulignant que «le silence et l’absence» de la communauté internationale ont encouragé l’occupant marocain à commettre davantage de crimes contre les civils sahraouis.
Une fièvre électorale gagne la France comme le pays en a rarement connu. Depuis la limite des candidatures fixée lundi 17 juin, les forces en présence sont à présent clairement en place dans une compétition historique.
Emmanuel Macron a surpris son monde au soir du 9 juin en décidant la dissolution de l’Assemblée nationale française et la convocation du corps électoral pour en renouveler la composition, deux ans avant la fin de la mandature. Ce faisant, il a précipité le pays dans un engrenage inattendu de polémiques et d’enjeux.
Indéfectible » de son pays face à «l’ennemi rusé, dangereux et agressif», à quelques heures de son arrivée à Pyongyang pour une visite de deux jours selon l’AFP, citant des médias du Nord. Il est accompagné en la circonstance de son chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov, et de son ministre de la Défense, Andreï Belooussov.
Un mouvement rebelle luttant pour la libération du président nigérien Mohamed Bazoum, renversé par un coup d’Etat en juillet et détenu depuis, a annoncé avoir mis «hors d’usage » dimanche «un important tronçon» de l’oléoduc acheminant du pétrole brut vers le Bénin.
Le représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies à New York, Amar Bendjama, a recadré, par deux fois, l’ambassadeur du Maroc à l’ONU, Omar Hilal, à propos du processus de décolonisation du Sahara occidental en rappelant les vérités historiques et les fondamentaux du conflit sahraoui.
L’ex-conseiller et président du Conseil national de Junts, Josep Rull, a été élu nouveau président du Parlement de Catalogne après deux tours de vote. Le député de Junts, condamné lors du référendum du 1-O, a obtenu ce poste grâce à un accord entre son parti et l’ERC, visant à ce que cette institution soit dirigée par une force indépendantiste plutôt que par le Parti des socialistes de Catalogne (PSC), qui s’était également allié à la CUP.
Le Premier ministre chinois, Li Qiang, entamera une visite en Australie, ce samedi, a annoncé, hier, le Premier ministre australien, Anthony Albanes.
Le fils de Joe Biden, Hunter Biden, a été reconnu coupable hier par un tribunal pénal fédéral de détention illégale d’arme à feu en 2018, sur fond d’addictions aux drogues, en pleine campagne du président américain pour sa réélection, rapporte l’AFP.
Des soldats nord-coréens ont brièvement franchi, dimanche dernier, la frontière avec la Corée du Sud, dont les militaires ont effectué des tirs de sommation, a annoncé hier l’état-major sud-coréen (JCS).